Les mouvements artistiques de 1800 à aujourd'hui +Les arts visuels depuis l'Antiquité jusqu'à l'orée du 19ème siècle.LesTechniques, manifestations, artistes, biographies, répertoires , carnets de liens + et bien d'autres choses
Une fois par mois, un artiste peintre « huiliste » vient susciter la réflexion des membres de l’association artistique à laquelle je participe le vendredi. Hier soir ilnous a distribué pour les observer, par groupe de deux personnes, des reproductions d’œuvres picturales de Bonnard, Braque, Modigliani, Renoir et Breughel. Notre grille d’examen tenait compte d’un certain nombre de points, notamment :
Le thème ou sujet, le style, la couleur, la matière, la lumière, l’espace et la perspective, la composition ou mise en scène, les contrastes, l’harmonie, la tension, le rythme ou la dynamique, les lignes, le format, la forme et le fonds. C’était une approche très intéressante qui fait réfléchir sur le regard que l’on porte sur une œuvre.
A la fin de la séance, l’on peut montrer sa production récente. Je lui ai donc soumis mon aquarelle « dans la lutherie » que j’ai présentée dans mon précédent billet. Sa critique, outre qu’il fallait peut-être suggérer un peu d’ombre sur la droite, m’a déconcertée sur un point important. Il a relevé que mes instruments à corde étaient nombreux, que leur base était floue, mais surtout qu’ils n’étaient pas dessinés avec précision. Il ne reconnaît pas, un violoncelle, ou un violon. Pour lui soit l’on est dans l’abstrait et alors l’on peut « faire ce que l’on veut » soit l’on est dans le « figuratif » et alors la représentation doit être fidèle. J’avoue être perplexe. Cet artiste tout à fait sympathique ne pratique pas l’aquarelle, comme du reste la majorité des membres du groupe. Aussi, par moment, j’ai un peu l’impression de perdre pied. Je sais bien que c’est le regard des autres qui fait progresser. Mais c’est parfois » dur-dur « . J’aimerais surtout savoir si je fais ou non fausse route et bien recueillir vos avis. En effet, lorsque je visite les sites des aquarellistes reconnus, je ne vérifie pas la remarque de notre ami.
Il y avait un moment que j’avais en tête de réaliser une aquarelle dont le thème serait des instruments de musique.
J’ai essayé de représenter ici l’atelier d’un luthier ( la lutherie) avec ici ,des instruments à corde, Ils sont en cours de fabrication ou de réparation, Bientôt un musicien va en prendre possession et le fera vibrer. Ce coin de l’atelier est baigné de lumière. J’ai voulu rendre « le coup d’œil », l’impression du visiteur et non pas présenter les violoncelles de façon typer-réaliste, J’ai réalisé cette aquarelle dans l’humide, sur châssis, format « raisin » 50 cm x 65 cm, papier Montval 300 grammes. Je voulais voir, en peu comme dans le « tracteur rouge » exécuté en décembre, si cette technique me permettait de faire autre chose que des paysages, des réalisations imaginaires.
J’ai toujours la même démarche, lorsque je veux faire une nouvelle aquarelle. J’ai en réserve un certain nombre de sujets que j’aborderai, à un moment ou à un autre. J’y réfléchi plusieurs à l’avance. Ici, j’étais aller, il y a quelques temps, visiter un luthier installé à Lille. J’ai aussi consulté un certain nombre de sites sur internet pour un peu mieux connaître le contexte de la lutherie. Avant de montrer mon aquarelle, je fais par ici de mes trouvailles.
Je vous livre ici une petite astuce que je viens de découvrir sur un forum que je fréquente régulièrement. C’est un détournement d’usage d’un produit d’entretien qui est commercialisé par M. Propre et par Vigor
Voici comment se présentent les boitages de ces deux produits, que l’on trouve dans le rayon Droguerie des grandes surfaces, Je viens de l’acheter ce matin, mais je ne l’ai pas encore expérimenté. On trouvera pour illustrer le propos un lien vers une vidéo. Elle montre comment peut-être utilisé le produit, pour corriger une aquarelle. Ici, pour ajouter un bateau sur un lac.
