Les mouvements artistiques de 1800 à aujourd'hui +Les arts visuels depuis l'Antiquité jusqu'à l'orée du 19ème siècle.LesTechniques, manifestations, artistes, biographies, répertoires , carnets de liens + et bien d'autres choses
Le peintre français d’origine haïtienne Hervé Télémaque né à Port-au-Prince en 1937 est mort hier 10 novembre 2022 à Paris. Il a vécu 3 ans à New-York. Il s’en échappe vite, car il vit mal la ségrégation raciale qui y est encre très présente . Il s’installe en 1961 à Paris qu’il ne quittera jamais .
Le plasticien français Christian Boltanski 1944-2021 est décédé d’un cancer hier 14 juillet. Il était considéré comme l’un des principaux artistes français contemporains. Son père, médecin d’ascendance juive, a passé la période de l’Occupation nazie dissimulé dans une cache. C’est ce que Christophe Boltanski, neveu de Christian a décrit dans son roman La Cache. Christian Boltanski est marié avec Annette Messager plasticienne également. Le jeune Christian s’intéresse d’abord à la peinture à l’huile et à la gouache lorsqu’il a 13-14 ans. Mais il abandonne assez vite. ce moyen d’expression. Pourtant il revendiquera la qualité de peintre. Il s’intéresse très vite à la Photographie, à la sculpture et au cinéma.
Il est célèbre pour ses installations, notamment ces accumulation d’objets trouvés, de vêtements, de chaussures, de poupées grandeur nature. Les thèmes qu’il aborde tournent autour de la mémoire, de l’oubli, de l’absence, de la disparition, dans un contexte biographique mais aussi collectif
Luigi Russolo 1885-1947 est compositeur italien. Il est considéré comme l’inventeur de la musique bruitiste. Il est l’auteur du manifeste futuriste « l’art du bruit » Dans les années 1910, l’électronique n’est pas encore à l’ordre du jour. Pour « sonoriser » les films muets Russolo utilise de drôles de machines à bruit:
Il côtoie en Bretagne à Belle Île en Mer, où il fait construire une maison, Claude Monet, forme Henri Matisse aux harmonies de couleurs. Il est généralement considéré comme néo ou post-impressionniste Il rentre en Australie en 1920 avec sa seconde épouse. Sa fortune le dispensait d’exposer ou de vendre ses œuvres. La plupart font partie des collections du Musée d’Orsay et l’Art Gallery de Sidney. On peut visionner ses oeuvres sur Anthenaeum Il a surtout peint en France et semble-t-il peu en Australie où il était peu connu jusqu’à l’exposition Les impressionnistes australiens en France organisée à Melbourne en 2013
John Peter Russell – Portrait de Vincent Van Gogh
John Peter Russell – Antibes
John Peter Russel – Les aiguilles à Belle Île
John Peter Russell -Paysage avec maisons dans le loitain
notamment dans le cadre de l’Heidelberg School. En 1890, il rentre en Europe. A Paris, il fréquente l’Académie Julian où il rencontre notamment, Toulouse-Lautrec, Jacques-Emile Blanche. L’Art Gallery de Sydney conserve une collection de ses œuvres et plus modestement la Tate Britain Le site The Athenaeum recense toutes les œuvres de Conder
Il expose dans les années 1890 à l’Académie royale de Londres et au Salon des artistes français. Pendant la 1ère guerre mondiale il est incorporé dans le service de santéde l’armée australienne. En 1918 il est nommé Official War Artist. Un certain nombre de ses œuvres font partie de la collection de l’ Art gallery de Sydney et aussi de plusieurs musées australien. Il a été critique d’art à The Argus de Melbourne. On trouve ses œuvres sur le site de The Athenaeum
Arthur Streeton – Gloucester buckets
Arthur Streeton- Cremorne pastoral
Arthur Streeton -The spirit of the drought (sécheresse)
Ce n’est pas le record de vente d’une œuvre de cet artiste américain d’origine hollandaise. En 2006, Woman III avait été vendue par le producteur David Geffen au financier milliardaire Steven A. Cohen pour la somme de $ 137 500 000
Willem de Kooning – Woman III – huile sur toile -1952/1953
Tous les enfants ont à un moment ou à un autre mis en couleurs des cahiers de coloriage. Le premier livre à colorier a été, semble-t-il, publié en 1879 sous le titre The little folks par les frères MacLoughlin.
Il faut attendre 2012 pour que se développe en France la diffusion du livre de coloriage pour adultes et autres mandalas et dès 2014 aux Usa. Voici une sélection des meilleures ventes en France et aux Etats Unis. Notamment ceux de l’écossaise Johanna Basford Les éditeurs présentent ces ouvrages comme ayant un pouvoir de détente, d’anti-stress. Ils permettraient de développer la créativité, d’améliorer la coordination œil/mai, de prendre son temps et de permettre un retour à l’enfance.
