Les mouvements artistiques de 1800 à aujourd'hui +Les arts visuels depuis l'Antiquité jusqu'à l'orée du 19ème siècle.LesTechniques, manifestations, artistes, biographies, répertoires , carnets de liens + et bien d'autres choses
Cette oeuvre colorée est le résultat d’un petit essai que j’ai réalisé avec un logiciel en ligne que j’ai trouvé au fil de mes vagabondages. Il s’appelle Jackson Pollock.com.
Ce site est dédié, comme son nom l’indique, au célèbre peintre américain La maîtrise du trait et des couleurs est aléatoire. Lorsque l’on veut changer l’orientation il faut manœuvrer la souris, hors du cadre. Le résultat est sans prétention , mais dans le « net art » on a vu pire.
Voici un certain nombre de liens vers des artistes autrichiens qui pratiquent l’aquarelle. Je n’ai pas la prétention d’être exhaustif. D’autant que la quête est malaisée notamment parce qu’il n’existe, à ma connaissance, aucune organisation ou société d’aquarellistes en Autriche. De plus les artistes proposent ici rarement des liens vers les sites d’autres aquarellistes. Merci donc de me faire part de liens pour compléter ce carnet. Voici donc les liens de renvoi vers les sites d’une trentaine d’aquarellistes autrichiens :
Ce n’est pas aux 4 x 4 de cette marque que l’on voit dans les rallyes automobiles que je me suis intéressé, mais à la région d’Australie dont est issu le nom : « Outback » qui veut dire « intérieur du pays »
Je ne suis jamais allé en Australie et je n’irai sans doute jamais. Cela ne m’empêche pas d’être impressionné par ces étendues souvent désertiques, où prédominent les ocres, les rouges du sol à perte de vue et par les collines abruptes.
C’est à une recherche de ces tonalités que je me suis livré et que j’ai voulu rendre dans cette étude. Elle a été faite dans l’humide, puis avec quelques glacis – Papier Montval 300 gr. Grain fin – format A3.
Museo del Corso à Romerétrospective Edward Hopper (1882-1967) figure emblématique de l’avant-garde américaine, jusqu’au 13 juin 2010. Plus de 170 œuvres, dont des huiles, aquarelles et dessins, seront présentées, issues pour la plupart du Whitney Museum of American Art
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Au musée Thyssen-Bornemisza de MadridMonet et l’abstraction (1840-1926)du 23 février au 30 mai 2010. L’artiste préfigure-t-il la peinture abstraite du 20 ème siècle. Ses œuvres évanescentes, aux contours diffus, incertains, flous, sont confrontées à celles des peintres des années 1950 tel que Pollock ou Rothko
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Au Palazzo Strozzi de FlorenceDe Chiricco – Magritte – Balthus du 26 février au 18 juillet 2010. Interrogation sur le monde, les choses et leur représentation. La période métaphysique de Giorgio de Chirico (1888-1978) L’ère du soupçon, l’aliénation, solitude et silence du monde. Mise en perspective avec des œuvres de Magritte et Balthus.
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A l’Hermitage Amsterdam, antenne du musée de Saint-Pétersbourg, de Matisse à Matlvitch , les pionniers de l’art moderne du 6 mars au 17 septembre 2010 .Plus de 75 tableaux de Matisse, Picasso, Derain, Van Dongen, De Vlaminck Kandinsky ou Malevitch
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Au musée des Beaux-Arts de PhiladelphiePicasso et l’avant-garde à Paris du24 février au 25 avril 2010. C’est la période 1905 à 1945, où l’artiste vit à Paris vit à Paris qui est montrée avec son foisonnement créatif et aussi le rôle de Paris alors capitale de l’avant-garde artistique.
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A l’Art Institute of ChicagoMatisse l’invention radicale du20 mars au 20 juin 2010. Entre 1913 et 1917, la carrière de l’artiste connaît une évolution étonnante. Il produit des œuvres expérimentales, énigmatiques, composées selon une géométrie rigoureuse dans des teintes noires ou grises, et purgées de tout caractère descriptif. Plus de 100 peintures, dessins, sculptures issues de cette période illustre le propos.