Personnement je pense que c’est un produit qu’il faut avoir dans son « attirail » mais qu’il ne faut en faire usage, que de façon très modéré, En effet, je n’ai pas trouvé la composition, Mais je pense que’ c ‘est bourré de produits chimiques, si j’en juge par les consignes de prudence : Conserver hors de portée des enfants – Ne pas utiliser sur la peau ou toute autre partie du corps. En résumé, à n’utiliser qu’à bon essiant Ceci, d’autant plus qu’il n’y a pas le recul nécessaire pour savoir comment vont réagir le papier et les pigments. Qu’en pensez-vous ?
L’on m’a demandé pourquoi je ne parlais pas dans mes coups de cœur d’Ewa Karpinska. Je pense y avoir répondu par avance, dans une information permanente, en colonne de gauche en haut dans « Pourquoi de blog ? »
» Mon propos ici, est donner un échos des sites ou de blogs d’aquarellistes que je découvre, au fil de mes promenades sur la toile. Je compte évoquer des artistes d’horizons géographiques ou stylistiques variés. Et bien entendu des artistes connus et d’autres qui le sont moins »
Je ne pense que je ferais découvrir, quoi que ce soit de nouveau, à mes lecteurs, si je parlais des ces aquarellistes belges et français dont les noms sont plus que connus.
Il n’y a pas une livraison de Pratique des Arts qui ne contienne un article sur l’une ou l’un d’entre eux.Toutes et tous animent des stages courus par les tous ceux qui n’ont pas reçu une formation académique. On retrouve également leurs œuvres dans les salons de Belgique et de France, où ils sont tour à tour l’« invité d’honneur »Il m’est donc apparu, que si j’inaugurais mon blog avec des articles consacrés à ces personnalités, j’enfoncerais des « portes ouvertes »
Lorsque j’ai construis ce blog, j’ai mis « en favoris » la plupart des ces aquarellistes, Il est vrai que le nom d’Ewa Karpinska que j’admire beaucoup n’y figure pas, Pour la bonne raison, qu’à ma connaissance, elle n’a pas de site personnel. A cette époque, j’ai pris la peine, d’avertir toutes les personnes concernées que je mettais un lien vers leur site, Quelle présomption! , En dehors de mes amis d’aquarellissime, seuls Janine Gallizia, Jean-François Contremoulin et Olivier Philippot, m’ont répondu, et de façon très gentille, Je profite de ce billet pour les remercier publiquement. A j’oubliais, j’ai reçu, d’autres personnes, deux ou trois propositions de stages…
Je ne vais pas, bien entendu parler d’ « histoire Ô » comme Dominique Aury alias Pauline Réage, mais plus prosaïquement de l’eau utilisée pour l’aquarelle et de son contenant : le pot.
L’on peut bien entendu se servir tout simplement de l’eau du robinet.
Mais dans certaines régions elle est très calcaire, Certains ouvrages ou sites d’artistes parlent d’eau distillée ou déminéralisée, J’ai déjà aussi tenté l’eau de mer, mais c’est purement anecdotique, le résultats n’était pas probant,
Personnellement, j’utilise de l’eau minérale, que j’achète dans une marque locale que j’achète en bombonne de cinq litres.
Et dans quoi mettre l’eau ?
J’ai très vite abandonné les pots à confitures de 450 grammes qui sont trop petits,
Je me suis ensuite procuré des pots en verre avec couvercle, style « cuisine » pour mettre des les pâtes, le sucre, etc.
J’ai en définitive opté pour les pots en plastiques qui contiennent le fromage blanc ou la faisselle, Ils ont l’avantage d’avoir un large col, qui permet de tremper même des pinceaux larges, Et puis quand le pot devient trop barbouillé, on le jette.
Avertissement : Ce billet est libre de toute publicité…(sic)
John Borrack est né à Melbourne en Australie en 1933. Il a étudié au « Teachers College » de Melbourne et il a obtenu le diplôme des Beaux-Arts peinture et dessin du « Royal Melbourne Institute of Technology – RMIT »
Pendant plus de 20 ans, il a enseigné, la peinture et le dessin, d’abord dans des écoles secondaires de Melbourne puis au « Melbourne State College » Depuis 1982, il peint à plein temps, Dans les années 90, il a voyagé, étudié et peint en France, en Espagne, au Royaume-Uni, en Italie,, Il a également séjourné aux États-Unis, Il travaille non seulement l’aquarelle et à la gouache mais aussi l’huile.
