Les mouvements artistiques de 1800 à aujourd'hui +Les arts visuels depuis l'Antiquité jusqu'à l'orée du 19ème siècle.LesTechniques, manifestations, artistes, biographies, répertoires , carnets de liens + et bien d'autres choses
J’ai participé concours d’illustration des fables de Jean Anouilh organisé pour le centenaire de sa naissance. C’était comme l’on dit au tennis un concours open. Cependant, sur la fiche d’inscription l’on demandait si l’on était illustrateur de profession – artiste professionnel – illustrateur en formation – candidat à une école d’art – non professionnel confirmé ou amateur. Et aussi les publications en tant qu’illustrateur, les concours dont on a été lauréat. Je n’ai pas très bien compris pourquoi ces précisions étaient demandées dans un concours ouvert à tous.
Voici les résultats du concours et des liens vers les sites des lauréats : Grand prix et premier prix pour Cigale à Richard Idirr – Premier prix pour Le Carrosse inutile à Stéphanie Nicolas – pour Le rat à Sophie Vissiere – pour La Fourmi et la cigale à Nina Hayer pour l’Enterrement à Nathalie Trovato – pour la Chèvre à Marie-Claire Thévenot – Mention spéciale à Denise Pelletier et coup de cœur du jury à Bruno Collet Comme on pouvait s’en douter les lauréats sont tous me semble-t-il des illustrateurs professionnels
J’ai illustré six fables, à ma façon, et sans étonnement aucune n’a bien entendu été sélectionnée. Mais ce n’est pas très grave, en effet, sans paraphraser Pierre de Coubertin, je dois dire que je me suis bien amusé avec ces dessins aquarellés. Bien entendu, jusqu’à présent je ne les ai pas montré.
Voici donc mes illustrations de six fables que l’on pouvait illustrer et des liens vers le texte de certaines d’entre elles:
J’aurais aimé, comme je le fais souvent, indiquer les noms de tous les aquarellistes sélectionnés. J’ai contacté Annick Perreaux qui a aimablement transmis à ma demande à l’Association « La couleur et l’eau » Malheureusement, à ce jour, je n’ai pas reçu de réponse. Il n’est jamais trop tard. J’ose toutefois espérer qu’il ne s’agit pas d’une sorte de rétention de l’information liée à la publication et la vente du catalogue
Je parle plus souvent de peinture et peut de littérature. Je lis mais je ne vais pas me lancer dans la critique littéraire. Il y a pour cela des gens beaucoup plus qualifiés.
En ce moment je lis Vies de Job un gros livre de près de 500 pages que Pierre Assouline, le journaliste, biographe et romancier et bloggeur vient de publier chez Gallimard . Tout au long de l’ouvrage il est question de Job et du fameux Livre de Job qui fait partie des textes bibliques. L’église catholique en a même fait un saint
Pierre Assouline par à la recherche de l’auteur du livre, du personnage ou du mythe. L’origine incertaine remonte a plus de deux millénaires et tout au long des siècles les exégèses, les intellectuels, les théologiens , les archéologues, les spécialistes de langues et des textes disparus, ont écrit sur Job, on discuté, se sont disputé à son propos. Qu’ils soient croyants chrétiens, juifs ou musulmans ou athées, le message délivré par le livre les a interpellé. Ils y voient, suivant les époques, les religions, les sensibilités, un révolté, un croyant indéfectible et souvent un modèle de patience. L’auteur nous fait participer à ses recherches livresques, ses rencontres, nous livre de nombreuses anecdotes. Il évoque les grands auteurs, ses voyages à la recherche de Job. Il a appelé son livre « roman » mais c’est d’abord une biographie de Job et surtout l’autobiographie d’un homme qui part à la recherche de lui-même.
Pour en savoir plus il est intéressant de voir l’entretien publié sur Culture box ainsi que sur France Info
L’auteur à un moment parle des représentations de Job dans l’art. Il évoque l’œuvre de Georges de La Tour que j’ai mis en accroche de cet article. Je mets ici quelques autres représentations de Job
On a souvent à l’esprit les carnets de voyages du peintre britannique William Turner. C’est que qui était montré il y a quelques années à Nantes, et l’an passé à Paris. Et là ses œuvres sont de petite taille.
