Les mouvements artistiques de 1800 à aujourd'hui +Les arts visuels depuis l'Antiquité jusqu'à l'orée du 19ème siècle.LesTechniques, manifestations, artistes, biographies, répertoires , carnets de liens + et bien d'autres choses
Doodlewash est un site consacré à l’aquarelle créé par Charlie O’Shields qui vit à Kansas City. Il a aussi créé le World Watercolor Group qui regroupe 400 artistes essentiellement américains et européens. Chaque participant dispose d’une « home page ».
Sennelier vient de lancer « Place to paint » décliné en anglais et en français Ce site, comme c’est expliqué sur le blog doit permettre aux artistes peintres, apparemment sans sélection préalable, de partager les lieux où ils aiment peindre et de montrer les œuvres qu’ils y ont réalisé. Les lieux sont localisés sur une carte interactive. On peut aussi annoncer des évènements artistiques.
Sans doute un effet de la mondialisation » des endroits pour peindre » site lancé par une firme française devient, » place to peint » même pour les francophones. C’est d’autant plus curieux, que dans le milieu artistique américain l’on emploi le terme français dans « plein air painting » ou « plein air painters » . Il y aussi un magazine « Plein air magazine »
Voici la vidéo de présentation (teaser in english) par Yves-Marie Salanson, le directeur artistique de Sennelier
L’artiste britannique Steve Burden aime sortir des « sentiers battus » souvent empruntés par trop d’aquarellistes. Il a fait part de ses recherches et expériences dans une interview accordés au magazine Sunday Times . Son approche peut-être déconcertante, mais les « curators » et autres commissaires raffolent.
IWS a organisé en 2014 un concours des jeunes aquarellistes de moins de 35 ans. Plus de 700 jeunes artistes y ont participé. Voici, les dix premiers lauréats.
qui entend recenser les cours et stages organisés en France et dans les régions frontalières.Je pense qu’en ce qui concerne les régions septentrionales, nos amis belges qu’ils soient d’expression française ou néerlandophone seront intéressés par cette initiative.
Je ne peux qu’encourager Christine. Pour ma part, en 2014, j’ai ouvert sur mon blog « stages ici ou là » une rubrique, où je parle de mes expériences de stages et aussi en début d’année de ceux annoncés. Céline Castaing-Tailleur c’est aussi lancée dans un tel recensement. Cependant, la publication sur un site est, j’en suis convaincu, plus adaptée
Ce lieu virtuel devrait intéresser à la fois les artistes qui organisent des cours et/ou animent des stages et les personnes qui veulent se former ou se perfectionner dans la pratique de l’aquarelle et constituer une véritable base de données.
Celles et ceux qui souhaitent prodiguer les techniques de l’aquarelle doivent s’inscrire directement en ligne sur le site. Et bien entendu respecter les Conditions générales d’utilisation suivantes :
Bien entendu, l’inscription d’un stage ou d’un cours sur le site ne peux pas être le gage de qualité, de sérieux.
En effet, Christine ne pourra pas comme jadis dans la série culte des années 80 :
Jeudi dernier j’étais dans le Sud. A l’ heure du déjeuner nous nous étions fixé rendez vous à Pierrefeu du Var. Nous étions trois: les deux animatrices de Carré d’aquarellistes et Masmoulin Sandrine Teti est venue en voisine et Valérie Przybylek de Saint-Cyr-sur-Mer où je l’avais déjà rencontrée
Autour d’un menu à 17 euros très correct nous avons conversé pendant près de 2 heures. Nous avons échangé sur ce qui fait notre vie . Et puis bien entendu longuement d’aquarelle : des événements, des salons, des magazines. Des paroles libres pas toujours aquarellement correctes que je ne dévoilerai pas.
Les deux amies, la blonde et la brune, m’ont parlé des stages qu’elles organisent ici dans le Var. L’attrait du Sud, l’Héliotropisme, fait que les aquarellistes reconnus acceptent volontiers d’animer des stages
Quant aux stagiaires ils viennent non seulement du Var et de la Paca, mais de toute la France, de Belgique et d’un peu plus loin
Leur gros problème est de trouver des salles pouvant accueillir entre 10 et 15 personnes.
