Expositions en cours ou qui vont débuter ===·=·===·=···===·===·===·· Musée des Années 30 à Boulogne-Billancourt « François Mendras » Jusqu’au 13 février 2011 « L’érotisme de Marcel_Gromaire »- =Jusqu’au 20 février 2011 ===·=·===·=···===·===·===··Hôtel de ville de Bruxelles « Dialogue de Fauves » Jusqu’au 20 mars 2011 ===·=·===·=···===·===·===·· Fondation Beyeler à Bâle « Giovanni Segantini » jusqu’au 25 avril 2011 et Beatriz Milhazes du 29 janvier au 25 avril 2011===·=·===·=···===·===·===·· Pinacothèque de Paris « Romanov, Tsars collectionneurs » & « Esterhazy, princes collectionneurs » Du 26 janvier au 29 mai 2011===·=·===·=···===·===·===·· Musée National de la Marine « Le Paquebot France » du 9 février au 23 octobre 2011 Une vidéo ici ===·=·===·=···===·===·===·· Musée art moderne de la ville de Paris « Haute Culture : General Idea Une rétrospective, 1969-1994 » Du 11 février au 30 avril 2011===·=·===·=···===·===·===·· Musée Louisiana de Humlebaek, Danemark « Picasso : Peace and Freedom »du11 février au 29 mai 2011===·=·===·=···===·===·===··Musée du Belvédère, Vienne « Egon Schiele Self portraits- & portraits » du 17 février au 13 juin 2011 –===·=·===·=···===·===·===·· Musée d’Art contemporain de Lyon « Pascale Marthine Tayou Always all ways » du 24 février au 15 mars 2011 « Indian_Highway_IV » – du 24 février au 31 juillet 2011
Mois : janvier 2011
Annie Tregourès expose à Meylan
C’est au Centre des Arts de Meylan
qu’ Annie Trégourès expose
Du 31 janvier au 6 février 2011
Vernissage le 2 février 2011 à 18 heures
En compagnie de Gilles Petit
tous deux membres de l’association des peintres meylanais
Dennis Oppenheim – Plasticien américain (1938-2011) est mort
L’artiste conceptuel américain Dennis Allan Oppenheim (1938-2011) qui était né à Electric City dans l’Etat de Washington vient de mourir d’un cancer à l’âge de 73 ans.
ll s’est formé au California_College_of_the_Arts puis à la Stanford University
Il est un des précurseurs du Body Art initié en France par Yves Klein et du Land Art avec ses Earthworks et ses performances comme « Rocked Circle-Fear » et plus tard Wishing the Montains Madness.
Dans les années 1980 et 1990 il réalise des sculptures monumentales, des Performances et installations. Il a aussi réalisé de très jolis dessins préparatoires.
Il a été exposé en Europe ,à la Tate Modern, à la Kunsthalle Base, au Musée d’Art Moderne de Paris, au Musée d’art contemporain de Genève et au Stedelijk Museum d’Amsterdam .Le LaM de Villeneuve d’Ascq possède l’une de ses oeuvres.
On trouve des photos et notices de ses réalisations, une interview partie 1 et partie 2 accordé à Douglas Kelley et les musées qui ont des œuvres de l’artiste sur Art Cyclopedia, et quelques oeuvres et dessins
Dennis Oppenheim – Electric kiss – 2010
Denis Oppenheim – Device to root out evil -Eglise inversée à Vancouver
Dennis Oppenheim -Objet with a memory – 1983
Pencil, colored pencil, oil wash and oil pastel on paper
Denis Oppenheim – Two objects – 1998
Pencil, colored pencil, oil wash and oil pastel on paper
Dennis Oppenheim -Tar roses – Mixed media on paper – 1997
Aquarellistes du Costa Rica – Carnet de liens – Acuarelistas Costa Rica – Libro de enlaces – Uruguay watercolorists – Links book
Voici le carnet de liens vers les sites, les blogs, le plus souvent les notices biographiques, des pages de galeries d’artistes , d’un certain nombre d’aquarellistes du Costa Rica. Evidemment, les artistes qui ne sont pas sur Internet ne sont pas répertoriés ici.
Les peintres sont classés par ordre alphabétique, sans distinction qualitative. L’excellent côtoie parfois le quelconque. Mais je considère que ce travail de recherche permet de faire connaissance avec la pratique de l’aquarelle au Costa Rica
J’ai bien entendu utilisé les informations du site de l’Asociación Costarricense de Acuarelistas ainsi que le portail artelista J’ai aussi consulté les moteurs de recherche et puis au hasard de la navigation, j’ai trouvé d’autres artistes qui n’adhèrent à aucune organisation.
Il s’est certainement glissé des erreurs ou des omissions. J’ai cependant pu omettre certains artistes réputés. Mais n’étant pas hispanophone, je pense être excusé par nos amis du Costa Rica. De même j’ai sans doute commis des erreurs de classement. En effet comme dans d’autres pays hispanophones, les artistes ont souvent plusieurs prénoms et deux noms.- Voici donc ce nouveau carnet. Je pense qu’il vous permettra de belles découvertes.
Amighetti Herrera Grace – Amighetti Herrera Walter
Antonio Garcia Zamora – David Vargas – Jorge Vega
Armando Fallas-Varela – Fabio Valverde Sand
Cristina Béeche-Fournier Herberth Bolaños Rivera –
Cristobal Lui Mario Maffioli Quiros Xinia Matamoros
Dunia Molina Muñoz Ana Cristina Oremuno Fourré
Fabio Herrera Martinez Ana Griselda Clèves Hine
Fallas Jorge Perez Ann Elena Fernández Díaz
Francisco Molina Di Parma – Paula Maria Lopez-Herrera
Guiselle Nazira Cordero-Zamora – Rodmi Cordero
Hugo Sanchez Bonilla Vargas Bejarano Sonia
Ivan Cabalceta-Roman –Arvid Rostrom-Trujillo
Jean-Pierre Bergoeing – Patricia Blanco
Jose Gerardo Hidalgo Amighetti Francisco
Jose-David Trejo-Esquivel – Xenia Bolivar
Juan C Montero – Sophia Machado – Oscar Art Sanch
Juan Carlos Camacho Hernandez Ena Delcore
Margarita Gomez González Livia Isabel Gutierrez
Mario Ramirez – Carlos Badilla – Tonny Salazar Lopez
Mélodies persanes – ملودی های فارسی – Persian melodies – Croquis aquarellé
J’ai assisté cette semaine, au concert donné, comme chaque mercredi de 18 à 19 heures, dans le foyer de l’Opéra de Lille
Il était cette fois consacré à des « Mélodies persanes ». Ce sont des poèmes ou ghazels de Hafez de Chiraz célébre poéte persan du 14ème siècle. Les textes, très populaires en Iran,qui constituent le Divân ont été mis en musique.
Ces mélodies persanes étaient interprétées par le jeune chanteur iranien Ashkan Kamangari né en 1984.
Il était accompagné par trois trentenaires : Sina Jahanabadi au «Kamantché » une viéle médiévale à cordes frottées – Sadar Mohamadjani au « târ » de la famille des luths et Ali Rahimi au « zarb » ou « tombak » un tambour en « gobelet » et aussi au «dâf »un tambour sur cadre.
Sur cette vidéo l’on voit Ali Rahimi jouer du dâf au cours d’une répétition d’un ensemble musical. Et sur cette autre Ashkan Kamangari et Sardar Mohamadjani lors d’un concert.
Au dos du programme, j’ai exécuté, au dos du programme, un croquis des quatre artistes et de leurs instruments. De retour chez moi, je l’ai aquarellé Voici le travail. Les noms des instruments sont indiqués à la main.
