Les mouvements artistiques de 1800 à aujourd'hui +Les arts visuels depuis l'Antiquité jusqu'à l'orée du 19ème siècle.LesTechniques, manifestations, artistes, biographies, répertoires , carnets de liens + et bien d'autres choses
Il s’ouvre sur un Portfoilio consacré aux danseuses de la peintre brugeoise Christine Comyn. Puis l’on part au marché avec André Jude. Voici, à titre d’exemple la vidéo tournée sur le marché
Au cours de ces dix années ont été accueillis à Reims évènement
En 2007 Viktoria et Slawa Prischedko – en 2008 La Société Canadienne de l’Aquarelle – en 2009 Jean Louis morelle et Marc Folly en 2010 Nicole B. Marie Line Montecot et Maryse de May En 2011 les précédents sur le thème du Champagne – en 2012 Lélie Abadie et la Société Française de l’aquarelle – en 2013 Eugen Chisnicean, David Poxon, Georges Politis En 2014 Eban, Cao Bei An, Xu Yan, YAN YaoHua et WEN Ming Xin
J’ai passé une décade à Brioude.Je suis allé à la rencontre de tous les artistes sélectionnés. Ils ont tous accepté d’être pris en photo devant l’une de leurs œuvres Ils sont présentés dans le présent billet, dans l’ordre du catalogue. Pour chaque artiste, outre l’illustration, j’ai rédigée une brève note biographique.
Anne Christophe Jean réside à Besançon. Elle a exposé à la biennale des aquarelles botanistes. Elle peint aussi des paysages à la campagne ou dans la ville, etc=o=o=o=o=o=
Eth de Melaou, Didier Dubarry à la ville, réside en Bigore. D’abord architecte puis enseignant en arts plastique il participe à des salons depuis vingt ans=o=o=o=o=o=
Simon Fletcher, né à Birmingham, architecte d’origine britannique. Il réside dans l’Hérault. Il peint les paysages du Sud de la France. Il expose en Grande Bretagne et en France depuis trente cinq ans.=o=o=o=o=o=
Anne Huet-Baron née à Rennes, vit à Alençon Elle est diplômée de l’école nationale supérieure des arts décoratifs de Paris. Elle enseigne la peinture. Elle est membre d’ Aquarellences =o=o=o=o==o
Marie-Gilles Le Barsa été formée au design aux Beaux-Arts de Rennes. Elle est membre de la Sfa. Elle peint une vingtaine d’année, dans l’humide des aquarelles figuratives. Depuis quelques temps elle s’est tournée vers l’abstraction. Elle expose depuis une dizaine d’années. Elle anime des stages au Clos de Lande vallée. Elle appartient au collectif Couleurs d’ailleurs. Elle a publié Fil de vie en collaboration avec le poète Gilles Baudry. =o=o=o=o=o=
Michel Léger paysagiste, architecte de formation, est le fondateur de la Biennale d’aquarelle de Brioude où il réside.=o=o=o=o=o=
Véronique Legros-Sosa vit dans la région bordelaise. Elle est diplômée de l’Ecole départementale d’arts appliquée de Gironde. Elle expose en France et à l’étranger. Elle anime de nombreux ateliers. Elle préside la Société bordelaise d’aquarelle.Elle est membre de la Sfa =o=o=o=o=o=
Catherine Mithouard vit dans la région de Nancy. Elle a été formée aux Beaux-Arts de Metz. Un premier prix au Festival d’Uckange l’a fait plonger dans l’aquarelle. Elle donne des cours et anime des stages. Elle est membre de la Sfa et appartient au collectif Couleurs d’ailleurs ainsi qu’à Oz’Art
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Marie-Line Montécot vit dans le Maine et Loire. Pendant sa scolarité elle n’est pas trop motivé par les matières de base. Elle préfère le dessin. Elle poursuit ses études en suivant un cursus d’art plastique à Paris I Panthéon-Sorbonne. Ses aquarelles sont de facture abstraite.Elle anime des ateliers et stages en France et à l’étranger. Elle est membre de la Sfa et du collectif Oz’Art. Elle a auto-édité Itinérances=o=o=o=o=o=