Il a participé à de nombreuses expositions de groupe ou en solo, en Australie, au Royaume-Uni, au Japon, à Hong Kong et aux États-Unis, Ses oeuvres sont exposées dans les principaux musées australiens ou sont achetées par de grandes entreprises,
Il est depuis 1989 Membre de « l’australian watercolour instutite »
Il peint avec une palette aux couleurs fortes, les paysages et l’espace, Il traduit l’humeur du ciel, les grandes distances, la couleur, la lumière, Il représente, l’eau, les montagnes, les forêts et les plaines avec un sens de la structure et la forme. Il est bien entendu inspiré par les grands espaces, notamment l’ »outback » australien,
Pour essayer de mieux comprendre cet immense pays, l’on peut consulter deux sites consacrés à l’Australie.
Voici encore,la « bande annonce », d’Australia, le récent film de Baz Luhrmann avecc Nicole Kidman et Hugh Jackman. C’est seulement un clin d’oeil, parce que l’on voit peu les paysages…
Je donne ici quelques petits trucs, bien connu, à propos de l’utilisation des couleurs
1. Si les couleurs en godets durcissent
Lorsque les couleurs en godets sont durcies, déposez une goutte d’eau ou encore de glycérine avant de vous s’en servir. Cela leur rendra leur onctuosité
2. Pour accélérer le séchage des couleurs
Il y bien entendu le sèche-cheveux. Cependant l’on peut provoquer, si l’on y prend pas garde des migrations de couleurs. On peut mettre quelques goutes d’alcool dans l’eau où l’on trempe les pinceaux
3. Pour ralentir le séchage des couleurs
Il est possible de mettre quelques gouttes de glycérine dans l’eau. Je crois l’avoir déjà signalé. Mais la meilleure solution est à mon avis de travailler dans l’humide, en trempant la feuille dans l’eau avant de commencer à travailler
4. Qualité des couleurs
Il faut choisir de préférence de couleurs « extra-fines »
5 Les pots d’eau
Il est conseillé de disposer de trois pots : Un pour humecter le support; le deuxième, dans lequel l’eau sera très souvent renouvelée, pour la préparation des couleurs, un troisième pour rincer les pinceaux.
6 Grands formats
Dans la réalisation des grands formats, par exemple en Raisin – 50 cm x 65 cm ou plus, il est intéressant de préparer lescouleurs, sorties des tubes, dans les petits récipients. C’est laméthode d’Ewa Karpinska qui se sert de boites de pellicules photos argentiques
Il a étudié l’art et l’architecture à Florence et a été diplômé en 1975. Il peint à l’aquarelle depuis 1978 et ses œuvres sont exposés en Toscane et dans toute l’Italie. Il a part ailleurs développé une activité importante dans l’illustration : bande dessinée, conception graphique, communication visuelle, vidéos, livres et publications diverses. Dès 1983, il avait obtenule 1er prix du Festival national de la bande dessinée et du fantastique de Prato. Il a également publié deux romans.
Il excelle pour restituer, avecune palette riche, la lumière et l’atmosphère de sa Toscane natale. Il peint avec bonheur les paysages, les rues des vieux villages écrasées de chaleur. Cette prédilection pour les paysages ne l’empèche pas d’être un grand artiste. Cela vient magnifiquement contredire certaints avis que l’on a pu entrendre ici ou là (cf mon dernier billet)
Il est référencé sur de nombreux sites et notamment sur le « landscape artists international »
Il expose régulièrement seul ou en groupe en Italie. En 2008, il aparticipé, en Italie à la Collettiva Internazionale d’Arte Contemporanea del « Giallo rosso blu », de Torino et en France, au Salon de l’aquarelle en Limousin. Voici quelques unes de ses oeuvres.