Les peintres américains d’hier. Ils ont souvent pratiqué l’aquarelle – Partie 6 – Asher Durand — Frank DuMond – Frank Duveneck Thomas Eakins – – Louis John Endres – John Joseph Enneking – James Fairman – Frederick Carl Frieseke -John Gamble – Daniel Garber – Walter Gay
Frank Vincent DuMond 1865-1951
Frank Dumond est un peintre impressionniste américain. Il a étudié à l’‘ Art Students League avec William Sartain et James Carroll Beckwith.Plus tard, il y enseigna pendant cinquante ans. Il part pour Paris et à l’Académie Julian, il est l’élève de Gustave Boulanger, Jules-Joseph Lefebvre et Benjamin Constant. Il a compté parmi ses élèves Charles Hawthorne , Georgia O’Keeffe , John Marin , Andrew Loomis , Norman Rockwell , Frank J. Reilly , Ted Seth Jacobs , Frank Mason et Herbert E. Abrams . Il a appartenu à Art Colony Lyme, le Giverny américain qui était installé dans le cottage de Florence Griswold. Il a travaillé comme illustrateur. Au départ il s’inscrit dans le style Art Nouveau. Ensuite il peint des paysages, des fleurs, scènes de pêche et de portraits. On trouve ses œuvres dans de nombreux musées américains
Frank Vincent DuMond – Cañion pool
Asher Brown Durand 1796-1886
Asher Durand est un peintre, graveur et illustrateur américain. Il a d’abord appris la gravure auprès de son père, un descendant de huguenot, puis de Peter Maverick (1780-1831) avec qui il s’associa. Il a gravé en 1823, la Declaration of independance d’après Trumbull qui l’a rendu célèbre. Il a aussi illustré «American landscape »Il a voyagé en Europe et séjourné en France. Il se tourne bientôt vers la peinture, de paysage. Ses œuvres sont proches de celles des peintres de Barbizon. Il a présidé l’Hudson River School pendant une quinzaine d’années
Asher Brown Durand – Kindred Spirits
Frank Duveneck 1848-1919
Frank Duveneck est un portraitiste américain. C’est un artiste local Johann Schmitt qui l’a d’abord formé. Avec lui il a décoré des églises. Il a étudié avec Wilhelm von Diez et Wilhelm Leibl à l’Académie royale de Munich. Il acquiert vite une grande réputation. Henry James l’appelait « le génie insoupçonné » Il fait de longs séjours en Italie et en Allemagne. Il fonde une école en Bavière. Parmi les « Dunececk boys » il y a Otto Bacher , Julius Rolshoven , et Herman Wessel Après la mort de son épouse il vit reclus. Néanmoins, il enseigne à l’Art Academie of Cincinnati Il a comme élèves, John Johansen Christen , M. McLane Jean , Charles Edward Volkert et Russel Wright .
Frank Duveneck – Lady with a red hat
Thomas Eakins 1844-1916
Thomas Eakins est souvent considéré comme, l’un des trois grands peintres américains de la fin du 19ème siècle avec John Singer et Winslow Homer. Il fut élève aux Beaux-Arts de Jean-Léon Gérôme puis de Léon Bonnat. Il voyage ensuite en Espagne. De retour aux États-unis il commence une brillante carrière de peintre réaliste. Il est passionné par la vérité optique et se passionne pour la photographie. Il a enseigné le dessin du nu à l’Académie des Beaux-Arts de Pennsylvanie. Son épouse Susan Macdowell Eakins était également artiste peintre.
Louis John Endres 1896-1969
Peintre orientaliste américain.Il étudie à la Cincinnati Art Academy où il sera plus tard professeur, puis à la Tiffany and co Foundation de New York. Il s’installe ensuite en France où il est l’élève de Claudio Castelucho à l’Académie de la Grande Chaumière. Il effectue de nombreux voyages au Maroc.Il s’installe à Rabat en 1931. Il peint des portraits et des scènes de la vie quotidienne dans avec une technique et une sûreté du dessins impeccables. Il a fait partie de la Sociéte des peintres orientalistes français . Ses oeuvres sont exposées au Maroc, Algérie, en Europe, àNew York et à Cincinnati. Voir la vidéo d’un vernissage récent à Tanger
Louis John Endres – Patriarch daugther
John Joseph Enneking 1841-1911
John Joseph Enneking est un peintre impressionniste américain. Il a étudié au Cincinnati’s Mount St. Mary’s College. Il s’engage dans l’armée nordiste pendant dans la guerre de sécession. Lorsqu’il est libéré il se lance sans succès dans la « ferblanterie » en gros. Il étudié à Paris auprès des paysagistes Charles-François Daubigny et d’ Eugène Boudin et à l’Académie de Munich. Il installe un atelier d’artiste à Boston. Il devient membre du Boston Art Club et de la Guild of Boston Artists
John Joseph Enneking – Summer on the lake
James Fairman 1826-1904
James Fairman est un peintre paysagiste américain d’origine écossaise. Il a commencé ses études à la National Academy of Design Il ouvre un atelier à New York a l’issue de la guerre de Sécession. Il a enseigné à l’Olivet College . Il a beaucoup voyagé en Amérique, en Europe et aussi en Palestine
James Fairman – Jaffa – Levantine coast
Frederick Carl Frieseke 1874-1939
Frederik Carl Frieseke peintre impressionniste américain. Il a d’abord étudié à Art Institute of Chicago avec John Vanderpoel et de Frederick Warren Freer, puis à l’Art Students League de New York.En France, il travaille avec Jean-Joseph Benjamin Constant et Jean-Paul Laurens à l’Académie Julian ainsi qu’à l’Académie Carmen avec Delecluse. Il peint des nus et des paysages de Paris et de la campagne. Il fait partie de la colonie des artistes américains installés à Giverny. Mais il a toujours conservé un appartement dans Paris où il a résidé toute sa vie sauf de brefs voyages aux États-Unis. Il expose régulièrement en France et aux Etats Unis. Il était Chevalier de la Légion d’honneur. Quelques oeuvres
Frederik Carl Frieseke – Good morning
John Gamble 1863-1957
John Gamble est un peintre américain né dans le New Jersey il a vécu en Nouvelle Zélande. Il a débuté sa formation artistique à l’École de Design de San Francisco sous les peintres Virgile William (1830-1886) et Soren Emil Carlsen (1853-1932). Puis il fréquente, à Paris, les Académies Julian et Colarossi. Il reçoit l’enseignement de Jean-Paul Laurens (1838-1921) et Jean-Joseph Benjamin Constant (1845-1902) Il revient à San Francisco et y expose régulièrement ainsi qu’à l’American Watercolor Society à New York. Il fait un nouveau séjour en Europe et au Moyen-Orient.Il s’est par la suite installé définitivement à Santa Barbara sur la Riviera américaine.
John Gramble – Goleta point
Daniel Garber 1880-1958
Daniel Garber est un peintre impressionniste et graveur américain. Il a étudié à l’ Art Academy of Cincinnati, et à la Pennsylvania Academy of the Fine Arts où plus tard, il enseignera pendant 40 ans. Il se marie et visite l’Europe avec son épouse. A son retour il s’établit près de New Hope et se joint à la colonie d’artistes de cet endroit. Il pratique la peinture de plein air, notamment près de Delaware River. Il a été élu membre de la National Academy of Design en 1913. Quelques œuvres sont sur American gallery
Daniel Garber – Gathering grappes
Walter Gay 1856-1937
Walter Gay est un peintre américain né dans le Massachusetts. Il épouse Mathilde Travers, la fille d’un riche homme d’affaires new-yorkais. Le couple s’installe à Paris, puis en forêt de Fontainebleau dans le Château Bréau. Il est l’élève de Léon Bonnat . Ses œuvres sont remarquées au Salon de Paris, à Vienne, Anvers, Berlin ou Munich.Il était officier de la Légion d’honneur. Il a peint des scènes de genre et des intérieurs et des paysages
Walter Gay – Charity
Matisse et la gravure
Henri Matisse gravant – Pointe sèche 1900-1902
La Mona Bismarck Foundation présente « Une autre langue – Matisse et la gravure »
Jusqu’au 15 février 2011
Le grand peintre et dessinateur Henri Matisse est peu connu comme graveur, alors qu’il a réalisé près de 900 oeuvres gravées de 1906 jusqu’à sa mort en 1954. Il a également avec cette technique illustré quelques 80 ouvrages. Le centre culturel privé Franco-américain présente avec la collaboration de Barbara et Claude Duthuit, le petit fils de Matisse, une centaine d’œuvres du maître.