Le lac de Lucerne peint vers 1804-1807 qui faisait partie d’une vente chez Soheby’s Londres mesure 66 cm x 100 cm. A cette époque, il n’y avait pas de papier aquarelle en bloc encollé ou en feuilles séparées. Les artistes se procurait du papier en rouleau.
De nos jours, l’ontrouve du papier à la feuille dans des dimensions assez grandes mais en dessous du mètre, comme chez Arches 300gr 0,56 x 0,76 m
Les aquarelles et autres œuvres sur papier, qui ont les faveurs des conservateurs des musées sont généralement de grandes dimensions.
Lors d’un exposition consacrée à Anish Kapoor en 2005 au Mac’s cent gouaches de l’artiste iétaient présentées en même temps que son installation Melancolia. Il était observé que « Ce sont des œuvres récentes, créées au cours des dix dernières années, dont les dimensions étaient relativement petites (50cm x 40cm pour les unes, 80 cm x 60 cm pour les autres)
Certains aquarellistes commencent donc à s’intéresser à ces plus grandes dimensions.
L’on trouve chez les distributeurs de fournitures pour les Beaux-Arts des rouleaux de papier aquarelle qui devraient les satisfaire.
Les fratries artistiques sont à la mode, après les frères Caillebotte au Musée Jacquemart André voici les frères Dufy, Raoul et Jean au Musée Marmottan
Jusqu’au 26 juin 2011
La différence entre ces deux paires tient dans le mot rupture. Gustave et Martial Caillebotte, l’un peintre, l’autre photographe, s’entendent à merveille. Raoul Dufy (1877-1953) et son jeune frère Jean Dufy (1888-1964) sont tous les deux peintres. Ils ont des points communs et des particularités. L’aîné est fort connu mais tout allait bien jusqu’à la commande qui est faite à Raoul, en 1937, de la célèbre fresque « La fée électricité » Son frère l’aide pendant plus d’un an mais au moment de l’inauguration, Raoul ne « pipe pas un mot » de la collaboration active de son frère . . C’est la rupture. Ils ne se fréquenteront plus jamais.
Les deux frères ont chacun produit une œuvre abondante de plus de 2500 pièces. L’exposition présente une centaine de peintures et d’aquarelles venues du monde entier. Raoul a bien entendu commencé plus tôt sa carrière artistique et a flirté avec le fauvisme et le cubisme. Jean encouragé par son frère se forme et commence à peindre en 1920. Tous les deux peignent alors la mer, les vues des fenêtres de leurs ateliers. Raoul traite de la musique et Jean du cirque et tous deux sont attirés par le milieu des courses ou encore Nice et Paris
On trouve une vidéo consacrée à cette exposition sur Culturebox
J’ai déjà consacré en son temps un article à Raoul Dufy. . On trouve la biographie et les œuvres de Jean Dufy sur le site que le galeriste Jacques Bailly lui consacre.
Et voici une courte sélection d’œuvres de Jean Dufy
Depuis cet après-midi, le gestionnaire de mon blog a changé. Il s’ensuit une période d’adaptation et aussi de tâtonnements.
Ainsi vous constaterez que l’apparence de mon blog est légèrement modifiée. De même dans le nouveau système, il n’y a plus de portfolios. Il faudra que je trouve une solution extérieure.
Le Musée du Louvre présenteen collaboration avec le Teylers Museum. l’exposition « Claude le Lorrain, le dessinateur face à la nature » dans le Hall Napoléon jusqu’au 18 juillet 2011. et ensuite à Haarlem du 29 septembre 2011 au 8 janvier 2012. Sont présentés 80 dessins, de Claude Gelée dit le Lorrain reconnu de son vivant comme l’un des grands maîtres du paysage . Il les a exécutés, d’après nature, au cours d’une période de plus de cinquante années. Sont également montrés douze chefs-d’oeuvres peints à l’huile.