Olivia Quintin, aquarelliste autodidacte vit à Vannes.Elle a présenté des portraits et des chats. Elle est très présente sur Facebook. Elle est membre de la Sfa=o=o=o=o=o=
Jean-Pierre Rault vit à Rouen. Il est membre de la Sfa. Il a fait les beaux-arts puis a exercé le métier d’architecte d’intérieur. Il anime des ateliers et des stages=o=o=o=o=o=
Ryszard Rogalaaquarelliste polonais vit à Varsovie. Il est ilest diplômé del’Ecole des Beaux-Arts de Varsovie.Il a étudié àla Faculté d’Architecturede l’Universitéde Technologie de Varsovie. A suivi l’enseignement de l’Académie desarts appliqués et del’Universitétechnique de Vienne. Il est maître de conférencesau département dedessin, peintureet sculpture, à la Facultéd’architecture de Varsovie.Il participe à de nombreusesexpositions individuelles et collectives.=o=o=o=o=o=
Franck Rollier aquarelles et encres s’est formé à l’école Nationale des Beaux Arts de Dijon Il est présent dans les salons et expositions animalières. Il est membre du collectif Arte-Ara=o=o=o=o=o=
Théo Sauer aquarelliste et musicien vit en Alsace. Il peint les friches industrielles, les lieux abandonés. Il anime une dizaine d’ateliers. Il fait participe à de nombreuses expositions . Il est membre de la Sfa=o=o=o=o=o=
Jeremy Soheylianvit à Lyon. Il est dessinateur, aquarelliste et croqueur urbain. Il anime des stages de croquis et d’aquarelle. Il est membre de la Sfa
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Màrta Wylder aquarelliste de jazz, est d’origine helvético-suédoise. Elle vit à Nice. Elle est diplômée en Illustration Scientifique de l’Ecole Nationale Supérieure d’Art de Zürich. Elle anime des ateliers et stages. Elle est membre de la Sfa. =o=o=o=o=o=
Oliver Zlatku aquarelliste et plasticien vit à Saint-Raphael.=o=o=o=o=o=
Le off de la Biennale
Œuvres sur papier
Yves ColadonIl vit en Ardèche. Il est graveur. il travaille à l’encre et à l’aquarelle
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Marc Folly vit dans la région lyonnaise. Il participe à de nombreux salons et anime des stages un peu partout en France. Il es membre de la Sfa=o=o=o=o=o=
Tom Josephvit en Ardèche. Il est illustrateur, graphiste et gaveur
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Pascal Pihenpeintre à l’acrylique et à l’aquarelle est membre de la Sfa=o=o=o=o=o=
Les Carnetistes
Marion Rivoliervit à Paris. Elle est peintre, scénographe. Elle dessine des scènes urbaines. et fait partie des Urban sketchers de Paris. Elle est professeur de dessin à l’école d’architecture de Paris
Jacques-Léon Charrier n’était pas cette fois-ci à Brioude en tant qu’aquarelliste. Par contre, il a présenté une très belle performance. Il a réalisé avec des sacs en plastique blanc un véritable défilé de mode Les robes et autres vêtement étaient portés par des top-models d’une soir : des jeunes filles et des garçons de Brioude
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Marie – Pierre Esteve ( oui c’est Monsieur Esteve) vit en Bretagne. Il a pendant la Biennale animé de nombreux stages dans la rue
Je quitte Brioude apres y avoir passé dix jours. Sylvia Crozemarie, la présidente et tous les bénévoles accueillent les festivaliers avec une extrême gentillesse et une grande efficacité. Je peux dire qu’il régnait pendant mon séjour une ambiance chaleureuse,au prppre et au figuré. Le dispositif d’exposition dans différents lieu de la ville permet des échanges très sympathiques avec les artistes exposants