Dans le même temps, le Musée Matisse du Cateau-Cambrésis, présente « Les Esquimaux vus par Matisse »
Jusqu’au 6 février 2011
Une série de gravures, de dessins et études préalables, réalisées par l’artiste pour illustrer « Une fête en Cimmérie » un essai poétique de 1964 écrit par son gendre Georges Duthuit
Voici une courte sélection de gravures réalisées par Henri Matisse
Henri Matisse – Grand nu – Lithographie – 1906
Henri Matisse – Nu dans les ondes – Linogravure – 1938
Henri Matisse – La frégate – Linogravure – 1938
Henri Matisse – Bédouine – Souvenir de Manon – Aquatinte – 1947
Henri Matisse – Marie-Josée à la robe jaune
aquateinte en couleurs – 1950
Henri Matisse – La fête en Cimérie – Planche XXI
Bruxelles à l’aquarelle par Jacques Carabain (1834-1933)
Le musée de la Ville de Bruxelles- Maison du Roi présente « Bruxelles à l’aquarelle »
Jusqu’au 30 décembre 2011
Le peintre védutiste belge d’origine hollandaise Jacques François Carabain (1834-1933) se voit confié la mission, par Charles Buls, le « bourgmestre esthète » de Bruxelles, de réaliser des aquarelles des quartiers qui sont menacés par les grands travaux de modernisation. Il réalise, au tournant du siècle, entre 1894 et 1897, cinquante neuf aquarelles qui représentent les quartiers qui reliaient alors le haut et le bas de la ville, les nombreuses impasses, le port et les industries installées à l’intérieur même de Bruxelles.
Les aquarelles de ce peintre, baignées de lumière et de couleurs, plus légères que ses huiles sur toiles, sont confrontées aux photographies de l’époque, à celles d’aujourd’hui ainsi qu’à des plans.
Jacques Carabain était, en Belgique, l’un des meilleurs paysagistes urbains du 19ème siècle.Il a beaucoup voyagé en Europe, en Amérique, en Australie et en Nouvelle Zélande. Il a peint le plus souvent à l’huile des scènes urbaines des pays qu’il a visités. Ces huiles font penser aux peintres flamants et hollandais des siècles précédents. Elles me semblent plus statiques, plus convenues. Je préfère la vivacité des aquarelles de Bruxelles. Le peintre avait besoin de ce travail pour « refaire ses finances » asséchées par ses voyages lointains. Il retrouve sans doute l’acuité d’un jeune rapin impécunieux.
En marge de cette exposition, les Editions de la Muette publient « Bruxelles à l’aquarelle, Instantanés 1894-1897 » d’Anne Deknop Martine Vrebos et Catherine Gauthier.
Voici quelques aquarelles de Bruxelles et aussi des huiles sur toiles.
Jacques Carabain – Bruxelles à l’aquarelle
Jacques Carabain – Bruxelles à l’aquarelle
Jacques Carabain – Bruxelles à l’aquarelle
Jacques Carabain – Bruxelles à l’aquarelle
=o=o=o=o=
Jacques Carabain – Grand Place de Bruxelles – Huile sur toile
Jacques Carabain – Fête au village – Huile sur toile
Jacques Carabain – Constantinople – Huile sur toile
Jacques Carabain – Canal à Venise – Huile sur toile
Jacques Carabain – La côte à Capri – Huile sur toile
Jacques Carabain – Queen street à Aukland – Vers 1880
La taille en relief ou taille d’épargne – Gravure sur bois ou Xylographie et Linogravure
La Gravure sur bois – ou Xylographie en anglais, wood engraving ou woodcut, fait partie des techniques d’impression dites en relief. Une image est imprimée sur une feuille de papier à partir du motif dégagé d’un bloc de bois.
Le graveur esquisse son dessin sur un bloc de bois. Le contour du dessin est creusé au canif, au burin, au ciseau ou à la gouge. Tout ce qui est gravé apparaîtra en blanc à l’impression.
Lorsque la taille est terminée, le dessin initial apparaît en relief sur le support de bois, d’où le nom de taille d’épargne
La méthode était utilisée en Chine depuis le 6ème siècle. Mais elle n’a pas été importée en occident où elle se développe parallèlement au 15ème siècle. Les motifs sont tout d’abord religieux, puis représentent des signes astrologiques, des proverbes, des maximes morales. Les gravures sont largement diffusées par des colporteurs et « montreurs d’images.
Le plus ancien bois gravé est le Bois Protat qui remonte aux années 1370-1380. On citera comme graveur célèbre Albrecht Durer (1471-1528) ou Marcantonio Raimondi Anton Wœnsam
A partir du XVIIe siècle elle est concurrencée par les techniques de gravure sur cuivre, burin puis eau-forte, qui offrent une plus grande finesse de traits et des possibilités beaucoup plus étendues.
C’est au début du 19ème siècle Thomas Bewick modernise la technique en utilisant les outils de la gravure sur cuivre suivant le procédé dit du « bois debout » On utilise la gravure sur bois pour les illustrations d’art, les paysages, les copies de tableaux. A la suite du graveur anglais Charles_Thompson que l’imprimeur Firmin_Didot a fait venir en France, apparaît une génération de graveurs français avec notamment Louis-Henri_Brevière –Hippolyte Lavoignat –Héliodore Pisan –François Pannemaker –Jacques-Adrien Lavieille Tony Johannot – Jacques Adrien Lavieille A l’étranger on peut aussi citer Thomas Bewick
La gravure sur bois a été supplantée à la fin du 19ème siècle par les procédés dérivés de la photographie.
La gravure sur bois est dès lors utilisée comme discipline artistique. On peut citer notamment, Auguste Lepère – Félix Vallotton – Anders G Aldrin – Pierre Aubert – Georg Baselitz Jacques Beltrand – –Charles Emile Egle – Jean Chièze –Paul-Émile Colin –André Derain –André Deslignères –Raoul Dufy –Démétrios Galanis –Paul Gauguin – Eric Gill – Georges Gimel –Roger-Maurice Grillon –Paul Hermann – Jacques Hnizdovsky –Anselm Kiefer – –Aristide Maillol –Frans Masereel –Edvard Munch –Paul Nash –Emil Nolde –Henri Paillard –Henri Rivière – Theo Schmied –Anders Zorn sans oublier Henri Matisse à qui je vais consacrer un prochain article
Tout au long du 20ème siècle s’est développée la linogravure utilise le linoléum dont le faible coût en a fait un succédané idéal du bois. Le linoléum offre l’avantage d’être une matière souple, plus tendre, donc plus facile à tailler que le bois. On peut faire des tirages en couleurs avec plusieurs linos imprimés l’un après l’autre sur la même feuille.
Voici quelques exemples de gravures sur bois
Albrecht Dürer – Lanquesnet – Gravure sur bois
Georg Baselitz- Grande nuit – Xylographie
Jean Chièze – Rue de Marseille – Gravure sur bois
Paul Gauguin – Noa Noa V – Gravure sur bois
Edward Munch – Le cri – Gravure sur bois
Amselm Kiefer – Grabe – Gravure sur bois- collage et peinture
Paul Nash – The pound – Gravure sur bois
Emil Nold – Le prophète – Gravure sur bois
Andres Zorn – Ommibus – Gravure sur bois
Graham Sutherland et William Boyd
C’est la lecture récente de « Bambou Chroniques d’un amateur impénitent » de William Boyd l’écrivain, scénariste et réalisateur britannique qui m’a permis de découvrir le peintre Graham Sutherland à qui il a par ailleurs consacré un ouvrage actuellement indisponible. J’ai consacré hier dimanche un article à cet artiste.