Une vidéo de l’exposition est disponible sur CultureBox
Voici quelques images des dessins exécutés à la sanguine, l’encre brune, la pierre noire et autres outils de dessin, parfois rehaussés à la gouache
Claude le Lorrain – Arbre près du ruisseau
Claude le Lorrain – Berges boisées
Claude le Lorrain – Tempête
Claude le Lorrain – Paysage panoramique
Claude le Lorrain – Coupole de la basilique Saint-Pierre de Rome
Claude le Lorrain – L’enlèvement d’Europe
Claude le Lorrain – Paysage pastoral avec des grands arbres
La marque de papier Canson a créé un site dédié aux artistes l’Atelier Canson. L’une de ses rubriques de la « Tribu des artistes » est consacrée à l’aquarelle. On y trouve entre autre dix textes illustrés qui traitent de questions techniques.
En France, selon Insee, on recense en , un peu plus de cent mille bateaux de plaisance de plus de six mètres. Il y a par ailleurs 405 ports de plaisance sur les cotes françaises. La revue Voiles et voiliers est dédiée au sport nautique.
Je ne pratique pas ce port, mais ici le nautisme est omniprésent, avec les deux ports du Lavandou et celui de La Favière à Bormes les Mimosas. Et puis , il y a les vendeurs de voiliers et autres bateaux, les réparateurs, les marchands de fournitures.
C’est cet environnement qui m’a donné l’envie de peindre cette aquarelle de voilier. Elle est réalisée, dans l’humide, sur un papier Montval, tendu sur châssis, 300 gr grain fin, format 50 cm x 65 cm
Cette manifestation rassemble une sélection de 36 artistes. Deux tiers sont regroupés dans le salon international et le dernier tiers qui regroupe des artistes normands, souvent talentueux, constitue le salon régional.
Il ne m’appartient pasde m’immiscer dans les choix de l’Adage – Association pour la Diffusion des Arts Graphiques à Gaillon et ses Environs. Pourquoi instituer ainsi deux catégories d’aritistes. Pour le public, les régionaux risquent d’apparaître comme des artistes de seconde zone, des frères convers . Je trouve cela un peu dommage.
Pour ma part, j’ai classé les artistes par ordre alphabétique, sans respecter cette répartition. Ont donc été sélectionnés
Par définition, seuls les aquarellistes qui sont présents sur le Web figurent dans le carnet. Encore que parfois, j’ai repris un lien vers un article de presse paru lors d’une exposition ou encore une notice biographique. Certains sites et blogs sont très actifs et d’autres un peu en sommeil. Mais de mon point de vue l’important est de découvrir “le monde” des aquarellistes de Nouvelle Zéalnde
Il est certain que des erreurs ou des omissions ont été commises involontairement. Je remercie les un(e) s et les autres de bien vouloir me signaler celles que vous découvrez.
Les peintres sont classés par ordre alphabétique, sans jugement de valeur. L’exercice aurait été bien trop délicat, entaché de partialité, sujet à caution. Je n’ai pas retenu le critère de la pratique exclusive de l’aquarelle.
les vingt planches originales de papiers découpésen couleurs qui illustrent le « manuscrit à peinture » qu’ Henri Matisse (1869-1954) a réalisé pour le livre Jazz publié par l’éditeur Tériadeen 1947. L’ouvrage maintenant épuisé avait été réédité en 2004 par Anthèse
Le peintre qui montre de nombreuses scènes du monde du cirque avait hésité sur le titre à donner à l’album. Il a finalement retenu « Jazz » car les gouaches découpées correspondent à l’essence de la musique de jazz.
Son état de santé ne lui permet plus de peindre. Ses collaboratrices lui préparent des feuilles de papier colorées à la gouache. L’artiste qui a découvert cette technique que les chinois pratiquent depuis la nuit des temps, découpe des morceaux de papier colorés qu’il assemble avec la passion qu’on lui connait pour la couleur pure.
Certaines de ces planches avaient été montrées en 2005 au Musée du Luxembourg. Voici des images de quelques unes de ces planches
J’ai acheté cette théière il y a plus de vingt ans à Vence. Elle a été fabriquée par un potier comme dans cet atelier cioulà
C’est une théière en terre cuite, ce que les connaisseurs appellent une théière à mémoire. Je ne connais pas grand-chose en matière de thé et de théières. Il faut laisser la parole aux collectionneurset aux connaisseurs comme Stéphane Erler qui vit depuis près de 20 ans à Taiwan ou encore le site Paris Beijing.