Le coloriage a sans doute une action apaisante. Mais, de mon point de vue, ce n’est pas une pratique artistique. Et il ne développe pas la créativité. Ce n’est pas non plus selon certains spécialiste de l’Art-thérapie.
Éliane DIVERLY (1914 – 2012) est une aquarelliste française née à Grasse, dans une famille de parfumeurs. Elle suit les cours de la Grande Chaumière à Paris où elle se fixe. Elle est illustratrice dans le monde de la mode et des parfums. Elle peint des portraits, des animaux, des paysages. Elle est notamment sociétaire du Salon du dessin et de la peinture à l’eau, des Artistes français. En 1999, les Artistes français lui ont consacré une rétrospective. Certaines de ces œuvres sont présentes au Musée Fragonard de Grasse, au Musée de Saint-Maur et au Musée de Sceaux. De nombreuses récompenses lui ont été attribuées.
Mais qui dans le milieu des aquarellistes connaît cette artiste qui avait l’honneur dans les années 1960 d’articles élogieux, de Jean Chabanon, le critique de l’époque, au journal Le Monde. Je dois la découvertre de cette artiste disparue à la Galerie Michel Perrier d’Avignon.
Il s’installe à Neuilly. Il développe, sans renoncer à son œuvre antérieure, une approche nouvelle, issue du monde de l’extrêmement petit. Les motifs biomorphes cellules et embryons viennent peupler ses œuvres. C’est ce que montre l’exposition qui réunit, avec l’aide du Centre Pompidou et les prêts des musées internationaux une centaine d’œuvres et de nombreux documents. A voir notamment, dans Le Monde – Culturebox
Lors de mon séjour à Avignon, j’ai visité le Musée Calvet ainsi qu’ Art Gallery, spécialiste des maîtres provençaux. De retour dans mes pénates, je suis parti à la recherche des grands et de petits Maitres provençaux. Ma série d’articles que je vais leurs consacré utilise notamment, les listes ou informations des Artistes provençaux du Musée Regards de Provence et de Provence 7
L’exposition présente une soixantaine de tableaux et une trentaine de lithographies, dessins et autres études préparatoires. Des autoportraits, des natures mortes
Henri Fantin-Latour 1836-1904 est un peintre et litho-graveur français né à Grenoble. il est formé par son père Théodore Fantin-Latour (1805-1872), artiste, puis avec Horace Lecoq de Boisbaudran . Il entre à l’École des beaux-arts en 1854 Il épouse la peintre Victoria Dubourg. Il est un temps membre du Cénacle des Batignolles. Il remet à la mode les portraits collectifs.Son mai Whistler le fait venir en Angleterre.
Shirley Jaffe, peintre et sérigraphiste avait étudié à New York et Washington puis, quittant définitivement les États-Unis, s’était installée en France, avec son mari Irving Jaffe, poète et journaliste, dès 1949. Ses premières œuvres , gestuelles, s’inscrivent dans le courant de l’expressionnisme abstrait – elle est alors proche de Sam Francis et James Bishop, Joan Mitchell ou Jean-Paul Riopelle. Elle obtient une bourse de la Ford Foundation et séjourne à Berlin en 1963-1964.Dans ces années 1960 elle adopte le style géométrique et chromatique, qui la caractérise.
Elle expose régulièrement dès les années 1950 au MoMa, au Centre Pompidou, et partout en Amérique du Nord et en Europe, Ses œuvres sont régulièrement présentées à Paris dans les galeries de Jean Fournier ou de Nathalie Obadia. Elle a également conçu une série de 9 vitraux pour la chapelle Saint-Jean-l’Evangéliste de la cathédrale de Perpignan. Une rétrospective devrait être organisée au Centre Pompidou (cf. Communiqué)
Le dessinateur et caricaturiste Maurice Sinet dit Siné (1928-2016) qui vivait à Noisy-le-Sec est décédé au cours d’une opération chirurgicale. Il se forme à l’École Estienne où il étudie le dessin et la maquette. Il est très influencé par l’illustrateur américain d’origine roumaine Saul Stenberg 1914-1999.
Ses déclinaisons autour du mot chat, le font connaitre du grand public en France et ailleurs.L’album est vendu à plus d’un million d’exemplaires. Il entre à l’Express comme dessinateur politique. La rubrique qu’il tient un temps en remplacement du bloc note de François Mauriac indispose de nombreux lecteurs. Il quitte l’hebdomadaire en 1962. L’éditeur Jean-Jacques Pauvert lance Siné Massacre un périodique anarchiste et « anti » gaulliste, colonialiste, sioniste, capitaliste, clérical. Il réalise le logo de la Sonatrach.