Graham Sutherland (1903-1980) – Peintre et graveur britannique – Eléments de biographie et quelques oeuvres
Graham Sutherland – Autoportrait – 1977
Graham Vivian Sutherland est né à Londres. Il a d’abord fait des études d’ingénieur et a travaillé à la Midland Railway où il se rend compte que ce n’est pas sa voie. Il étudie alors pendant cinq ans la gravure au Goldmiths College Il se marie avec Kathleen Barry son amie d’enfance. Il enseigne et pratique la gravure à l’eau-forte et l’illustration. Il est influencé par William Blake et le paysagiste et aquafortiste Samuel Palmer (1805-1881) Avec la crise de 1929 le marché de la gravure s’effondre. L’artiste qui a 35 ans se mets sérieusement à peindre. Il découvre les sites sauvages du Pembrokeshire Bien qu’il n’est jamais appartenu à aucun mouvement, il est alors considéré comme un tenant du « Neo-romanticism » anglais.Il est un moment proche de l’esprit de l’ Euston road school Ses paysages sont ensuite influencés par le peintre surréaliste anglais Paul Nash En 1936 il est artiste invité à la London International Surrealist Exhibition. Il enseigne et travaille le verre, produit des affiches et conçoit des dessins de tissus.
Pendant la seconde guerre mondiale il travaille sur le front comme « official war artist » où il rencontre Henry_Moore. Il est pendant longtemps l’ami de Francis Bacon dont les influences sont réciproques.
Juste après la guerre,iI rencontre Picasso et Matisse, lors de séjours dans le Midi de la France. C’est à cette époque qu’il réalise ses « Horned Forms » A partir des années 1950, ce catholique converti réalise de nombreuses œuvres religieuses. Les plus connues sont, une crucifixion de l’église Saint-Matthieu de Northampton et une immense tapisserie dans la cathédrale de Coventry « Christ in Glory in the Tetramorph » A la même époque et jusqu’au années 1960 il est l’un des artistes de l’ Ecole de Londres avec Lucian Freud, Ronald B. Kitaj , Michael Andrews , Frank Auerbach , Leon Kossoff et Francis Bacon. Ses œuvres s’inspire du Sud de la France. Il y avait acquis la « villa blanche à Menton. Il a aussi réalisé deux suites de lithographies, Bees et le Bestiaire ou cortège d’Orphée d’Apollinaire
Graham Sutherland est également connu pour ses portraits de commande de personnages célèbres comme Winston Chruchill , Somerset Maughan, Konrad Adenauer, Helena Rubinstein , Edward_Sackville-West, Lord Beaverbrook, Paul Sacher
Son art a un énorme impact sur la génération des artistes anglais des années 1960
Il a participé à la 26ème Biennale de Venise en 1952 ou à celle de Sao Paulo en 1955 et à la Documenta de Kassel en 1955,1959 et 1964. Des rétrospectives ont été organisées à la Tate Gallery en 1982 et en 1998 au Musée Picasso d’Antibes et plus récemment à la Dulwich Picture Gallery. Il était membre de l’American Academy of Arts and Letters
Artcyclopedia dresse la liste de musées qui possèdent certaines de ses œuvres. En France seul le Louvre possède une œuvre,« singe assis sur un trépied » et il est évoqué au Musée Carnoles de Menton. Il faut espérer qu’un jour ou l’autre un conservateur ou un galériste le fera sortir du purgatoire dans lequel ce grand peintre et grand coloriste du 20 ème siècle est relégué.
On peut trouver des représentations sur les sites de la Tate, du Museum of Wales, de Spaight Wood galleries et puis deux vidéos un entretien avec Umberto Rossi lors d’une Monstra en Italie en 1991 et une autre lors d’une exposition à la Galleria d’Arte Maggiore On trouve quelques éléments de cotation sur artfacts – Cornette de Saint-Cyr et Christies
Voici ma petite sélection chronologique d’ œuvres de Graham Sutherland
Graham Sutherland- Adam et Eve – Gravure – 1924
Graham Sutherland – Stone in estuary – 1935
Graham Sutherland – Welsh Landscape with Roads – 1936
Graham Sutherland -Briham rock – 1937
Graham Sutherland – Red monolith – 1938
Graham Sutherland – Entrance to a lane – 1939
Graham Sutherland – Green tree forms : Internior of woods – 1940
Graham Sutherland – Devastation : An East End Street – 1941
Graham Sutherland -Pembrokeshire landscape – 1942
Graham Sutherland – Thorn tree – 1945
Graham Sutherland – Crucifixion – 1946
Graham Sutherland – Palm palisade -aquar elle – 1947
Graham Sutherland – Fugure and maize – 1948
Graham Sutherland – Somerset Maugham – 1949
Graham Sutherland -The Origins of the Land, Study No.3 – 1950
Graham Sutherland – Christ the King, Coventry Cathedral Tapestry – 1952
Graham Sutherland – Bamboo forest – 1962
Graham Sutherland – Path in a wood – 1968
Grahma Sutherland -Rocky Landscape with Gateway
encre et aquarelle – 1970
Graham Sutherland – Flames rockform – Lithographie – 1975
Graham Sutherland -Three balancing forms – Lithographie – 1978
Musées de l’aquarelle – Museo de la acuarela – Watercolor museum
Les musées consacrés spécifiquement à l’aquarelle se comptent sur les doigts de la main. J’en ai dénombré cinq à travers le monde
Museo de la Acuarela Rafael Requena à Caudette (Espagne)
Museo de la Acuarela à Llançà (Espagne)
Nordiska Akvarell museet à Skärhamn ( Suède)
Museo Nacional de la Acuarela «Alfredo Guati Rojo » à Mexico Ciudad
Museo acuarela dibujo à Quito (Equateur)
L’Expressionnisme d’hier à aujourd’hui – L’expressionnisme contemporain
Photo de la série « Gueules d’anges » de Stepk
Le livre d’art a publié en novembre dernier « L’expressionnisme contemporain » sous la Direction d’Antoine Campo avec une préface de Christian Noorbergen. Il présente des œuvres d’une centaine d’artistes qui se reconnaissent dans l’expressionnisme contemporain. J’en donnerai la liste des liens hypertextes à la fin de cet article.
Mais avant, il est nécessaire de retracer l’évolution de la « mouvance » expressionniste. C’est le critique d’art Wilhelm Worringer qui a le premier parlé, en 1908, d’« expressionnisme » Ce mouvement est né principalement en Europe du Nord à l’orée du 20ème, siècle. Il avait été annoncé par les œuvres de Vincent Van_Gogh – James Ensor et Edvard Munch
Avec le perfectionnement et la diffusion de la photographie l’art n’est plus le moyen privilégié de reproduire la réalité, comme c’était encore le cas avec l’impressionnisme. Les artistes renforcent la composante subjective de leurs œuvres marquées par la souffrance et le tragique. Ils s’affranchissent des normes et introduisent des stylisations et des déformations de leurs sujets. Ils utilisent une palette aux couleurs très fortes.
En 1905 Karl Schmidt-Rottluff et Erich Heckel fondent à Dresde Die Brücke -Le Pont. Ils sont rejoints par Max Pechstein – Ernst Ludwig Kirchner – Otto Mueller –Paula Modersohn-Becker, le suisse –Cuno Amiet et un temps par Emil Nolde.
En 1911 Franz Marc et Wassily Kandinsky fondent le groupe Der Blaue Reiter le Cavalier bleu auquel August Macke, Gabriele Munter, Paul Klee, Alexeï von Jawlensky and Heinrich Campendonk – Marianne_von Werefkin vont appartenir.
Pendant et après la 1ère guerre mondiale, l’Allemagne connait une seconde vague expressionniste avec Conrad Felixmuller –Otto Dix –Georg Grosz –Max Beckmann.