Voici l’aquarelle que j’ai réalisée, sur le motif, de cette théière de potier. Sur papier Montval – 300 gr grain fin tendu sur châssis format 50 cm x 65 cm dans l’humide
La lithogravure est parfois confondue avec la lithographie. La première est une technique de gravure de la pierre en creux qui était utilisée dès l’antiquité pour décorer les monuments. Elle a été utilisée pour exécuter des estampes. Le support était l’ardoise et le dessin gravé en relief. Cette technique est vite tombée en désuétude.
Lalithographie du grec λίθος lithos signifie dessin sur pierre. Il ne s’agit plus ici d’une technique de gravure en creux ou en relief. La composition n’est pas gravée, mais dessinée sur une pierre calcaire. Celle-ci a été préalablement grainée par ponçage pour pouvoir recevoir le dessin.
Contrairement aux techniques de gravure, la lithographie ne nécessite pas unlong apprentissage. L’artiste peut dessiner sur la pierre comme il a l’habitude de dessiner sur du papier, avec relativement peu de contraintes techniques. Il se sert alors d’un crayon ou d’une craie qui ont la particularité d’être très gras. Il peut aussi utiliser une plume avec de l’encre grasse. Pour obtenir des teintes, il peint des aplats à l’encre: on parle alors de lavis lithographiques. Les lithographiesen couleurs nécessitent l’usage de plusieurs pierres. Les pierres peuvent être réutilisées après impression, moyennant un polissage.
Ce procédé de transfert a été inventé en 1796 par le dramaturge autrichien Aloys Senefelder. C’est Louis-François Lejeune qui l’introduit en France. La technique devient très populaire après 1850 lorsque Godefroy Engelmanninvente la chromolithographie vite affublé du terme péjoratif « chromo »
Elle permet de réaliser des reproductions d’œuvres peintes mais aussi des créations originales. Henri de Toulouse Lautrec s’y intéressera. La lithographie est adaptée à reproduction d’œuvres d’artistes aux techniques variées, et à des tirages en quantité limitée.
Le marché de la lithographie est beaucoup moins florissant qu’au XIXe siècle. L’avènement dans les années 1960 de l’offset a signé son déclin. Une dizaine d’ateliers parisiens continuent de la pratiquer, à l’ancienne en travaillant des papiers de qualité.
Je reprends mes carnets de liens des sites des aquarellistes américains avec ceux de l’Arkasas membres de la Mid southern watercolorists
Autant que faire ce peut, j’ai retiré de cette liste, les artistes qui sont par ailleurs membres de l’une ou des deux sociétés nationales américaines. Le classement est l’ordre alphabétique, sans tenir compte des différences de niveaux parfois évidentes
Anish Kapoor est un plasticien britannique né à Mumbai (Bombay) en 1954. Il arrive à Londres en 1973 et suit l’enseignement du Hornsey College of Art, puis de la Chelsea School of Art Design C’est l’Inde qui lui inspire ses premières sculptures recouvertes de pigments très vifs, dont la série de 1 000 names. Il se fait connaître, au niveau international dès les années 1980, par ses travaux monumentaux, à mi-chemin entre l’architecture et le design. Il est considéré comme l’un des plus grands créateurs contemporains. Parmi ses œuvres les plus connues Her Blood –Clood Gate –Sky Mirror – Melancholia – Svayambh. Il a obtenu en 1991 le Turner Prize, il est membre de la Royal Academy, de l’Art council
Il a été exposé au Musée Guggenheim de Bilbao ,, au Louvre, à la Royal Academy, à la Tate Modern au Mac’s du Grand Hornu Il travaille actuellement à la conception d’un signal haut de 116 mètres qui sera installé à Londres pour les jeux olympiques de 2012. Il portera le nom du mécène et industriel indien qui le finance « The Arcelor Mittal Orbit ».