Voici quelques conseils et observations autour de la pratique de l’aquarelle.
La réalisation d’une aquarelle, comme toute œuvre picturale, commence avant que l’on prenne ses pinceaux. C’est vrai lorsque l’on travaille dans l’atelier mais aussi lorsque l’on se trouve sur le motif.
Réfléchir à la composition
Il faut observer d’abord ce qui se passe dans le sujet choisi : d’où vient la lumière, où sont les ombres.
Ensuite, penser à ce que l’on veut exprimer, faire ressortir, mettre en avant. Quel genre d’atmosphère l’on veut faire ressentir. Quel cheminement dans la future œuvre l’on veut proposer au spectateur. Où va-t-on ménager un « puits de lumière » avec le blanc du papier ou avec une zone plus lumineuse.
Il ne faut pas tout vouloir dire, sauf pour l’hyper-réalisme ou l’aquarelle botaniste.
Faire un croquis préalable
Un petit croquis sommaire, qui peut être coloré, permet de concrétiser son approche.
La recherche des nuances
Ensuite il faut faire des essais de tons, d’harmonie. Il peut souvent utile de se servir d’un cercle chromatique ou roue des couleurs.
Il faut encore voir comment réagissent entre elles les couleurs choisies, en provoquant des fusions sur du papier à aquarelle. Il faut utiliser pour ces essais, le même type de papier, le même grammage, sinon les réactions peuvent être différentes lors de l’exécution proprement dite.
L’exécution proprement dite
Voilà, tout est maintenant en place pour commencer : Papier, couleurs disposées sur la palette, pots d’eau, et bien entendu une série de pinceaux.
Et puis ne pas oublier d’avoir toujours à la portée de la main un chiffon propre pour essuyer ses pinceaux.
Il faut aussi nettoyer ses pinceaux à l’eau clair entre chaque intervention, notamment lorsque l’on fait des retraits, que l’on tire des blancs.
Il faut aussi être très attentif au travail de l’eau, pour intervenir à temps, notamment lorsque l’on travaille dans l’humide
L’aquarelle et la règle des contraires
Les contraires à l’aquarelle, qu’il faut alterner ce sont :
Le mouillé et le sec – Le dit et le non dit – Le net et le flou – Le chaud et le froid – L’ombre et la lumière Le clair et le contrasté – Le proche et le lointain – La masse et le trait – Le positif et le négatif
Remarque
Ces conseils de bonne pratique, c’est ce qu’il faut faire. Mais souvent à tort, j’oublie, comme tout le monde de les appliquer. Suivant l’adage : « Fait ce que je dis, pas ce que je fais »
A la Royal Academy of arts de LondresThe Real Van Gogh(1853-1890) jusqu’au 18 avril 2010. Dans cette exposition qui regroupe 65 tableaux et 30 dessins, sont mises en parallèle 35 lettres de l’artiste, adressée souvent à son frère Théo,qui traitent de ses œuvres. On s’aperçoit que tout ce que peignait Van Goghétait murement réfléchi et non pas impulsif comme certains le prétendaient.
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Au musée desBeaux-artsde BudapestDe Degas à Picassojusqu’au 25 avril 2010. Issus du musée Pouchkine de Moscou sont présentées près de soixante œuvres expressionnistes et abstraites de Cézanne, Courbet, Gauguin,Matisse, Picasso, Van Gogh
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A laFondation Beyeler de BâleLe Douanier Rousseau (1844-1910) jusqu’au 9 mai 2010. A l’occasion du centenaire de la mort de l’artiste sont présenté une quarantaine de toiles majeures des célèbres forêts vierges tropicales
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A la Tate Modern de Londres Rétrospective Arshile Gorky (1904-1948) jusqu’au 3 mai 2010.Exposition consacrée à l’une des figures de l’expressionnisme abstrait avec Pollock et Rothko
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AuPalais des Beaux-Arts de BruxellesImagenes del Mexicanojusqu’au 25 avril 2010. L’histoire du Mexique et sa quêted’identité de la période précolombienne, au colonialisme, à l’indépendance et à l’époque moderne. Cent cinquante portraits par Hermenegildo Bustos, Diego Rivera, David Alfaro Siqueiros, Frida Kahlo Sergei Eisenstein, Tina Modotti. Par ailleurs au même endroit une exposition Frida Kahlo
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A la Hamburger Kusthalle de HambourgPop Lifejusqu’au 9 mai 2010 . Les travaux d’Andy Warhol Richard Prince, Damien Hirst, etc.