Ailleurs en Europe d’autres artistes ou courants se rattachent à la mouvance expressionniste, A Vienne en Autriche, avec Egon Schiele et Oskar Kokoschka , en Hollande avec Jan Sluijters et Leo Gestel, en Belgique avec Constant Permeke –Frits_van_den_Berghe –Gustave de Smet –Frans Masereel. En France on peut y rattacher avant la guerre Georges Rouault puis plus tard Marcel Gromaire –Amédée Dubois de la Patellière – Chaïm Soutine –Maurice Rocher – Georges Gimel –Jules Pascin
Après la seconde guerre mondiale apparaît aux Etats-Unis l’ « Expressionnisme-abstrait » encore appelé action painting , colorfield painting ou post-painterly abstraction. Ces termes ont pour la plupart été initiés par l’influent critique d’art américain Clement Greenberg
Les principaux artistes sont Jackson Pollock – Franz Kline – Willem de Kooning – Mark Rothko –Arshile Gorky Robert Rauschenberg –Jean-Paul Riopelle –mais aussi Jane Frank –Helen Frankenthaler– –Bernard Piers –Adolph Gottlieb –Philip Guston –Elaine Hamilton –Knox Martin – John Levee Joan Mitchell –Antoine Mortier –Robert Motherwell –Barnett Newman– Ad Reinhardt Tehos– Clyfford Still –Waldemar Smolarek – Bradley Walker Tomlin
A partir des années 1970 le « néo-expressionnisme » s’impose. Il est aussi appelé en France la «figuration libre »avec Rémi Blanchard – François Boisrond – Robert Combas Hervé Di Rosa– Kim Nezzar. En Allemagne les « Nouveaux_Fauves »avec Georg Baselitz – Anselm Kiefer – Jörg Immendorff. Aux Etats-Unis la « Bad_Painting » avec Jean-Michel Basquiat – Norris Embry – Eric Fischl – David Salle – Julian Schnabel. En Italie la «trans-avant-garde » avec Francesco Clemente – Sandro Chia – Enzo Cucchi. Ou encore en Grande Bretagne avec David Hockney – Frank Auerbach – Leon Kossoff, en Hollande Menno Baars en Afrique du Sud Marlene Dumas et en Espagne : Miquel Barceló
Et voici la liste des sites des artistes regroupés sous le vocable d’expressionnisme contemporain. Comme souvent dans ce genre d’entreprise, l’excellent côtoie le médiocre. Il m’a paru cependant intéressant de pouvoir se rendre compte de ce courant actuel, en France, mais il y a sans aucun doute des artistes qui dans d’autres pays évolue dans cette même mouvance
Acuti – Miguel Amate – Gilles André – Arno – Michel Aubert – Loki Baal –Laurent Bahanag –Jean-Jacques Bailly – Renaud Baltzinger –Beate Bauer – Mireille Belle – Jean-Louis Bessede – Christophe Blanc – Michel Boetsch – Mahé Boissel –Efrath Bouana – Nicole Bouret –Laurent Bouro –Francis-Olivier Brunet –Astrid Büehrle –Benjamin Carbonne – Arnaud Castagné – Manuel Chauveheid – Fabien Chevrier – Nicolas Cluzel – Christiane Collin – Pierrette Cornu – Alain Crocq – Jean-Luc Curabet –
Valérie Décoret – Sophie Degano – Patrick Delaunay – Jérôme Delépine –Béatrice V.Desvaux – Yves Donnay – Catherine_Duchêne –Jean-Baptiste Dumont –Christophe Faso – Joanna Flatau – Karine Freymann – Perrine Gaspard –Alain Gegout –Cécile Gély – Lionel Gillet – Jacques Harbelot – Frédéric Hégo – Gérard Jaulin – Hans Jorgensen – Moche Kohen – Serge Labégorre – Pascal Laloy – Corinne Lamoine – Bertrand Larriviere – Maryl Le Berre – Silviane Léger –Corinne Le Guhennec – Jean-Paul Lemarquis – Jacqueline Lipszyc – Sylvie Lobato –Thierry Loulé –Marief – Serge Marquet – Didier Meynard – Christophe Miralles –Marie-Pierre Moysès-Strack – Arno Mulot – Muns – Markus Nine –Milena Palakarkina –René Peccolo – Marcel Picard –Didier Pioger – Marie Piselli – Marie Roubenne – Daniel Roviras – Jean Rustin – Petra Schwanse – Sereirrof – Joseph Stamboulian –Stepk – Tatis –Sébastien Thomazo –Béa Vangertruyden – Johan van Mullem – Pascale Vergeron –Isabelle Vialle – Priscille Vincens –Béatrice Witdouck – Oxo Yutz
Je vous souhaite des découvertes intéressantes. Si vous avez connaissance d’une démarche comparable en dehors de la France, soyez aimable de me le signaler
Plis et drapés –Partie 2 – En l’atelier – Nature morte aux écharpes -Etude – Aquarelle
Je participe régulièrement à un atelier d’aquarelle en technique humide. Le thème est actuellement « le drapé ».
Sur une sorte de chevalet de table ou un petit mannequin, avait été disposé un ensemble constitué d’une veste en toile ceinturée et de deux écharpes enroulées au niveau du col.
J’ai d’abord dessiné un croquis préparatoire.
Croquis préparatoire – ©masmoulin 2011
Ensuite, directement sur la feuille de papier aquarelle agrafé sur un châssis, j’ai exécuté la représentation ci-dessous, sans dessin préalable.
Format 65 cm x 50 cm – Papier Montval – 300 grammes – grain fin –
Couleurs utilisées : Jaune indien – marron de pérylène – sépia
Nature morte aux écharpes ©masmoulin 2011
Enfin, pour terminer la séance, j’ai réalisé une étude en monochrome vert
Etude de drapé – monochrome vert © masmoulin 2011
La prochaine fois, l’on va travailler sur des chaussures, comme Vincent Van Gogh. C’est aussi une question de plis.
Aquarellistes équatoriens – Carnet de liens -Acuarela ecuatoriana- Libro de enlaces – Ecuadorian watercolorists – Links book
Voici le carnet de liens vers les sites, les blogs, le plus souvent les notices biographiques, des pages de galeries d’artistes ou parfois un article de presse, d’un certain nombre d’aquarellistes équatoriens. Evidemment, les artistes qui ne disposent pas d’un site ou d’un blog ne sont pas répertoriés ici.
Les peintres sont classés par ordre alphabétique, sans distinction qualitative. L’excellent côtoie parfois le quelconque. Mais je considère que ce travail de recherche permet de faire connaissance avec la pratique de l’aquarelle en Equateur
On trouve des notices accompagnées d’album sur le portail d’artelista et aussi les participants à la 3°Trienal internacional de la acuarela J’ai aussi consulté les moteurs de recherche et puis au hasard de la navigation
Il s’est certainement glissé des erreurs ou des omissions. J’ai cependant pu omettre certains artistes réputés. Mais n’étant pas hispanophone, je pense être excusé par nos amis équatoriens. De même j’ai sans doute commis des erreurs de classement. En effet comme dans d’autres pays hispanophones, les artistes ont souvent plusieurs prénoms et deux noms. Je ne suis donc pas très sur de mon classement alphabétique.J’espère qu’il vous permettra cependant de faire des découvertes intéressantes
Antonio Arias – Eduardo X. Arroyo – Rafael Ayala –
Franklin Ballesteros Gonzalez –Edguin Barrera – Voroshilov Bazante
Miguel Betancourt –Carlos Carrion-Letort –Mauricio Cobo-Martinez
– Eudoxia Estrella – Manuel Garcia –Gonzalez Guzman– Nicolas Herrera
–Francisco Jurado –Ivonne Elisabeth Lopez-Cepeda –
Marco Fabian Lopez-Vargas –Victor Hugo Manzano-Gavilanez
– Marco Martinez – Luis Miranda – Julio Montesinos –
Osvaldo Muñioz Mariño –Rene Ochoa-Villa
Jorge Perugachy –Luis Armando Proaño-Rojas–
Silvia Quezada-Aguayo – Cristina Santos-Carvache
Pablo Tapia-Sanchez – Sofia Vasquez – Carlos Veloz
Plis et drapés – Partie n°1 – Des ressources et informations pour les dessiner ou les peindre
Le Cardinal de Richelieu par Philippe de Champaigne 1836
Pour dessiner ou peindre un drapé, ce que les anglo-saxons appellent « drapery » il faut avant tout bien observer, par « monts et par vaux » les plis de l’étoffe. C’est avant tout une alternance d’ombres et de lumières.