On peut trouver le dossier de presse Iciainsi qu’uneinterview de l’artiste
On sait moins qu’Anish Kapoor peint aussi, notamment à la gouache et à l’aquarelle. Certaines de ces aquarelles sont actuellement exposée à la Tate Britain dans le cadre de l’exposition intitulée tout simplement watercolour
Voici les images de quelques unes des ses oeuvres monumentales
Et non, ce n’est pas une photo de ma boite d’aquarelles en godets. C’est l’une des photos aériennes des marais salants de Guérande prises par Arnaud Drean
Eh oui, il y a des joueuses et des joueurs de boules un peu partout en France. Ils sont leur forum boulistenaute, leurs règles et aussi des blogs comme celui tout simplement appelé boulistes. Mais dès que l’on est dans le Sud, ils sont omniprésents.
Voici, un peu de cette ambiance dans ce dessin aquarellé sur papier Etival de Clairefontaine 300 gr grain fin format 30 cmx 40 cm
Otto Stark est un peintre impressionniste américain né dans l’Indiana. Il commence par travailler chez un sculpteur sur bois puis chez un lithographe. Il suit les cours de la Cincinnati Art Academypuis à laArt Students League de New Yorkavec William Merritt Chase et enfin à Paris à l’Académie Julian. Il se marie en France puis rentre aux Etats Unis. Son épouse décède laissant quatre enfants en bas âge. Il ouvre un atelier à Indianapolis et enseigne pendant une quinzaine d’années à la « Manual High School » puis à la Herron School of Art Il a fait partie des paysagistes de l’Hoosier Group avec TC Steele – Richard Gruelle – William Forsyth et J. Adams Ottis avec qui il peint le plus souvent
Otto Stark – French garden
Theodore Clement Steele 1847-1926
Theodore Clement Steele estun peintre impressionniste américain né dans l’Indiana.Il étudie à l’ Indiana School, à laRoyal Academy de Munich. Il fonde l’Indianapolis School of Art avec William Forsyth. Il est membre d’ l’Hoosier Group avecRichard Gruelle – William Forsyth et J. Adams Ottis et Otto StarkIl a été membre de la National Academy of Design. C’est un portraitiste et un paysagiste de « plein air »
Theodore Steele – Tinker place
Julius Leblanc Stewart 1855-1919
Julius Stewart est un peintre américain né à Philadelphie. Son père William Hood Stewart qui s’est enrichi dans le sucre, s’installe à Paris et devient collectionneur d’art, notamment de Maria Fortunyet des peintres de l’école de Barbizon. Julius étudie avec Eduardo Zamacois_y_Zabala puis auxBeaux-Arts auprès de Jean-Léon Gérôme.Il fut aussi l’élève de Raimondo Madrazo y Garreta. Ilt fera toute sacarrière en France. Il expose au Salon. Il est essentiellement connu pour ses nus et ses portraits de la société de la Belle Époque. On peut trouver des œuvres de l’artiste sur Femmes-Femmeset sur Ricci-Art
Charles James Theriat est un peintre orientaliste américain né à New York. Ses parents s’installent en France lorsqu’il a douze ans. Il se forme à l’Académie Julian à auprès de Jules Joseph Lefebvre et de Gustave Boulanger. Il visite l’Afrique du Nord qui le fascine. Il peint des scènes de plein air avec des chevaux, des campements de bédouins, des chèvres, le désert. Ses œuvres sont pendant une quinzaine d’annéesexposées à Paris,Berlin, Dresde, Chicago, Buffalo, Saint-Louis. Ensuite il se retire à Le Mée près de Barbizon tout en continuant à visiter l’Afrique du Nord. Pendant la Grande Guerre, son action au sein de la Croix-Rouge américaine, lui vaut d’être fait Chevalier de la Légion d’Honneur.
Charles Theria – Algerians in their camp
Louis Comfort Tiffany 1848-1933
Louis Comfort Tiffany est un peintre orientaliste mais surtout un artiste et industriel verrier et designer américain né à New York .Il étudie à la National Academy of Design et aussi avec George Inness et Samuel Colman. Il fonde une firme et met au point le « Favrile glass » Il a créé bien d’autres entreprises dans le domaine de la décoration. Il a réalisé ses fameuses lampes, mais aussi des vases, des Vitraux et des bijoux dans le style « Art nouveau » ainsi que des meubles
Louis Comfort Tiffany – Window with landscape -vitrail
Ernest Tuckerman
Ernest Tuckerman est un peintre orientaliste américain né à New York .Il fut élève de Jean-Léon Gérôme et de Félix BarriasIl exposé plusieurs années au Salon de Paris entre 1870 et 1880.