Billet publié le 13 février et révisé (ou modéré si l’on veut) le 14 février 2008
La Société Française d’Aquarelles a organisé une exposittion à Chamalières du 16 au 30 novembre 2008, L’on ne peut que se réjouir d’une telle manifestation dont le but est de promouvoir l’aquarelle auprès du public français,C’est vrai que pour ne plus chanter en coeur que » la peinture à l’huile c’est plus difficile, mais c’est bien plus beau que la peinture à l’eau »il y a du chemin à parcourir
C’est donc avec un vif intérêt que j’ai découvert le reportage qui était consacré à cette manifestation par Clermont Première, la télévison locale de la région de Clermont-Ferrand.
Aussi, j’ai été, pour le moins, déçu par les propos tenus par la Trésorière de la Société Française d’Aquarelles. Elle s’est cru obligée, pour défendre l’aquarelle (avec un grand A) de dire que pour le grand public, l’aquarelle c’est une occupation de petites mémés qui à la retraite,,, et dans la foulée de dénigrer ceux qui peignent des paysages.
J’ai eu tout à fait l’impression qu’elle tenait à séparer le bon grain des professionnels de l’ivraie de amateurs. C’est du reste bien le message qu’a retenu la journaliste., qui a bien précisé qu’ici d’était une expositon de professionnels ! J’ose espèrer que ces propos ne traduisent pas l’exacte pensée de cette aquarelliste. Et surtout, que ce n’est pas la position officielle de la Société Française d’aquarelles,
J’avais initialement annexé à ce billet le texte d’un courriel que j’ai adressé jeudi 12 à la SFA. Un certain nombre de personnes qui fréquentent le forum aquarellissime m’ont dit que j’avais qu’elles n’avaient pas la même interprétation que moi de cette interview. Il n’est pas dans ma nature de créer des polémiques. Aussi, je retire ce « courriel ouvert » Je remarque cependant, qu’à ce jour, je n’ai pas reçu de réponse à mon message. Mais il me reste dans la mémoire le point de vue du collectionneur Jean Saurat dans la revue Pratique des Arts au Printemps, qui a laissé des traces chez les aquarellistes amateurs.
Il n’en demeure pas moins qu’à mon avis, il est important pour tout le monde de ne pas créer un fossé entre les aquarellistes professionnels et amateurs. Car ce ne serait pas le bon chemin pour faire sortir l’aquarelle française de son ghetto.Je dois aussi rappeler que les amateurs, parfois dédaignés, constituent les bataillons de connaisseurs qui fréquentent les stages et les salons des professionnels.Il est à mon avais urgent que les mentalités changent. Il faut que certains, et j’espère que c’est une minorité, cessent de prendre les artistes amateurs, pour les soeurs et de frères « convers ». de la communauté des aquarellistes. Qu’ils le veuille ou non, nous sommes touts dans le même bâteau.Je constate que dans les pays anglo-saxons il n’y a pas la même frontière. Je donnerai l’exemple de Nicholas Simmons, artiste américain reconnu, qui n’a pas hésiter à parler de mon site sur son propre blog et à me porter dans ses liens. On en est pas là en France
J’aimerai avoir l’avis des un(e)s et des autres. Vous, aquarelliste professionnel ou amateur qui me faites l’honneur de visiter mon blog : que pensez vous de cela ?
Tout d’abord, une petite vidéo pour illustrer mon propos :
Le terme fractale ou fractal est un néologisme inventé en 1974, par le mathématicien français d’origine polonaise Benoît Mandelbrot, à partir du latin « fractus » qui signifie casser Il s’agit de formes géométriques, créées par modélisation, simulation ou que l’on rencontre dans la nature, qui sont infiniment fragmentées de telle sorte que chaque échantillon, à n’importe quelle échelle, possède une apparence semblable à l’ensemble.Pour illustrer l’on citera la structure du chou-fleur, dont un bouquet, ressemble lui-même à un chou-fleur entier, ou encore un flocon de neige, un arbre, un minéral. A l’origine, outre Benoît Mandelbort, Gaston Julia a également théorisé sur les fractales
Ensemble de Julia
Pour les passionnés, je donne ici un certain nombre de sites où l’on trouvera des démonstrations mathématiques tout à fait intéressantes :
Celui de JP Louvet, un biologiste de formation, qui avant 2003, était enseignant dans un IUT à Bordeaux
Je n’ai pas les connaissances mathématiques nécessaire pour approcher ce domaine. Si j’évoque ce sujet, c’est parce qu’il a très vite été récupéré par les artistes.