Les oeuvres présentées sont sans exception de haute qualité. On peut admirer des paysages,des portraits (non académiques ), des scènes de rues, des intérieurs et quelques natures mortes. Beaucoup d’aquarelles sont à mi chemin entre le figuratif et l’abstraction . Je remarque une forte proportion d’oeuvres abstraites. Par contre je n’ai pas rencontré l’hyperrealisme sur représenté dans certains magazines
Les festivaliers et les visiteurs d’un jour sont en majorité dds festivalieres et des visiteuses. Je m’amuse à observer dans les couples le comportement du mari. Il y a les tres intéressés, souvent connaisseurs, les suiveurs, j’allais dire les toutous, ceux qui font de sport, vont a la peche. Enfin ils y a ceux qui sont carrément hostiles ou non concernés. Une grande dame de l’aquarelle ma raconté cette anecdote. « Monsieur je peux vous renseigner sur une oeuvre. Oh vous savez je cherche un siège pour m’asseoir
A quelques exceptions près l’on ne croise pas beaucoup de jeunes. Soit qu’ils travaillent soit qu’ils ne sont pas très intéressés par l’aquarelle. Mais est-ce différent dans les autres expositions picturales non médiatisées? L’on peut faire la même constatation lors des concerts de musique classique
Et puis à Brioude il y a aussi la musique. Jeudi soir il y avait dan la Basilique Saint Julien un concert de musique baroque autour de le Chasse par un ensemble de jeunes musiciens talentueux.
Et puis il y a le tourisme sur place avec la basilique, le musée de la dentelle, la Maison du suamon, les maisons cantoniales. Et à l’extérieur l’abbaye de Lavaudieu, la valléedu haut Allier et ses gorges, la Chaise dieu et le Puy en Velay, Clermont-Ferrand ou Saint – Nectaire
Pendant mes pérégrinations j’ai photographié tous les artistes devant leur oeuvre préférée. Je vais consacrer quelques billets que je publierai la semaine prochaine
Pendant la biennale de Brioude sont organisées des rencontres nocturnes entre les exposants,les festivaliers et les brivadois. Certains artistes peignent devant le public. D’autres animent de petits ateliers. Dès 20 heures 30 hier soir une petite cinquantaine d’enfants étaient rassemblés autour des tables installées Place aux herbes. Ils étaient conseillés, dans une approche libre et ludique des couleurs par l’un des artistes
Vers 21 heuroes 30 c’était au tour des adultes de s’affairer autour des tables pendant environ une heure. L’artiste responsable d’une table imposait un thème
Pendant toute la soirée des musiciens venus de Clermont Ferrand, un guitariste, une contrebasse et une clarinette, ont créé une ambiance sonore festive très joyeuse.
Rendez-vous a été donné à l’assistance pour vendredi prochain
Le quotidien de la presque cinquantaine d’artistes présents est d’ assurer une permanence quotidienne dans leur galerie en alternance avec les bénévoles – d’animer des stages, j’en ai dénombré 150, de faire des démonstrations.
Cet exercice n’est pas une activité prisée des artistes. Elle demande beaucoup d’énergie. Cela n’a rien à voir avec celles exécutées lors des stages. Ici c’est un exercice d’équilibriste, de le haute voltige. Ici aussi l’aquarelliste, même si les conséquences sont moins graves, peu rater le trapèze. Si j’osais, je dirais que c’est le cirque !