Nos 2 amies sont des bénévoles et ne perçoivent ni rémunération, ni défraiement. Malheureusement tout le monde ne le comprend pas ou ne le croit pas. Certains, en vertu du fait qu’ils paient, ont des exigences inappropriées. Ce sont ces comportements qui les égratignent. Mais rassurons nous elles n’ont pas du tout l’intention d’arrêter
Et puis le soir, à l’heure de l’Apéro, j’ai reçu chez moi à Bormes les Mimosas , Éric Laurent aquarelliste talentueux reconnu et son épouse. Ils sont venus en voisins puisqu’ils passent la semaine sur le territoire de la commune à 10 minutes de chez moi
Nous avons bien entendu parlé l’aquarelle, de son approche artistique, des salons où il est invité, de la récente biennale des Aquarellistes en Nord, dont il est membre, et de bien autres choses
À noter qu’ Éric Laurent interviendra prochainement chez Carré d’aquarellistes. Et puis en juillet il sera au festival d’aquarelle de Brioude. J’y serai également et donc je les retrouverai ainsi que beaucoup d’amis
Maggie Lathamaquarelliste américaine a lancé en 2010 un défi à six aquarellistes britanniques, irlandaise et française. C’était le projet : one hundred washes chalenge »Il s’agissait pour les participantes de peindre 100 aquarelles au cours d’une année, d’octobre 2010 – octobre 2011 . Leurs réalisations étaient mises en ligne sur un blog aujourd’hui disparu.
La française Olivia Quintin, riche de cette expérience lance à partir de janvier 2015 « Wash a week challenge » que l’on peut traduire par un lavis par semaine.
Par ailleurs, chaque mois les aquarellistes qui le souhaitent pourront participer à un défi organisé par Olivia en s’inscrivant sur le site http://washaweekchallenge.blogspot.fr/
En avril 2012 l’association Aquarellences organisait sa première exposition à la Halle au blé à Alençon sous le titre évocateur « L’aquarelle autrement » L’évènement réunissait huit aquarellistes reconnus
Nicole B – Eban, EwaKarpinska, Kelsy, Catherine Mithouard,
Il leur arrivait de se rencontrer au hasard des expositions et salons et de s’estimer réciproquement tant par l’œuvre que par la personne. Ils ont constaté qu’ils partageaient le même souci de qualité, de créativité, de nouveauté, Que dans le chemin de l’eau ils cherchaient d’autres chemins, d’autres vocabulaires plastiques, d’autres écritures, d’autres écritures, d’autres expérimentations.Ils ont donc décidé de créer
Ils s’interrongent sur la place de l’artiste dans la société et le monde de l’art, Sur les rapports entre l’abstraction et la figuration, le travail de l’eau, de la matière, de la lumière, du volume, Et aussi le rapport avec d’autres techniques comme la gravure,
Dans leurs œuvres ils se détachent peu ou prou du réel et du sujet . Ils entendent ainsi apporter leur contribution à la peinture contemporaine actuelle
Les Départements du Nord, du Pas-de-Calais et la Province de Flandre occidentale (région de Bruges, Courtrai, Ypres…) organisent la 17ème édition des « Portes ouvertes des ateliers d’artistes »
Les 17, 18 et 19 octobre 2014.
Plus de trois mille artistes professionnels et amateurs participent à cette opération.
On trouve les ateliers qui participent à l’opération, sur les sites du département du Nord et celui du Pas de Calais ainsi que le Burenbij kunstenaars de la West Vlaanderen – (Flandre occidentale)-
La Picardie n’a pas en reste, avec les « Invitations d’artistes » qui se dérouleront du 26 septembre au 12 octobre 2014
Pour la quatrième année consécutive, je participe à cette opération. Nous avons constitué un collectif qui s’installe à cette occasion dans l’atelier de Pascale Delhaye .
Nous sommes neuf artistes membres de l’association «Aquarellistes en Nord » , à savoir José Béghein, Dominique Darras, Jacques Lefevre , Nicole Louchaert, Danièle Stach, Emmanuel Vandekerkove, Jean Vaudois et bien entendu notre hôte et moi-même. On trouve les notices six artistes le moteur de recherche avec Leers.
L’Atelier de Pascale Delahaye est situé 18, rue Pierre Catteau 59115 Leers Google Maps
Pour participer, il suffit se rendre au rendez-vous fixé avec, ses crayons, ses feutres, ses couleurs et sa bonne humeur. En souhaitant que le temps soit de la partie pour réaliser nos croquis urbains
Elle organise des stages d’aquarelle animés par des artistes réputés en région Paca. Près de 300 personnes ont adhéré à la structure. Voici la liste des stages 2013
En 2013 elle a le projet de créer, dans une démarche caritative, un évènement « Grand Public » avec exposition des membres et démonstrations
Deux aquarellistes passionnéesDominique Gioan et Corinne Hentschel lancent l’initiative, d’organiser à Paris, dans le cadre de l’Atelier du Passage des stages lors de week end ou des vacances scolaires animés par des artistes renommés.
Elles sont regroupées sur le blog Arjador, dédié à cette initiative. Nos deux aquarellistes précisent que leur but n’est pas financier et que la contribution qui est demandée ne couvre généralement que la rémunération de l’artiste qui anime le stage. Dominique a aussi lancé le site de « covoiturage »navettes salons aquarelle
Contact par courriel à corinne.dominique75@yahoo.fr et par téléphone aux numéros 06.25.14.03.88 et 06.62.11.07.97 – Atelier du passage 7/9 passage Geffroy Didelot à Paris (17ème) LocalisationGoogle Maps
Il y a bientôt un an, sept aquarellistes se sont lancées le défi de peindre et de mette en ligne cent lavis. Il y a une américaine, cinq britanniques, une française, et une irlandaise.