On trouve sur Internet un certain nombre d’astuces, tutoriaux et conseils. Pour commencer en français un pas à pas au fusain sur Atelier magique- un autre pas à pas de Jean Fromentin et aussi celui sur Arizi et Intellego ainsi qu’une étude de drapé sur Art et dessin et un Truc de Sonia. Julien Gautier montre dans un pas à pas très bien illustré comme faire un drapé en trompe l’oeil et aussi un dossier pédagogique
En anglais il y a une démonstration sur artistsnetwork et un tutorial de Ron Lemen et aussi le drapé sur les pas des grands maîtres sur le forum Wetcanvas et encore le drapé dans la mode sur Fashion design drawing et une gravure de mode au pastel, avec drapé sur cette vidéo
Dans le dessin assisté sur ordinateur il y a un drapé à réaliser avec photoshop sur Exile designs 1 Exile designs 2 et aussi une vidéo explicative
J’ai trouvé deux ouvrages Les drapés le n°31 du « Cahier du peintre » chez Fleurus et Le drapé – Carnet de dessin de Patrick Le Chanu à la Bibliothèque de l’image
Voir aussi des études de Durer et de Léonard de Vinci et aussi d’un anonyme qui illustre l’ouvrage d’Eric Pagliano consacré aux Plis & Drapés dans les dessins français des XVIIe et XVIIIe siècle.
Et puis le site de Caroline Chariot-Dayez qui peint justement « les plis »
Dans un prochain article, je montrerai des travaux effectués lors d’un atelier auquel je participe.
Les gravures et estampes procédés et techniques de reproduction et de création artistique
Gravure du 15 ème siècle – Gravure de mode
Estampe japonaise et estampe chinoise
Les termes « gravure » et « estampe » sont employés indifféremment dans le langage courant.
La gravure suppose une incision, une entaille, un creusement, à l’aide d’un instrument tranchant ou d’un mordant, d’un élément imprimant en bois ou en métal, en relief ou en creux destiné à la reproduction d’une image ou d’un texte par impression ou par frappage.
Le terme estampe s’applique à tout procédé d’impression sur papier ou autre support à partir d’un procédé impliquant une pression appliquée conjointement sur ce papier et la matière qui supporte le motif à reproduire. La Bnf dans la présentation du Département_des estampes, dit que « le Cabinet des Estampes a été constitué en 1667, lorsque la bibliothèque du Roi acquiert 120 000 gravures rassemblées par Michel de Marolles » On parle aussi parfois de « multiples »
La taille en relief ou taille d’épargne, consiste à éliminer, sur le support, les parties non imprimables,par un procédé mécanique ou chimique. Les parties restantes, qui représentent le dessin, sont encrées suivant le principe du « tampon encreur » On parle de xylogravure lorsque la planche est en bois. Le support peut aussi être en métal, en pierre, en verre, en argile, en linoléum, en résines synthétiques.
La taille en creux ou taille-douce, consiste à creuser dans une plaque métallique généralement en cuivre, avec un outil ou un acide, les lignes ou les points du dessin à reproduire. On utilise parfois du zinc ou du laiton. Suivant les procédés l’on parle de pointe-sèche, de burin, d’eau-forte de vernis mou, d’aquatinte, de matière noire (mezzotinto), d’héliogravure, de photogravure, de typo gravure, de photo aquatinte
L’impression à plat à l’aide d’un support en pierre qui n’est pas creusé. Le principe utilisé est celui de la répulsion réciproque entre l’eau et la matière grasse de l’encre. On trouve comme procédés, la lithographie, la sérigraphie, la phototypie et l’offset.
Dans des prochains articles je me propose de développer ces différents procédés de gravure.
Les peintres américains d’hier. Ils ont souvent pratiqué l’aquarelle – Partie 5 –Mario Cooper- Colin Campbell Cooper- J.W.S. Cox -J. Frank Currier – Stuart Davis – Joseph DeCam -Charles Demuth -Thomas Dewing- Phil Dike -Thomas Doughty – Arthur Dove
Mario Ruben Cooper 1905-1995
Illustrateur et aquarelliste américain né au Mexique. Il a étudié au « Chouinard and Otis Art Institute » puis à la Columbia University et à la Grand Central School of Artde New York
Il a longtemps présidé l’ American Watercolor Society. Il a appartenu à la Society of illustrators , l’ Allied artists of Amer Ica ou encore l’Audubon Artists incorporated
Il a publié « Flower Painting in Water Color » et « Watercolor by Design ». Il collaborait avec des magazines comme Collier’s, Esquire ou Cosmopolite. Il a enseigné au Pratt Institute
Mario Ruben Cooper – Necklace
Colin Campbell Cooper 1856-1937
Colin Campbell Cooper est un peintre américain. Il s’est formé à la Pennsylvania Academy of Fine Arts auprès de Thomas Eakins(1844-1916) puis à Paris à l’ Académie Julian. Il a donné des cours d’aquarelle au Drexel Art Institute . Il est connu pour ses séries de gratte-ciels. Il a beaucoup voyagé en compagnie de son épouse l’artiste Emma Lampert-Cooper il a parcouru l’Europe et l’Asie qu’il a peint à l’huile et à l’aquarelle. Il était membre de la National Academy of Design. Il a été doyen de la Santa Barbara Community School of Arts. Il a participé en 1915 à la Panama-Pacific International Exposition où une reçu une médaille pour ses aquarelles. Un site lui est consacré.
Colin Campbell Cooper – Le temple de la renommée
J.W.S. Cox 1911-1982
Aquarelliste américain il est considéré comme l’inventeur de la technique « humide sur humide », de l’aquarelle à l’éponge et au couteau Il a étudié au Pratt Institute et à ¨Paris à l’Académie Colarossi puis à la Grande Chaumière auprès d’Othon Friesz (1879-1949) Il y rencontre André Derain, Albert Marquet, Raoul Dufy, Georges Rouault, Maurice de Vlaminck Il a étudié les œuvres du Greco, de Lyonal Feininger , de Turner, de Cézanne, de John Marin, de Marsden Hartley, de James Mcneill Whistler, de Charles Burchfield
Il a été membre de nombreuses organisations comme la Boston Watercolor Society, la Cape Ann Society, la Copley Society et bien entendu de American Watercolor Society (A.W.S.) où il a enseigné. Il parlait 14 langues, fuyait les mondanités et refusait les propositions commerciales.
J W S Cox – Gloucester Fishin
Joseph Frank Currier 1843-1909
Peintre américain né à Boston Il a été un moment tailleur de pierres puis employé de banque. Il part en Europe à la fin des années 60. Il étudie à Anvers à la Koninklijke Vlaamse Academie avec Antoine Wiertz. La guerre de 1870, le dissuade de s’installer à Paris. Il part suivre les cours de l’Akademie Bildenden Künste München avec notamment Wilhelm Leibl. Il y côtoie la colonie d’artistes américains avec Frank Duveneck, Walter Shirlaw et William Merritt Chase. A la fin du siècle il rentre en Amérique et abandonne la peinture. On trouve un certain nombre de ses œuvres sur le site The Athenaeum
Joseph Currier – Sun rise
Stuart Davis 1892-1964
Stuart Davis est un peintre américain né à Philadelphie. Il a étudié la peinture avec Robert Henri chef du groupe The Eight. Il a été l’un des plus jeunes artistes qui ont exposé en 1913 à l’Armory Show . Il a été l’un de principaux cubiste américain. Ses représentations d’objets et scènes de la vie quotidienne annoncent le Pop Art
Stuart Davis – Study for drawning
Charles Demuth , Deem pour ses amis, est un peintre et photographe américain né à Lancaster. Il s’est formé à la Franklin and Marshall Academy et au Drexel Institute puis à la Pennsylvania Academy of Fine Arts de Philadelphie. Il est avec Charles Sheeler, le principal représentant du mouvement précisionniste ou cubo-réalisme. Il se rend à Paris où il figure dans l’avant-garde. De retour dans son pays il rejoint le groupe d’Alfred Stieglitz et expose dans sa galerie le « 291 » Bien qu’il ait été malade toute sa vie, il a réalisé plus de 1000 œuvres, la plupart faites dans sa « maison atelier » une ancienne boutique de marchand de tabac datant du 18ème siècle. Le Demuth Museum y est maintenant installé. Ses réalisations annoncent le pop art.