Pour entrer dans le sujet, l’on trouve un site d’un américain de Seattle. Son seul défaut, il est rédigé en anglais, mais il y a les traducteurs en ligne pour comprendre :
C’est le développement des « générateurs de fractales » qui a permis le développement de ce nouveau moyen d’expression. On trouvera ci-dessous des sites où l’on peut télécharger l’un ou l’autre de ces logiciels. Ils affranchissent les artistes de l’arsenal mathématique et leur ouvre une nouvelle porte pour la création:
Mon intérêt pour les fractales date déjà de quelques années, mais jusqu’à présent les performances de la carte graphique de mon ordinateur n’étaient pas compatibles avec la plupart de ces logiciels. Je compte faire bientôt quelques tentatives. Il est plus opportun, que pour l’instant je livre à votre curiosité, les œuvres d’un certain nombre d’artistes
Cette forme de création s’exprime au sein d’un Congrès international de mathématiciens présidé par Benoît Mandelbrot, qui a tenu des assises en 1997 1998 1999 2000 2006 2007
La semaine passée, j'ai visité la Villa Savoye dite les « heures claires » à Poissy dans les Yvelines. Elle est considérée comme l'une des oeuvres majeures de l'architecte et urbaniste français d'origine suisse, Charles-Edouard Jeanneret-Gris, plus connu sous le pseudonyme de Le Corbusier (1987-1965). Il l'a réalisée, entre 1928 et 1931, en association avec son cousin Pierre Jeanneret, sur un terrain de 7 hectares qui domine la Seine. C'est une villa de week-end que Pierre et Eugénie Savoye, veulent édifier. Ils acceptent le projet que leur soumet d'architecte, qui termine sa période de maisons blanches.
La villa est l’illustration de « l’architecture moderne », théorie en cinq points, qu’il a conçue dès 1927
Les pilotis – les toits-jardins – le plan libre – la fenêtre en longueur – la façade libre.
Le couple va occuper la villa entre 1931 et 1940. Cependant dès le départ des problèmes importants d’étanchéité ternissent leurs rapports avec « Corbu » Peudant la guerre l’occupant puis les alliés vont la réquisitionner et gravement l’endommager. En 1958, la ville de Poissy exproprie les Savoye pour construire un lycée. La villa et le parc réduit à un hectare sert un moment de Maison des jeunes et de la culture. Elle est ensuite cédée à l’Etat.En 1965 elle est classée monument historique et sous l’impulsion d’André Malraux, alors ministre de la Culture, sa restauration est entreprise. Elle durera jusqu’en 1992. Elle est depuis ouverte au public.
Voici, d’abord une vidéo de six minutes qui est permet une « visite virtuelle » de la villa Savoye :
On trouvera ensuite, des informations pratiques sur le site des monumentaux nationaux :
Et puis, en toute modestie, je poste le croquis que j’ai réalisé de la façade de l’entrée de la villa. La théorie de la perspective est un peu mise à mal. Mais c’est un croquis « sur le motif » par 4° centigrades. J’ai donc quelques excuses.
L’autre soir, j’ai retrouvé l’ordinateur portable que j’utilisais, avec l’écran à l’envers.
Le lendemain, j’ai demandé à un vendeur à la Fnac, ce qu’il fallait faire. Il m’a dit d’aller dans les réglages dela carte graphique, via le panneau de configuration.C’est très simple à dire, mais plus difficile à faire, quand l’écran est à l’envers, et que la souris évolue aussi à l’envers.
Je pensais bien qu’il y avait une solution plus simple. Ce matin, j’ai été voir sur les forums spécialisés s’il y avait autre solution. Cela avait déjà été rencontré par certains et Mongy un forumeur de Tunisie donnait cette solution:
Image d’écran inversée L’écran se retrouve tourné à 180°.Cela provient du fait queles touches suivantes ont été enfoncées par erreur
“ctrl” + “Alt” + “flèche bas”.