Pendant près d’un an, elles ont peint et mis en ligne des lavis. Leur but était d’en peindre cent chacune. Elles sont presque arrivées au but.
Le « one hundred washes » que l’on peut traduire par « cent lavis » va donc bientôt cesser d’être alimenté. Mais bien entendu il sera toujours possible de le consulter. Il est riche des expériences accumulées au cours de cette année
L’on pourra aussi avec bonheur consulter les sites de nos sept aventurières. Six sont anglophones, tout d’abord celui de Maggie Latham de Somerset (U.K.) l’initiatrice de ce projet, Jane Minter qui vit à Venise, Theresa Evans du Cheshire (U.K), Vandy Massey du Cambridgeshire, Christy Lemp de New York (U.S.A.) et celui de Suzanne Lindfield de Dublin (Ir.)
Et puis il y a notre compatriote Olivia Quintin que je remercie de m’avoir parlé de cette sympathique expérience.
Gottfried Saltzmann – New York Faile- Technique mixte sur toile – 2009
La galerie New Art city, créée il y a juste un an, fin octobre 2008, est une galerie d’art tournée vers l’Art contemporain. Elle est installée dans le Vieux Lille au 67, rue Saint André. Ici
L’accueillante galeriste Blandine Reyns a choisi de nous présenter l’artiste autrichien
Gottfried Salzmann
du 6 novembre 2009 au 16 janvier 2010
Trente cinq de ses œuvres y sont accrochées. Cet artiste est un aquarellistede renommée internationale. Il est exposé dans de très nombreux musées de part le monde. Il peint à l’aquarelle sur ses propres photos. Dans ses œuvres qui nous montrent les grandes cités dans des visions aériennes impressionnantes. Il joue de la transparence et de la complémentarité entre les encres et les pigments. Il allie la précision de la photographie et la transparence de l’aquarelle. Les couleurs des encres et des pigments fusionnent harmonieusement. Il est certain que les puristes de l’aquarelle ne s’yretrouveront pas toujours. Certaines œuvres revendiquent l’étiquette d’aquarelle, d’autres sont de la « Technique mixte sur photo ». Il y a aussi des « photeauforte » un néologisme crée par l’artiste, en fait des estampes numériques numérotées. C’est la première fois que cet artiste est exposé à Lille.
On trouvera dans un autre article des éléments biographiques sur cet artiste. On peut aussi trouver quelques informations sur ce site de la galerie Arcturus
La galerie est ouverte du mardi au samedi de 14 heures à 19 heures.
Je viens de recevoir, par courriel, une invitation de Maryse De May. Elle présente une soixantaine d’œuvre, à la Salle Francval à Arpajon du 28 novembre au 9 décembre 2009
Les Départements du Nord, du Pas-de-Calais et la Province belge de Flandre occidentale (région de Bruges, Courtrai, Ypres…) organisent la 12ème édition des « Portes ouvertes des ateliers d’artistes » les 16, 17 et 18 octobre 2009.
On peut rechercher les ateliers qui participent à l’opération
Je viens de recevoir une « invitation virtuelle » à l’exposition qui va se tenir à Seneffe. « On the water’s edge » que l’on peut traduire par au bord de l’eau. Il s’agit d’une exposition collective, je passe donc l’information dans ce billet. Il s’agit de Marc Folly – Janine Galizia – Stéphane Heurion – Nicholas Simmons – Xavier Swolfs et Joseph Zbukvic. Tous ces artistes sont connus. Je suis heureux de voir qu’y figure Nicholas Simmons. C’est l’un des premiers artistes que j’ai retenu pour un « coup de coeur »
Seneffe est située en Belgique, dans la Province du Hainaut, près de La Louvière, entre Mons et Charleroi. Les autoroutes, que l’on vienne de Belgique ou de France permettent d’y accèder facilement. Voici un plan de situation
Je viens de recevoir par courriel une invitation de Viktoria & Slawa Prischedko qui ouvrent leur atelier de Trèves les après midi des 26 et 27 septembre 2009. Je répercute cette information qui peut intéresser les personnes qui résident en Belgique, au Luxembourg, ou dans le Nord-Est de la France.
Le jury a fait connaître son choix. J’imagine aisément que la tache était difficile. Je rappelle qu’i y avait 112 artistes présents dont 25 appartenant à des nationalités autre que belge. D’antant que l’attribution de seulement trois prix, donne une approche trop réductrice.Il y a peut-être là une idée à creuser de délivrer d’autres prix, pas nécessairement dautés, mais qui apporterait une forme de reconnaissance à leurs bénéficiaires.