Mais l’on a habitué le public a voir les chefs cuisiniers officier devant les caméras, à devenir voyeurs face aux reality shows
C’est pourquoi, même s’ils le font avec professionnalisme et gentillesse, les artistes, généralement détestent faire des démonstrations publiques. J’allais dire « faire les clowns »
Mais comment faire pour revenir en arrière ? D’autant que cette pratique existe dans tous les salons d’aquarelle.Mais a-t-on déjà vu des demonstrations d’artistes qui peignent à l’huile ou à la peinture acrylique.c’est de mon point de vue un situution que tous les organisateurs d’expositions d’aquarelle devraient se poser, en liaison avec les artistes exposants. A suivre. . . .
Heureusement qu’ils se retrouvent un soir sur deux, artistes et bénévoles pour un pique nique auberge espagnole, sous les arbres et les lampions (une guirlande d’ampoules électriques)
C’est pour tous deux heures de convivialité (pour une fois que le mot s’applique à la situation), d’amitié, de franches rigolades. L’on y parle aussi aquarelle, mais au frais et sans tract ni pression
Voici quelques photos d’ambiance. Olivia Quintin a elle aussi mis sur son compte Facebook
UDepuis l’ouverture du festival je me promène dans les rues, je visite les lieux d’exposition, j’assiste à des conférences, je parle aussi aux festivaliers que je rencontre ici ou là. Les conversations et observations que j’ai pu faire me suggère quelques remarques. Elles sont générales et peuvent s’appliquer partout où des aquarellistes se retrouvent
.Je constate qu’un certain nombre de » pratiquants » s’intéressent essentiellement au COMMENT : quel papier conseillez vous, quelle marque de couleurs utilisez vous, et vos pinceaux. Cela pour le matériel mais l’on veut aussi connaître les tours de main : C’est la technique qui intéresse surtout un crtain public ou un public certain
En fait ce sont les recettes qu’ils viennent chercher. Je comprends tout à fait que cela soit évoqué au cours des stages. Cla l’est beaucoup moins lorsque ces personnes visitent l’exposition d’un artiste et lui posent le même genre de question.
Sije peux faire un parallèle avec le monde du tennis. Ce n’est pas parce que j’ai la meme raquette, la casquette et les chaussures de tel joueur professionnel que je vaus devenir un champion. Il y a le travail et surtout le talent
L’aquarelle est un art. Qui porte le matériel qu’utilise l’artiste. L’important c’est le reultat c’est à dire l’oeuvre. Qu’est ce qu’il avoulu représenter, quelles sont ses sources d’inspiration. Ce j’ai appelé le POURQUOI. Donc regarder l’oeuvre, la lumiere, les couleurs, la composition. Eci dans le but de s’en penetrer. Lorsque l’on visite un musée l’on ne se demande pas quelle marque d’huile l’artiste a utilisée. L’aquarelle est un art ce ne doit pas être considéré comme un loisir créatif, sino l’avenir de ce medium sera encore longtemps comme une discipline mineur.
Je rencontré des personnes qui cumulent les démonstration ou les stages. Je ne pense pas que c’est la meilleure façon de trouver un style personnel
Enfin, cela me désolé de voir un minorité se comporter comme dans les couloirs du métro ou au supermarché :en toisant les gens qu’ils croisent.Je pensais naïvement qu’avoir un même centre d’intérêt pouvait créer une réelle connivence, un certain d’esprit
Le 13 juillet les Brivarois, les touristes et les festivaliers ont assisté au défilé des majorettes et au feu d’artifice
Le lendemain à la Halle aux grains, devant une salle comble un collectif d’artistes nous a lui aussi offert un véritable feu d’artifice :Ho la belle bleue
Le défi était pour les neuf artistes qui participaient à la performance de créer , en variations autour du bleu, une aquarelle, en une heure , sur une feuille de 30 30
Ce collectif d’un soir regroupait Isabelle Corcket,Serge Di Meo, Anne Bironneau , Ewa Karpinka, Marie-Gilles Le Bars,Véronique Legros-Sosa, Catherine Mithouard, Olivia Quintin. Pendant la performance Theo Sauer, aquarelliste lui aussi, a ravi le public en imprrovisant à la guitare et au banjo. Il a ete largement applaudi
Samedi soir dans la Halle aux grains était proposé un spectacle intitulé : » Une voix,dix doigts » Sur scéne il y avait Véronique Legros-Sosa et son mari. Lui interprète des chansons qu’il compose en s’accompagnant à la guitare. Elle peint en direct.
