Fort expo à Seclin, la vision par 25 artistes contemporains de la Guerre 14-18

Normal
0
21

MicrosoftInternetExplorer4

/* Style Definitions */
table.MsoNormalTable
{mso-style-name: »Tableau Normal »;
mso-tstyle-rowband-size:0;
mso-tstyle-colband-size:0;
mso-style-noshow:yes;
mso-style-parent: » »;
mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt;
mso-para-margin:0cm;
mso-para-margin-bottom:.0001pt;
mso-pagination:widow-orphan;
font-size:10.0pt;
font-family: »Times New Roman »;}

Au Fort de Seclin,  chemin du Fort

Fort Expo exposition d’art contemporain

Du 13 octobre 2013 au 31 décembre 2014

Dans le cadre de la commémoration du centenaire de la Guerre de 14-18 il a été demandé à 25 artistes de traduire dans une œuvre leur ressenti, leur vision première, de cette période tragique de notre histoire.

Ces artistes viennent de France, de Belgique, de Grande Bretagne, de Chine. Ils ont abordé le thème de la guerre 14-18, chacun dans un style diffèrent, en  peinture, sculpture,  BD, photographie,  dessin,  gravure,  vidéo, collages, techniques mixtes

Pierre Andrieu, Pascal Boillet, Quentin Carnaille, Pierre Debroucker alias Masmoulin, Fred Depienne, Hervé Dorval, Marc Dubord, Mathias Duhamel, Kaixuan Feng, Jean-Christophe Fischer, Christian Guémy alias C215, Annie Haquette, Paul Hickin, Aurélien Longo, Franck Loret, Jean-Eudes Maillard, Pascal Marcel Marko & Olier,Eric Monbel, Stephen Raw, Sébastien Roche, Olivier Sampson, Laurent Tourrier

Fort expo :  » La guerre, c’est triste » ma vision de la guerre 14-18, aquarelle

Normal
0
21

MicrosoftInternetExplorer4

st1:*{behavior:url(#ieooui) }

/* Style Definitions */
table.MsoNormalTable
{mso-style-name: »Tableau Normal »;
mso-tstyle-rowband-size:0;
mso-tstyle-colband-size:0;
mso-style-noshow:yes;
mso-style-parent: » »;
mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt;
mso-para-margin:0cm;
mso-para-margin-bottom:.0001pt;
mso-pagination:widow-orphan;
font-size:10.0pt;
font-family: »Times New Roman »;}
Dans le cadre de l’exposition Fort expo (voir l’article ci-dessus) j‘ai réalisé une œuvre à la limite du figuratif. J’ai représenté, je devrais dire suggéré,  trois poilus casqués, en uniforme  bleu horizon.  On ne sait pas s’ils vont monter à l’assaut, s’ils reviennent d’une attaque ou si plus prosaïquement, ils se mettent à l’abri.

La partie haute du tableau nous montre la ligne de front, dans un déluge de feu, de fumées, de désolation. Les couleurs sont à dessein, sombres, tristes, parce que « la guerre c’est triste »

Aquarelle sur papier Montval 300 gr. grain fin au format Raisin – 50 cm x 65 cm –  dimensions encadrée 65 cm x 80 cm. Monotype et technique humide

La guerre, c’est triste ©Masmoulin 2013