Le Prix de la Ville de Namur a été attribué à Pélagie Berquin
Le Prix du Public est revenu à un artiste allemand qui a forcé l’admiration des nombreux visiteurs : Slawa Prischedko. La vox populi ne s’est pas trompée.
La tentation première est d’être strictement informatif ; le jury a délibéré et voici le palmarès. Je suis convaincu qu’à l’heure duverdict, le choix n’était pas aisé. Mais, je ne peux m’empécher de donner mon point de vue.
J’observe que dans le prix de la Ville de Namur et dans le prix du Jury, c’est le « classicisme » qui a guidé l’aréopage de l’Arsenal. C’est le réalisme, je dirais même l’hyper réalisme de Guy Gruwier qui a favorablement impressionné le Jury.
La ville de Namur récompense une artiste tout à fait talentueuse, qui enseigne à l’école de Namur. Mais je ne peux pas penser qu’ici l’on est un peu « entre soit ». Personnellement, ma préférence aurait, si l’on reste dans le cadre purement namurois, plutôt été vers les demoiselles « aguichantes » de Stéphane Heurion.
Si j’en crois l’illustration de l’entretien que le nouveau président du Salon, José Mespouille, a accordé à Actu 24 be, je ne suis pas le seul à apprecier les oeuvres de Stéphane Heurion.
Et il y avait bien d’autres artistes tout aussi talentueux.
En l’état actuel des choses, on reste dans « l’aquarellement correct » Les approches qui s’éloignent du figuratif « pur et dur », celles qui suggèrent plus qu’elles ne disent, celles qui flirtent avec l’abstraction ne semblent pas plaire. On est donc très loin de ce que l’on découvre dans les manifestations de l’art contemporain. Et je ne parle pas des techniques mixtes qui ont le sait, sont bannies en ces lieux, comme ailleurs en Europe.
Pour conclure je pense, que cet « académisme éclairé de bon aloi » ne donne pas d’atouts à l’aquarelle pour rivaliser à armes égales avec la peinture à l’huile ou à l’acrylique.
En aquarelle, il y a eu l’école anglaise avec Turner et d’autres, et France il ya eu, bien entendu les peintres voyageurs comme Eugène Delacroix. Mais ensuite ce sont « les jeunes filles de bonne famille »» qui faisaient du piano et de l’aquarelle. Mais les choses changent. Beaucoup d’artistes vont de l’avant.
Je vais me répeter, peut-être radoter, mais il faut bien admettre que depuis une vingtaine d’années, des artistes talentueux se révèlent. On a quitté le domaine des « loisirs créatifs. Ces artistes ont suivi un cursur académique ou plus prosaîquement ils se sont formés dans des cours, de stages, des rencontres. Ces autodidactes, que d’aucuns continuent à traiter, d’amateurs, de peintres du dimanche, ont eux aussi des choses à nous montrer. En effet, l’art ne se décréte pas. Il est dans les « tripes » de l’artiste et le style ou mieux le talent ne s’enseigne nul part. C’est le rôle des Salons comme celui-ci de les réveler.
Je souhaite donc ardamment que sous la présidence d’un critique d’art averti comme Monsieur Mespouille accompagne le mouvement et pourquoi pas le devance. L’avenir nous le dira déjà, lors de la 12ème biennale de 2011. Mais l’on sait que l’on ne change pas un état d’esprit en deux années. Je lui souhaite bonne chance, l’énergie et la passion, il les possède.
Janine Gallizia a effectué, dimanche 10 mai 2009, sur les lieux de l’exposition qu’elle présente en duo avec Ewa Karpinska une démonstration devant un public de « pratiquants » particulièrement attentifs.Elle a réalisé, pendant une séance de plus de deux heures, une aquarelle sur un de ses thèmes de prédilection actuels : une ambiance de souk.Elle a tout d’abord fait un dessin sommaire au crayon. Généralement elle utilise un HB, mais ici la mine était plus grasse pour que le public puisse le voir. Elle travaille sur du papier Arches 300 grammes, le format était entre le A3 et le Raisin. Elle mouille son papier avec un vaporisateur. Elle travaille en mouillé sur mouillé. Apparemment ce papier Arches conserve bien l’humidité. Pendant toute son exécution elle s’assure que le papier est toujours humide et le cas échéant elle donne un « coup de vapo ».Elle ne s’est servi que de deux pinceaux mouilleurs et de 4 ou 5 couleurs (notamment bleu phatlo, jaune transparent, vert tendance rouge) en Wiston et Newton.Elle interrompt son travail pour montrer au public. Elle répond avec beaucoup de gentillesse aux questions qui lui sont posées. Une expérience tout à fait épatante. Voici quelques clichés pris pendant la démonstration