Elle a réalisé trois aquarelles. Cette performance était diffusée sur grand écran . Voici des photos des trois oeuvres que Véronique a peintes pendant cette performance
Hier matin entre 10 heures et midi jj’ai arpenté les rues du centre historique, tout autour de la Basilique Saint-Julien. J’y ai rencontré plusieurs groupes de stagiaires. Sous la conduite de l’un des artistes animateurs de stages, ils travaillaient sur le motif. Ils dessinnaient ici un coin de rue. Là, ils peignaient autour de la Place aux herbes. D’autres, installés prés le la Halle aux grains, croquaient le chevet de la basilique.Il y avait aussi quelques aquarellistes installés dans l’édifice. Ils cherchaient à restituer les couleurs d’un vitrail.
Dimanche matin je me suis baladé autour de la Basilique Saint Julien.
Dès 9 heures 30 , j’ai rencontré les stagiaires d’Odylle rassemblés devant le local de l’accueil.
Sylvia Crosemarie et une jeune bénévole renseignqient des festivaliers dans le local d’accueil
Il y avait aussi Isabelle la permanente de l’ association qui photographie les festivaliers, les artistes et tout ce qui bouge dans les lieux où il se passe quelque chose. Et face à elle Quentin,le spécialiste de la vidéo
J’ai salue l’’administratrice et bénévole fidèle au poste dans la baraque,genre marché de Noël.
Sans oublier la boutique oû l’on trouve les publications des artistes exposants
J’ai aussi rencontré des aquarellistes qui peignaient sur le motif
e rédige mes billets sur une tablette. Ne vous étonnez pas si des photos sont mal positionnées ainsi que par l’absence de liens. Je compléterai quand j’aurai dompté cet engin de torture
Vendredi matin 10 juillet j’ai débuté mon parcours de festivalier en assistant à la démonstration sur la technique du marouflage. Pendant près de 2 heures Odylle à montrait comment réaliser ce travail. Ce travail demande beaucoup de minutie et de précision. En deux mots il s’agit de coller l’aquarelle sur une un châssis du commerce entoilé. Pour ce faire, à l’aide d’une aiguille il faut repérer sur le papier, la position des angles du châssis. Puis avec une colle basique elle encole la feuille puis vient y appliquer le châssis. Il faut ensuite réaliser les angles et les champs.
Quand l’aquarelle est marouflée il faut encore la protéger en y appliquant, à l’aide d’un large pinceau un vernis à l’eau. L’application se fait dans la largeur et la longueur de la feuille.C’est une aquarelle Odylle qui illustre l’affiche de cette 7 ème biennale
J’ai consacré en son temps deux bllets sur la technique du marouflage. Je mettrai les liens par la suite.
Michel Léger aquarelliste installé à Brioude a eu l’idée il y a une douzaine d’années de réunir ses amis pour exposer ensemble à Brioude. Ce festival s’est très vite ouvert aux artistes. Au début ils sont venus prudemment. A part les pelerins de Compostelle, qui connaissait Brioude à l’époque. Et puis, au fil des événements la notoriété, le rayonnement est venu. Brioude en un peu plus d’une décennie est devenu l’un des haut lieu de l’aquarelle.A noter qu’un artiste ne peux pas exposer 3 biennales de suite.