Pour revenir à la normale, il faut manoeuvrer les touches suivantes :
” Alt Gr” +”flèche haut”
On s’aperçoit que lorsque l’on a un problème en informatique, l’on trouve généralement la solution.
Soit que le problème a déjà été soulevé, soit que l’on pose la question sur un forum, etlaplupart du temps, l’on a une réponse. Je trouve cette entraide tout à fait réconfortante.Je mets ci-dessous, les liens d’un certain nombre de sites, où l’on trouve une assistance ou tes tutoriaux très intéressants :
J’espère que si un jour vous étes confronté à un problème informatique, vous trouverez là une solutions. Et puis, il y a encore beaucoup d’autres sites, la liste n’est pas du tout exhaustive.
Guan Weixing est né en 1940, en Chine, dans la ville district de Dūnhuà敦化 dans la province de Jilin. Il a suivi l’enseignement de l’académie Luxun des Beaux-Arts, où le roumain Eugen Popa (1919-1997) l’accueille dans son cours de peinture à l’huile. En 1962 il obtient sa maîtrise. Il est alors pendant une quinzaine d’années « instructeur d’art » dans l’armée chinoise.
Il a travaillé à la fois l’huile et aquarelle. Mais depuis une vingtaine d’année il se consacre essentiellement à l’aquarelle, séduit par sa transparence. Ses oeuvres sont appréciées des artistes, par exemple Leslie Worth, ancien président de l’anglais Royal Watercolor Society. et des critiques. Elles sont recherchées par des collectionneurs du monde. Elles sont également présentes dans les musées chinois. Il a reçu de nombreuses distinctions dans son pays et à l’étranger, notamment la médaille d’or de l’American Watercolor Exposition. Il a été le délégué à la « Chinese watercolor exhibition » qui s’est tenue à Tunis en 1996.Il a illustré plusieurs ouvrages notamment,« Mémoires de Pékin: South Side Stories » couronné « Best International Award Illustration » Une de ses aquarelles récente de grande taille (200cm x 130cm) « Peasants viewing opera », qui représente une scène villageoise, se situe, à mon avis entre le « réalisme socialiste » et le mouvement chinois ds « réalistes cyniques ».
Il a remporté en 2005, le prix « Ancien président Award » de la National watercolor society, pour son homme âgé.
Personnellement ce genre très réaliste, qui plaît beaucoup outre atlantique, est pour moi trop proche de la photographie. Il n’est pas question de mettre en cause les qualités de ce grand artiste.Ces portraits sont d’une facture irréprochable,. C’est à vous couper le souffle.
Mais, comme le disait Paul Gauguin « il y a en somme, en peinture, plus à chercher la suggestion que la description » Heureusement, l’artiste excelle aussi dans les natures mortes, les paysages, les nus. C’est dansces œuvres qu’à mon humble avis, l’on trouve sa personnalité et qu’il nous émeut.
Il est « signature menber » de l’american National Watercolor Society.En 2007, il a exposé à New York, Houston et Greensboro. Il est actuellement en chinele directeur des « Beaux-Arts Association » et Vice Président de » l’Association chinoise Aquarelle » Il a par ailleurs le titre national de maître des beaux-arts.
Le mot Sténopé : Vient du grec στενός « étroit, resserré, qui varie dans des limites étroites » et ὀπή « trou, ouverture ». C’est un petit trou dans la paroi d’une chambre noire faisant office d’objectif photographique. Par extension, le même mot sert à désigner l’appareil qui utilise ce dispositif.
Dès le 11è siècle, des savants d’Arabie se servaient du sténopé pour former une image.
Un appareil à sténopé a la forme d’une boîte dont l’une des faces est percée d’un minuscule trou qui laisse entrer la lumière. Sur la surface opposée au trou vient se former l’image inversée de la réalité extérieure, que l’on peut capturer sur un support photosensible, par exemple un papier photographique. Du fait de la l’étroitesse de l’orifice qui permet à la lumière de pénétrer à l’intérieur de l’appareil et de l’absence de focalisation, le temps nécessaire pour impressionner la surface photosensible est très important. Selon la taille de l’appareil, il peut se chiffrer en secondes ou en heures.