Il entre à Charlie Hebdo en 1981. Il en sera évincé en 2008 par Philippe Val, le directeur redoutant la mise en cause de l’hebdomadaire. La même année il fonde Siné-Hebdo,qui deviendra Siné-mensuel, auquel collaborent notamment Guy Bedos, Philippe Geluck, Jackie Berroyer, Michel Onfray. Il a confessé une addiction à l’alcool et au sexe. Par ailleurs, ses choix politiques n’ont pas toujours été clairvoyants (visite en Chine, « porteur de valises » pour le FLN, rencontre de Fidel Castro, Mai 68, etc.)
Conway Mordaunt Shipley (1824- 1888) promu Lieutenant, dans la Royale en 1945, est le petit-fils de Jonathan Shipley, évêque de Saint-Asaph. I Il embarque à Valparaiso dès le 31 décembre de la même année sur le HSM Calypso pour un expédition dans le Pacifique. Il a emporté du papier, des pinceaux, des crayons et une boite d’aquarelles. Le navire en plein conflit entre la France et la Grande Bretagne fait escale à Tahiti, (cf guerre Franco-Thaïtienne)passe au large de Pitcairn, Bora Bora et de Moorea. Il découvre, bien avant Pierre Loti et Paul Gauguin, les vallées, les collines, les cascades, qu’il traduit dans un style romantique, l’ archipel polynésien déjà l’influencé de l’Occident. Il partage aussi l’intimité du Chef de Papeete et de ses sujets.
Antérieurs aux descriptions de Pierre Loti ou aux œuvres de Paul Gauguin, les dessins de ce navigateur inspiré constituent un témoignage visuel précieux des îles polynésiennes, à une époque où la photographie fait ses premiers pas.
Sont notamment montrés, 32 dessins réalisés entre 1847 et 1849 est entré dans les collections du musée du quai Branly en 2009. Récemment un carnet de dessins vendu chez Christie’s le 25 avril 2012 67,250 £
Le sculpteur et peintre français Eugène Dodeigne, 92 ans, vient de mourir la veille de Noël. Il était né en 1923 à Rouvreux en Belgique. Il résidait à Bondues, dans la Métropole lilloise, depuis les années 50. Il commence à travailler dès l’âge de 13 ans dans l’atelier de son père, tailleur de pierre. Il suit ensuite des cours de dessin et de modelage à l’école des Beaux-arts de Tourcoing puis à celle de Paris de 1943 à 1946 dans l’atelier de Marcel Gimond. Il y côtoie César Baldaccini Il découvre les œuvres de Constantin Brancusi, Alberto Giacometti et Germaine Richier
Sa première exposition personnelle a lieu dans librairie-galerie de Marcel Evrard à Lille en 1953. En 1959, il est le premier lauréat de la Biennale de Paris. C’est dans le bois qu’il taille ses premières sculptures .Il expose à Paris chez Jeanne Bucher, Pierre Loeb ou Claude Bernard. Dès les années 60 il acquiert une notoriété internationale.De 1957 à 1963 il enseigne à Saint-Luc à Tournai. Il a parmi ces élèves les peintres Marc Ronet , Yvan Theys
Il commence à sculpter la pierre de Soignies à partir de 1965. Il réalise des sculptures monumentales installés en plein air dans des parcs et jardins public dans le Nord à Lille, à la Piscine de Roubaix, au L.A.M de Villeneuve d’Ascq, à Dunkerque, Valenciennes ou Bondues mais aussi à Angers, Grenoble, Liège, Paris, Bruxelles, Louvain, Hanovre, Utrecht, Bâle, Washington, etc.
A partir des années 90, il expose également un peu partout dans le monde. A Paris au Musée Rodin, au Musée d’art moderne, dans plusieurs galeries parisiennes et aussi à Ostende, Stavelot, Prague, Berlin, Hanovre, Rotterdam, Bruxelles et Pittsburgh.