Charles Demuth – My Egypt
Thomas Wilmer Dewing 1851-1938
Thomas Dewing est un peintre américain né dans le Massachusetts. Il a étudié à l’ Académie Julian. De retour dans son pays il s’installe à New York avec son épouse Maria Oakey- Dewing elle aussi artiste peintre. Il est un adepte du Tonalism. Il a surtout peint des personnages. Il a été membre du Ten American Painters un groupe d’impressionnistes américains, en rupture avec la Society of American Artists.On trouve certaines de ses œuvres sur la site de la galerie en ligne Bert Christensen
Thomas Dewing – The hermit thrush
Phil Dike –1906-1990
Phil Dike est un aquarelliste américain né en Californie. Il a étudié au Chouinard and Otis Art Institute » ou plus tard il a enseigné. Il a collaboré avec les studios Walt Disney. Il a pratiqué la peinture de plein air avec le « Groupe de Californie ». Il a présidé la California Watercolor Society
Phil Dike – Fruts market
Thomas Doughty 1793-1856
Thomas Doughty est l’un des premiers peintres paysagistes américain né a Philadelphie. C’est en apprentissage chez un marchand de cuirs, qu’il a appris à peindre. Il a appartenu à l’Hudson River School Sur la galerie virtuelle Wahooart on trouve certaines de ses œuvres.
Thomas Dought – Landscape
Arthur Garfield Dove 1880-1946
Peintre américain né dans l’état de New York. Il entreprend des études de peinture et de droit à Cornell University – Campus d’Ithaca . Il s’établit comme dessinateur publicitaire indépendant. Il collabore avec Scribner’s Magazine, Collier’s Magazine et The Saturday Evening Post. Il séjourne deux ans en France à Paris et dans le midi. Il fréquente des artistes américains comme Max Weber et Alfred Maurer . Il évolue de l’impressionnisme vers le fauvisme.
Il s’installe dans le Connecticut comme illustrateur mais aussi comme fermier.. Il se lie d’amitié avec le marchand d’art Alfred Stieglitz , qui l’ expose dans sa Galerie 291 en même temps que John Marin et Georgia O’Keeffe .Entre 1924 et 1930, il vit sur une péniche à Long Island. Il réalise des assemblages à partir d’éléments trouvés et des tableaux abstraits inspirés des idées de Kandinsky sur la musique. C’est l’un des pionniers de l’art non figuratif
Arthur Dove – Team of horses
El Modernismo de Sorolla à Picasso -1880-1918
A Lausanne, La Fondation de l’Hermitage présente
Du 28 janvier au 29 mai 2011
Une exposition consacrée à la peinture espagnole à l’aube du 20ème siècle. A cette époque l’Espagne qui a perdu ses colonies américaines et connait une instabilité politique permanente, traverse une grave crise morale. Les artistes de la « génération de 1898 » aspirent à un renouveau artistique. Les peintres espagnols hésitent entre le respect des traditions et la modernité. L’avant-garde espagnole, à Barcelone, s’inscrit dans un élan d’ouverture que connaissent d’autres villes comme Bruxelles, Glasgow ou Vienne. L’exposition présente une petite centaine d’œuvres de cette période méconnue qui annonce la naissance de l’art moderne hispanique.
La part belle est faite à Joaquin Sorolla y Bastida (1863-1923) et à Pablo Ruiz Picasso (1881-1973).Mais il y a de nombreux artistes souvent méconnus hors d’Espagne très intéressants comme Eliseo Meifrén y Roig (1858-1940) – Hermenegildo Anglada Camarasa (1871-1959) – Aureliano de Beruete y Moret (1845-1912)- Ramon Casas y Carbo (1866-1932) – Joaquim Mir i Trinxet (1873-1940) Ignacio Pinazo Camarlench (1849-1916) – Dario de Regoyos (1857-1913) – Santiago Rusiñol i Prats (1861-1931) –Zuloaga y Zabaleta (1870-1945) Pablo Uranga y Diaz de Arcaya (1861-1934)
Joaquin Sorolla – Promenade le long de la mer
Pablo Picasso – Le repas de l’aveugle -1904
Eliseo Meifren y Roig – Jardin à Majorque
Hermenegildo Camarasa – Feria à Valence
Joaquin Mir – Jardin
Ramon Casas – Après le bal
Ignacio Pinazo – L’étang
Dario de Regoyos – Arc en ciel sur la plage
Santiago Rusiñol- Jardin de Miramar
Pablo Uranga – Taureaux sur la place
Zuloaga – La rue des passions
Aquarelle – Agenda 2011 de quelques salons ou expositions . . . ailleurs dans le monde
Exposition de la Birmingham Watercolour Society
5 février au 3 mars 2011
144 th Annual International Exhibition de l’ American Watercolor Society
5 avril au 1er mai 2011
XXVIII° Salon de la Société canadienne d’Aquarelle
Ouverture du circuit itinérant en mai 2011
85ème anniversaire de la Société canadienne de peintres en aquarelle
A Ottawa du 6 au 11 juin 2011
Symposium international de l’aquarelle et exposition « Mer et ports »
En Finlande à Turku du 30 juin au 24 juillet 2011
Je remercie d’avance les visiteurs qui m’aideront à compléter cette liste, notamment avec les expositions hispanophones
De Delacroix à Kandinsky, l’orientalisme en Europe – Orientalismus in Europa. von Delacroix bis Kandinsky
Jean Lecomte du Nouy 1842-1923- La traite des blanches – 1888
L’exposition « De Delacroix à Kandinsky, l’orientalisme en Europe » fruit d’une collaboration entre un musée belge, un allemand et un français vient de s’achever à Bruxelles. Elle se poursuit à Munich à la Kunsthalle der Hypo-Kulturstiftung du 28 janvier au 1er mai 2011. Ensuite elle sera présentée à Marseille, au Centre de la Vieille Charité du 27 mai et 28 août 2011. Au bord de la Méditérrannée Kandinsky a disparu pour laisser place à Matisse
L’orientalisme n’est pas proprement parler à un courant artistique. Dès le 17ème siècle né la mode des « turqueries », les sultanes et les muftis de convention dans la peinture galante. Mais c’est à partir de 1830 que le terme employé. Certains événements politiques ont favorisé l’engouement des artistes et écrivains pour le Magreb ou l’Egypte, la campagne d’Egypte en 1798, la guerre d’indépendance grecque . Les artistes sont désireux de renouveller leurs sources d’inspiration. Ils peuvent peindre avec des couleurs plus vives, des effets de lumière forts, les femmes des harems, des scènes de rues à la foule grouillante et bigarée.
Cette exposition itinérante présente, avec 160 œuvres de peintres connus comme Eugène Delacroix, Théodore Géricault, Jean-Auguste Dominique Ingres , Alexandre-Gabriel Decamps , Hans Makart , Emile Lecomte-Vernet , Jean-Léon Gérôme , Osman Hamdi Bey , Wilhelm Gentz , Eugène Fromentin , Paul Klee , John-Singer Sargent , Ludwig Deutsch , John-Frederic Lewis , Pierre-Auguste Renoir , Wassily Kandinsky . Et aussi d’artistes moins célèbres, comme Lawrence Alma Tadema, Gustav Bauernfeind, Henri-Jacques Evenepoel , Fabio Fabbi, Alberto Pasini , Edward Poynter , James Tissot , Jean-François Portaels , José Villegas y Cordero . Ces oeuvres proviennent des principales collections d´Europe et des États-Unis en passant par celles du Moyen Orient. A voir aussi l’excellent article illustré d’Alain Truong
Et aussi une vidéo de l’exposition à Bruxelles
Eugène Delacroix – La mort de Sardanapale
Wassily Kandinsky – Improvisation
Aquarellistes péruviens – Carnet de liens –acuarelistas peruana -Libro de enlaces – Peruvian watercolorists – Links book
Voici le carnet de liens vers les sites, les blogs, le plus souvent les notices biographiques, des pages de galeries d’artistes , d’un certain nombre d’aquarellistes péruviens. Evidemment, les artistes qui ne sont pas sur Internet ne sont pas répertoriés ici.