Ce qui fait le charme et l’originalité de ce festival C’est le concept des galeries d ’ artistes. Contrairement à ce que l’on voit ailleurs, les oeuvres des artistes ne sont pas présentées dans un lieu unique. Chaque exposant dispose de l’un des lieux répartis à deux pas de la Basilique romaine Saint Julien. Il y a 12 espaces d’exposition : École Jean Pradier, Hôtel de Ville, espace Notre Dame, École sainte Thérèse, immeuble rue du 4 septembre, galerie Mandrin, Galerie Besançon, La mirandelle, immeuble Place Saint Jean, immeuble Place Eugène Gilbert,Immeuble de l’instruction, Chapelle de la visitation.
Cela facilite les rencontres entre le public et les artistes, qui disposent d’un espace qui leur permettent d’accrocher un nombre plus important d’oeuvres
Demain, je vais débuter mes petits comptes-rendus de visites de ces espaces d’exposition
A la halle aux grains, hier soir, à Brioude, le monde de l’aquarelle était rassemblé : les élus, les bénévoles de l’association organisatrice, les sponsors, les brivadois, sans oublier bien entendu la cinquantaine d’artistes invités. C’est Sylvia Crozemarie, l’âme, la cheville ouvrière de la biennale qui a ouvert cette quinzaine dédiée à cet art qui nous est cher.
La soirée à débuté par la prestation de trois comédiens qui ont interprété, de façon originale, des textes autour de la peinture : une définition peu pertinente de l’aquarelle trouvée sur Wikipedia, des propos sur l’art de peindre, la vision de l’artiste et celle du regardant, les écrivains peintres et les peintres écrivains, même Michel Picoli, le peintre en mal d’inspiration de la » Belle noiseuse « , était convoqué.Le
Puis le maire, le conseiller départemental, le député stagiaire d’aquarelle à ses heures, une vice -présidente du Conseil régional d’Auvergne et aussi la présidente et les bénévoles ont dit l’implication de toute la ville de Brioude, du Livradois et de l’Auvergne
Nous avons ensuite été conviés à une performance de l’aquarelliste Jacques Léon Charrier. Il a réalisé à partir de sacs en plastique blancs un défilé de mode digne des grands couturiersEt puis ce fut le verre de l’amitié en musique et la visite des salles d’exposition de l’école Sainte Thérèse. A suivre . . .
Ce site comme le nom l’indique, ce nouveau site, propose des cours en ligne de dessin, de peinture à l’huile, à l’acrylique, de pastel et d’aquarelle. C’est mon amie Dominique Coppequi va tenir la rubrique Aquarelle
Je rappelle que mes billets ne font pas la promotion des produits ou des services qui sont proposés par les fournisseurs spécialisés. Ils sont purement informatifs. Et inutile de préciser que je ne suis, d’aucune façon, rétribué.
Mon amie Anne Ward qui préside et anime à Villeneuve d’Ascq « Les Pinceaux d’aquarelle »et Fatima Laytimi, l’une des élèves du cours, ont organisé les 3-4-5 juillet 2015, un stage animé par Thierry de Marichalar. . Je le connais, par forums interposés, puis par FaceBook, depuis bientôt dix ans. Cependant, nous ne nous étions encore jamais vus. J’ai donc profité de sa venue dans la métropole lilloise pour organiser une rencontre. Je suis donc passé salle du Javelot, à la fin de sa seconde journée de stage.
Nous avons commencé à faire connaissance. Nos échanges se sont poursuivis autour d’une table. Et les échanges entre les quatre convives ont porté, devinez ? . . . sur l’art en général et l’aquarelle en particulier. Je rappelle que notre ami de Saint-Jean de Luz est le fondateur d’ « Aquarelle plein air France »et membre de la Société Française d’aquarelle
Cette manifestation, qui rassemble chaque année une petite centaine d’aquarellistes professionnels et amateurs, se déroule partout dans ce village des pierres dorées à deux pas de Lyon . Dans les rues de Bagnols-en-Beaujolais mais aussi dans le cuvage du château, la bibliothèque, la mairie, la galerie, les chapiteaux, la salle des marronniers, à l’église . .