On peut considérer, le sténopé comme la forme primitive de l’appareil photographique. La première photographie, prise par Joseph Nicéphore Niépce, l’a été grâce à un dispositif de type sténopé : une « camera obscura » équipée d’une plaque métallique recouverte d’une émulsion de bitume de Judée.Le sténopé se distingue de l’appareil photographique moderne par l’absence de d’objectif) et de diaphragme.
Ce dispositif séduit les photographes professionnels ou amateurs que la sophistication des appareils modernes où l’imprévu n’a pu sa place. Tout est en effet géré par le système informatique intégré.Pour mieux comprendre cette technique revenue à l’ordre du jour, l’on peut consulter les sites de Patrick Caloz, Laurent Diaz, Rob Gardiner ou d’Erick Mengual,
On peut trouver toutes indications pour construire un sténopé, à partir souvent d’une simple boite,sur les sites de Robert Colognoli et Pierre Pallier :
On peut également le construire à l’aide d’un appareil numérique, même cette approche n’est pas appréciée des puristes. On peut visiter les deux sites suivants :
La Journée mondiale du sténopé se tiendra cette année le 26 avril 2009. On peut découvrir les images images mises en ligne par les participants du monde entier, au cours des manifestations des années précédentes sur :
La résolution des capteurs des appareils photo numériques, est en constante résolution. Ce n’est pas le résultat d’un véritable progrès technique. Car à quoi sert cette recherche continuelle de la croissance. C’est bien entendu le résultat d’une bataille sans relâche que se livrent les constructeurs. Toujours est-il que la taille des photos produites est trop importante pour leur diffusion sur le web ou leur envoi par courriels.
Un petit Gratuiciel de Srotmdance, malheureusement en anglais, permet de réduire la taille des fichiers d’images, tout en préservant les qualités originales. Il rend ainsi leur diffusion plus facile . De plus l’on peut visionner le résultat de la compression, en temps réel. Les photos originales sont conservées, et les miniatures sont stockées dans un dossier différent. On peut télécharger la version 2.5 de ce « freeware », notamment sur les sites suivants
Kercy, un habitué du forum « aquarellisme » m’a autorisé à emprunter la notice d’utilisation en français, qui a publiée :
Notice
1. Lancer PhotoRazor en cliquant sur son icône, par exemple.
2. Cliquer sur « Choose folder » pour « accéder au dossier » de photos à re-dimensionner, le sélectionner et cliquer sur « Ouvrir » puis encore sur « Ouvrir » pour visualiser à droite toutes les photos du dossier.
3. Sélectionner les photos à redimensionner (ou rien, pour l’ensemble) de la colonne de droite en faisant « CTRL + Clic » sur les quelques photos à redimensionner
4. Sélectionner la taille et la qualité désirées.
Le paramétrage « Width/Height » c’est à dire « Largeur / hauteur » de l’image détermine la taille en pixels du côté le plus grand de vos photos à redimensionner. PhotoRazor ajuste sans distorsion, l’autre côté.
Le paramétrage « Quality » c’est à dire « qualité » ajuste la qualité de l’image, jusqu’à 100%
5. Choisir entre « All photos » ou bien seulement « X selected photos » c’est à dire: « toutes les photos » ou bien seulement les « X photos sélectionnées » dans la colonne de droite (touche CTRL + clic sur chaque photo à sélectionner)
6. Cliquer sur « Resize Photos Now » c’est à dire « redimensionner les photos maintenant » !
7. Vous pouvez arrêter le redimensionnement à tous moments en cliquant, à nouveau, sur le même bouton « Resize Photos Now ».
Par défaut, les photos redimensionnées vont dans le « Sub-folder » c’est à dire le « sous dossier » nommé automatiquement « Small photos ». Vous pouvez en changer le nom s’il ne vous convient pas: cliquez en bas à gauche sur « Small photos » pour accéder à la fenêtre qui va bien
J’espère que ce petit logiciel vous sera utile et à bientôt
Cette technique a, semble-t-il, été inventée par un graveur génois Benedetto Castiglione (1616-1670). A l’origine elle se situe entre entre la gravure et la peinture. C’est un procédé d’impression où une peinture sur cuivre, sur verre ou sur matière plastique est reportée par pression sur papier. Cela qui ne permet d’obtenir qu’un seul exemplaire, l’épreuve qui en résulte. Ce procédé a surtout été employé pour les effets particuliers voir étranges, qu’il permet d’obtenir.