Les peintres sont classés par ordre alphabétique, sans distinction qualitative. L’excellent côtoie parfois le quelconque. Mais je considère que ce travail de recherche permet de faire connaissance avec la pratique de l’aquarelle au Pérou
J’ai bien entendu utilisé les informations du site de l’association Luces del Sur– Acuarelas Arequipa – Pintores Peru ainsi que le portail artelistaJ’ai aussi consulté les moteurs de recherche et puis au hasard de la navigation, j’ai trouvé d’autres artistes qui n’adhèrent à aucune organisation.
Il s’est certainement glissé des erreurs ou des omissions. J’ai cependant pu omettre certains artistes réputés. Mais n’étant pas hispanophone, je pense être excusé par nos amis chiliens. De même j’ai sans doute commis des erreurs de classement. En effet comme dans d’autres pays hispanophones, les artistes ont souvent plusieurs prénoms et deux noms.- Voici donc ce nouveau carnet. Je pense qu’il vous permettra de belles découvertes.
Raf Jaime Alcantara-Fernadez –Lino Allca –
Yemy-Alleman Achata – – Germain Alarcon « Kinkulla »–
–Adolfo Ancasi-Battalanos — –Moisé Anchahua-Huamani
–Augusto Ballardo-Arce – —Cesar Bustencio-Zapana –
Larry Calle –Evaristo Callo-Anco –Dario Callo-Anco–
Evaristo Dionisio Callo-Anco – Ricardo Canamero –
Aldo Carhuancho-Herrera – –Wilfredo Castelo-Luza
–Mauro Castillo Gamarra –Mario Cayo Anco –
Darwin Chavez-Paz — Leonardo Chavez-Alvarado – –
David Condori- Soto –Elias Condori
–Pedro Cornejo-Caceres –Daniel Cotrina-Rowe –Ivan Cucho-Gamarra–
Jose Delabarra –Oscar A Elias del Carpio – Magali Dalmau Diez-Canceco
–Dorian Estrada –Percy Eliseo Gallegos-Melgar – Erik Gamarra-Monge
–Antony Ezequiel Gomez-Candia —Simeon Gonzales-Ayquipa
–Jonathan Granda –Efrain Guzman–Marco Antonio Hernandez-Vicente
–Fernando Hinojosa-Talavera –Elmer Hidalgo –
William B. Huasco-Espinozas–Carla Giannina Huamancusi-Bernabé
–Reyna Kallo-Anco, – Fredy Llamosas –Juan Maldonado
–Karla Malpartida-Garay – Sata Martinez-Crisostomo
–Alcides Medina-Umeres —Sherman Hilton Melendez-Menlendez –
Renan Monroy –Junior Montoya-Tejada – Ximena Ross Morrey-Pérez –
– Cesar Augusto Munoz-Moreno –Teobaldo Nina –Alejandro Nina-Arana
–Luis Alberto Norabuena-Castro – Anibal Oblitas-Flores–
– Betty Oblitas-Flores –Raul Oblitas Flores –Carla Andrea Ollero-Soto –
– Rogger Oncoy –Katty Orellana Aquije – Ricardo Orihuela-Montesinos
–Marco Antonio Panca-Nina –Jorge Paco-Monteagudo–
Luis Pantigozo Meza – Cesar Paredes – Myriam Perez-Manrique
– Leonel Pamo-Quiroga –Eduardo Paricahua-Mamani
–Carlos Prudencio-Parado –Orlando Arturo Robladillo-Rojas –
–Javier Luque Rodriguez –Americo Quispe-Pari –Flor de Romañia –
–Vera Victoria Rosado – Camila Rospigliosi-Suarez
–Juancarlos Salas-Candori –Jesus Victor Salvador-Portuguez
– Daniel Salviati –Pilar Sanchez-Acevedo – Libertad de los Santos –
–Roger Soberon-Espinoza –Julius Sobrino-Meija –Franco Soriano-Romero–
Nestor Soto-Argumedo –Javier Alejandro Spelucin-Medina
–Hugo Suyo Medina — Ignacio Tomaylla –Martin Tello-Sanchez –
Cesar Tolentino – Carlos Ticona-Quispe –Belgica Janet de la Torre-Guevara
–Edgar Torres–Espirilla —Rolando Torres-Lipa –Nilton Gonzalo Vela-Damaso
–Felix Vento-Gutiérrez –Judith Vergara-Garcia – Marcos Vergaray- Huisa – –Manuel Villena-Mego –
« Fly a balloon » – Une animation flash originale –
L’illustration de cet article par des mongolfières est trompeuse.
En effet, je ne propose pas aujourd’hui de prendre de la hauteur, mais de porter un autre regard sur votre navigateur favori.
Il faut aller sur « Fly a balloon » et surtout ne pas modifier les paramètres de Firefox, Internet Explorer Chrome ou autre Opera.
Ici l’on est sur la scène d’un théâtre. L’on se détend, Il suffit de regarder ce qui se passe. Et surtout ne pas oublier d’ouvrir le microphone de son ordinateur.
Si l’on a pas bien observé la scène, on peut « se la rejouer » ici.
Bien entendu, c’est moins sérieux que la réponse du Centre national des études spatiales à la question how do balloons fly ou si l’on préfère comment un ballon s’envole-t-il ?
C’est « promis-juré » demain je reprendrais de la hauteur et publierai un article plus »comme il faut » !
Les paysages enneigés – Partie 6 – La neige et . . . Masmoulin
Pour parler comme maintenant, certains visiteurs vont penser que je «ne manque pas d’air » Après nous avoir montré les œuvres de grands peintres et d’aquarellistes souvent réputés, il ose montrer un travail sur la neige.Et bien oui, il faut se lancer, oser, sans complexe. C’est comme cela que l’on progresse.
Cette « Campagne enneigée » a été peinte sur un papier Canson « Fontenay » 300 grammes – grain torchon au format 32 cm x 41 cm. Pour le ciel j’ai utilisé un soupçon de bleu de cobalt et de violet Dioxazine. Pour les haies et les routes, je me suis servi uniquement de sépia. A noter que sur l’aquarelle originale, le papier ressort bien blanc , alors que sur la photo, la proximité de la sépia,colore la neige. On juge mieux des effets de relief en s’éloignant un peu de l’écran.
Voici donc mon interprétation du thème de la neige. Après tout ce n’est pas si mal réussi, et traduit bien l’ambiance de la « campagne enneigée » que l’on pouvait découvrir il y a quelques semaines, ici dans le septentrion. La sépia peut paraître un peu triste, mais la végétation à cette époque, les arbres et les bosquets ont bien ces nuances.
Campagne enneigée – aquarelle © masmoulin 2011
Le Dvd « Luz y Sombra en Acuarela » – Lumière et ombre à l’aquarelle est maintenant disponible avec un sous-titrage en français
Dans un article du 2 septembre 2010 j’ai évoqué la parution de « Luz y Sombra en Acuarela » un Dvd de 165 minutes où l’on suit l’aquarelliste brésilien Antonio Julio Giacomin qui exécute, presque en temps réel, cinq aquarelles. Il les commente en espagnol.
Ce Dvd est édité par Veopintar une jeune firme espagnole qui se spécialise dans l’apprentissage de la peinture. Lorsque j’ai reçu gracieusement ce DVD il était sous-titré uniquement en anglais. J’ai fait remarque à Victor Retuerto , mon ami blogeur, qui organise ce lancement, qu’il était dommage qu’il n’y ait pas de sous titres en français. Il m’a pris au mot et m’a demandé si je voulais les rédiger ldans ma langue. J’ai accepté. Il m’a envoyé le texte des 1260 sous-titres en anglais avec en regard la traduction « Google » en français. Mon travail a donc été de les transcrire en français « tel qu’on le parle » Je viens de recevoir un exemplaire de la version qui inclue maintenant ces sous-titres français.
On peut l’acheter en ligne au prix de 28 euros, franco de port sur le site de Veopintar en cliquant sur le bouton« Comprar ». Le paiement se fait avec PayPal
Voici des extraits de ce Dvd
http://www.youtube.com/embed/z8_IDSltpeI