Jean Philippe Arthur Dubuffet (1901-1985) dit Jean Dubuffet est un peintre, sculpteur et plasticien français. Fils de négociant en vins, il rentre dans l’entreprise familiale. Très vite avec son ami Georges Limbourqui deviendra critique d’art et écrivain, il quitte le Havre. D’abord pour Bordeaux où il suit les cours du soir des Beaux-arts puis en 1918 à Paris. . Son aversion pour l’Art institutionnel le fait abandonner très vite l’Académie Julian. Il fait du commerce et peint en autodidacte. Il devient peintre à temps complet en 1942. Il se fait connaître en exposant à la Galerie René Drouin, sa série des « Gardes du Corps » lors de l’exposition « Le nu dans l’art contemporain » Il est considéré comme un provocateur sans talent. Il est soutenu par André Breton, Paulhan, Francis Ponge et Georges Limbour. Son approche peut être rattachée à l’Art informel
Dès 1945 il commence a collectionner les œuvres d’artistes internés. A partir des années 1960, il devient le pape incontesté de l’Art brut. Dans les années 1980 il s’attaque à le sculpture souvent monumentale cf. La closerie et la villa Falbala à Périgny et aussi de peintures monumentales Cf. L’Hourloupe (1962-1974)
De son vivant il est à la fois encensé mais aussi critiqué entre autre à Émile Zola. Pendant presque tout le 20ème siècle il a été très souvent considéré par le grand public comme un peintre académique ou pompier. Pourtant, Puvis de Chavannes a influencé les artistes de son temps ainsi que les générations suivantes. Notamment : Georges Seurat, Paul Gauguin, Paul Cézanne, Vincent Van Gogh, les Nabis Maurice Denis, Félix Vallotton, Aristide Maillol et aussi Ferdinand Hodler et Edvard Munch. Il pris la défense de Courbet, Degas ou Bazille. Et Pablo Picasso l’admirait. Il eut comme élèves Anna-Kristine Ancher, Charles Cottet, Eugne, Marcel-Paul Meys, Adrien Karbowsky.
Il réalisa toute sa vie de nombreuses décorations monumentales, notamment dans les musées d’Amiens, Lyon, Rouen, au Palais de Longchamp à Marseille, au Panthéon, à la Sorbonne et de l’Hôtel de Ville de Paris et la Bibliothèque publique de Boston.
Il a aussi réalisé de la peinture de chevalet notamment le Pauvre pécheur, l’espoir, les jeunes filles au bord de la mer. Il a aussi peint de nombreuses aquarelles.
Pierre Puvis de Chavannes semble être sorti du purgatoire où il est longtemps resté confiné. En 2002 une exposition lui est consacrée au Palazzo Grassi à Venise. Au musée d’Amiens en 2005-2006. En 2014 à Tokyo au Bunkamura Museum of Art
Et aussi à Cuiseau, où son arrière petit neveux Bertrand Puvis de Chavannes, dans le cadre d’une biennale d’artistes locaux à présenté les aquarelles de son aïeul
En marge de cette exposition de Cuiseau, Serge Lemone, ancien président du Musée d’Orsay a prononcé une conférence sur «L’apport de Pierre Puvis de Chavannes à l’art moderne»
Quelques images d’œuvres de Pierre Puvis de Chavannes
Pierre Puvis de Chavannes – Pauvre pécheurPierre Puvis de Chavannes – Jeunes filles au bord de la mer
Pierre Puvis de Chavannes – L’espèrance
Pierre Puvis de Chavannes – Pour le travail – Fresque du musée d’Amiens
Pierre Puvis de Chavannes – Fresque – Amphithéâtre de la Sorbonne
Pierre Puvis de Chavannes – Marine – aquarelle
Pierre Puvis de Chavannes – Paysage de la Bresse
Pierre Puvis de Chavannes – Paysage aux arbres bleus
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Le Musée Matisse présente l’exposition Dewasne, la couleur construite, de l’anti sculpture à l’architecture
Jusqu’au 9 juin 2014
Mythia, la veuve de Jean Dewasne (1921-1999) a fait don à l’État d’une partie des œuvres de son mari. Elles ont été réparties entre diverses institutions muséales. Le musée Matisse en a rassemblé une soixante qui sont présentées dans cette exposition.
Jean Dewasne est un peintre, sculpteur et lithographe français né à Hellemmes-Lille. Il est considéré comme l’un des tenants de l’abstraction_ géométrique
Jean Dewasne
Après une formation classique et musicale solide il fréquente l’Ecole des Beaux-arts de Paris. Il est proche de Hartung, de Staël, Poliakoff ou Arp. En 1946, il participe au salon des réalités nouvelles. Il reçoit par ailleurs le Prix Kandinsky qui vient d’être créé. Il fonde en 1950 avec Edgard Pillet l’Atelier d’art abstrait à Paris. Il a été membre de l’ Oupeinpo (ouvroir de peinture potentielle) Il était membre de l’ Académie des Beaux-arts depuis 1991.Il donne de nombreuses conférences en France comme à l’étranger où il participe à des expositions internationales. En 1966 la Kunsthalle de Berne lui avait consacré une rétrospective.
Jean Dewasne inspiré par la musique, les mathématiques, l’urbanisme, utilise des couleurs vives, des formes simples. Il s’intéresse à la peinture industrielle, aux lques glycérophtaliques.
Mais aussi aux nouveaux supports comme l’isorel ou les pièces de motos ou de carrosseries automobiles. Il réalise des compositions murales à la Grande Arche de la Défense, dans les métros de Rome et de Hanovre.
Avec La Libre on peut penser que l’artiste va sortir du purgatoire et être connu d’un public élargi.
Quelques images de ses œuvresJean Dewasne – Composition géométriqueJean Dewasne – AbstractJean Dewasne – Hyper Ile