Ernest Tuckerman – The marchant
John Henry Twachtman 1853-1902
John Henry Twachtman est un grand peintre impressionniste et graveur américain né dans l’Ohio. Il est d’abord l’élève de Frank Duveneckpuis à Munich à l’Akademie der Bildenden Il visite Venise en compagnie de William Merritt Chase. Il rentre quelques temps dans son pays et expose à la Society of American Artists et enseigne à la Women’s Art Association. Il visite l’Angleterre, la Belgique, la Hollande et l’Allemagne
Puis il part à Paris étudier à l’ Académie Julian avec Gustave Boulanger et Jules Joseph Lefebvre. Il y côtoie Childe Hassam, Willard Metcalf, Frank W. Benson, Edmund C. Tarbell, et Robert Reid. Il a été influencé par le travail de James McNeill Whistler et Jules Bastien-Lepage. De retour aux Etats Unis il enseigne à l’Art Students league. Il est l’ami de Theodore Robinson qui avait fréquenté Claude Monet à Giverny. Il a été membre du groupe The Ten.
Bonjour à toutes et à tous mes fidèles visiteurs ainsi qu’à celles et ceux qui ne font que passer.
A force d’appeler Orange, sans résultats, je commençais à . . . voir rouge.Je ne dis pas le nombre d’appels que j’ai du faire au 10.14 et au 3900. Et comme l’on n’a jamais affaire à la même personne, il faut chaque fois tout répeter. L’on m’a envoyé des sms où l’on me conseillait de consulter orange.fralors que je n’avais plus de connection. Enfin tout est rétabli et je vais pouvoir à nouveau rédiger de nouveaux billets.
Je mets en ligne, l’un des derniers articles que j’avais encore « en stock » sur mon gestionnaire.
Actuellement je suis privé d’accès à Internet. Dans le Sud j’ai souscrit à un contrat « Découverte – Accès libre » . J’ai demandé le rétablissement de la ligne le 28 avril 2011. Malgré mes relances, je ne suis toujours pas connecté. Je suis contraint de mettre le billet ci-dessous, comme celui de vendredi, dans une boutique informatique. Et cela me bloque bien entendu, pour les recherches nécessaires pour rédiger de nouveaux billet
Je poursuis avec vous la découverte des aquarellistes du monde entier. Nous voici arrivés en Australie.
L’on connait quelques aquarellistes australiens de renom, qui fréquentent les salons de Belgique, de France et d’autres pays européens. Mais ils se comptent sur les doigts de la main. Or il y a sur ce « pays continent » un véritable foisonnement d’artistes qui pratiquent l’aquarelle, exclusivement ou non.
Par définition, seuls les aquarellistes qui sont présents sur le Web figurent dans le carnet. Encore que parfois, j’ai repris un lien vers un article de presse paru lors d’une exposition ou encore une notice biographique. Certains sites et blogs sont très actifs et d’autres un peu en sommeil. Mais de mon point de vue l’important est de découvrir “le monde” des aquarellistes australien
Il est certain que des erreurs ou des omissions ont été commises involontairement. Je remercie les un(e) s et les autres de bien vouloir me signaler celles que vous découvrez.
Les peintres sont classés par ordre alphabétique, sans jugement de valeur. L’exercice aurait été bien trop délicat, entaché de partialité, sujet à caution. Je n’ai pas retenu le critère de la pratique exclusive de l’aquarelle. J’ai découvert des artistes talentueux, qui ne font pas de bruit, ne fréquente pas les salons. Il y a aussi parfois l’inverse, mais ne soyons pas mauvaise langue.
J’ai voulu me garder de tout élitisme et montrer l’éventail des techniques, des pratiques, des styles. Ce qui m’a touché c’est la passion, le souci de progresser, de faire partager, de beaucoup.
Je vous souhaite de faire de jolies découvertes !!