Le monotype eut une vogue assez grande à l’époque de l’impressionnisme; Pissaro, Forain, Whistler, Lautrec, Gauguin s’y essayèrent mais c’est Degas qui fut le maître du procédé, aussi bien en noir et blanc qu’en couleur.
Des utilisations contemporaines
Au début de ce billet l’on trouve une vidéo où l’artiste Arthur Secundaqui explique ce qu’est un monotype et comment on le fabrique. cet artiste réalise des oeuvres généralement abstraites. On peut les voir sur son site :
Ce n’est pas tout à fait la même approche en aquarelle, mais la démarche est la même, il s’agit de procéder à un transfert d’une plaque vers une feuille de papier.Avant que je fasse part de ma modeste expérience, je signale ici deux artistes qui pratiquent le monotype avec l’aquarelle comme médium : Daniel D.R. Thomas ou Marie-Josée Lavie On peut aussi voir Monoprints
Une petite démonstration
Pour réaliser un monotype, il est préférable d’utiliser une plaque de verre. Ici, je me suis servi d’une plaque de plexiglas. J’ai utilisé du papier Montval 300 grammes, grain fin, format A3, mais du papier Arches aurait tout aussi bien fait l’affaire.
J’ai d’abord posé sur la plaque de plexiglas des couleurs crémeuses sorties des tubes. Les aquarelles en godets ne sont pas assez consistantes pour ce genre de réalisation.
J’ai ensuite mouillé ma feuille copieusement.
J’ai enfin posée ma feuille ainsi mouillé sur la plaque de plexiglas en la pressant. J’ai également après transfert, fait quelques mouvements de va et vient pour obtenir une texture de roche.
J’ai enfin accentué la clarté dans le centre de l’aquarelle en ouvrant un blanc et voici mon monotype : « Vers la lumière »
Cliquer sur l’image pour l’agrandir
Mon objectif est que les couleurs diffusent et fusionnent. Je lui ai donné une orientation abstraite. Mais bien entendu, un monotype peut permettre la réalisation d’œuvres figuratives, paysages, mais aussi personnages, nus. Il faut moins charger la « matrice ». Ceci est valable, quel que soit le matériau utilisé : verre, plexiglas ou plaque métallique. L’important pour les représentations figuratives est d’inverser l’image comme si l’on regardait dans un miroir. En effet, la plaque par le transfert va reproduire au final l’emprunte inversée, le reflet.
Dès son plus jeune age son père l’envoie à l’Ecole nationale des Beaux-Arts de Montevideo. Il y reçoit l’enseignement d’ Esteban Garino. Ensuite, àl’Université des Beaux-Arts Miguel Angle Pareja (1908-1984) peintre abstrait l’initie à la peinture à l’huile. Il émigre en Australie en 1983.. Deux ans après son arrivée, il est nommé directeur artistique du « Melbourne Festival latino-américain ». Il a beaucoup voyagé à travers les USA, le Mexique, l’Amérique du Sud, en Europe et en Australie, où il a approfondi sa vision et trouvé ses sujets préférés.Alvaro Castagnet est un aquarelliste à la palette colorée, restitue l’atmosphère des liens qu’il peint. Il traduit merveilleusement les effets de lumière et d’ombres
Outre son activité d’aquarelliste, il enseigne cette discipline et dirige des ateliers en Australie et dans le monde entier. Il sera à Arles en Mai et à Anvers en Juillet prochain.
Il a rédigé des ouvrages et notamment, « Aquarelle Peinture Avec Passion« un livre puis un DVDquiont été accueillis avec succès dans de nombreux pays
Ses œuvres sont achetées par les collectionneurs privés, les entreprises et les musées dans plusieurs pays. Il expose régulièrement, partout dans le monde et a été récompensé par de nombreux prix. Il est membre de l’Amercan Watercolor Society.Il est retourné en, Uruguay et vit maintenant à Montevideo, en Uruguay.Il est l’un des fondateur de Association de la culture uruguayenne Acuarelistas.