Je montre ici le résultat d’un « sujet imposé » lors d’un récent cours d’aquarelle : des barques de pêche,au bord d’un étang. Mes amies du cours travaillaient sur des fleurs et donc moi sur les bateaux. J’avoue qu’au départ, le thème ne m’inspirait pas trop. Mais j’ai tout de suite pensé que toutes les approches sont formatrices. Après le mouvement, c’était donc le calme, la sérinité.
Avec le recul, je constate que j’ai fait naître une assez belle lumière et une harmonie de couleurs qui me satisfont. Conclusion, je pense que je ne m’en suis pas trop mal tiré. Trêve d’autosatisfaction, voici donc cette aquarelle :
Elle est exécutée dans le « grand humide » palette restreinte, sur papier Montval 300 gr. Grain fin – tendu sur châssis, format « Raisin » 50cm x 60 cm
La « toile » ne présente pas beaucoup de cours ou démonstration sur le « comment peindre » les portraits, les personnages, nus ou habillés. Par contre internet regorge de dessins, d’aquarelles représentant des personnages le plus souvent dévêtus.
De nombreux artistes contemporains sont répertoriés comme peintre de nus sur Artdunu – Google – Dmoz Il y a aussi les personnages à l’aquarelle de Charles Reid et de Daniel Gerhartz, un peintre américain qui peint des personnages habillés dans un style réaliste
Le site de la Société finlandaise d’aquarelle m’a permis de retrouver dun certain nombre sites d’aquarellistes finnois. J’ai remarqué que l’organisation nationale regroupait 182 membres, pour une population de cinq millions d’habitants. Or, en France avecun peu plus de 65 millions d’habitants la Sfa n’a « coopté » qu’une soixantaine de membres. La politique de recrutement, me semble-t-il, est plus souple en Finlande.
Les membres qui n’ont pas de sites ne figurent pas dans ce « carnet de liens ». Mais j’ai aussi procédé à un choix et écarté les sites où les qualités techniques et l’originalité ne me semblaient pas suffisamment démontrées. Cette approche est donc tout à fait subjective et j’ai donc pu faire des erreurs de jugement. Voici le résultat de ma collecte, classée dans l’ordre alphabétique, sans hiérarchie : Tove AhlbäckLiisa Aholainen Anu AhonenJuna Airola Erkki AlakoskiBriget Allaire Helena Cedernerg Viktor Denisov
La galerie d’art graphique du Centre Pompidou présente depuis le 15 février et jusqu’au 24 mai 2010 les collages d’Erró de 1958 à nos jours.
Erró,Gudmundur Gudmundsson à l’état civil, est un artiste né en Islande en 1932. Il a reçu une formation académique à Reykjavik, Oslo et Florence. Il s’est installé à Paris en 1958. Actuellement il partage son temps entre la France, l’Espagne et la Thaïlande.
Depuis toujours, il voyage à travers le monde et collecte les magazines, les journaux, les revues scientifiques, les catalogues. Il y trouve la matière de ses assemblages colorés peuplés de visages de mannequins, de pièces de mécanique, d’automobiles, de comics, de personnages de bandes dessinées, de publicité,d’images de propagande chinoise, cubaine ou russe et aussi de reproductions des maîtres classiques. Avec ses images issues de cultures diffèrent, il provoque des télescopages, des chocs visuels.
Son œuvre dénonce la guerre, les pouvoirs totalitaires, la civilisation de la consommation. L’exposition est organisée en cinq thèmes : Mécacollages, Conquêtes, Politique, Arts et Comics.
Je poursuis mon voyage à la découverte des aquarellistes du 19ème siècle. Je redis que la plupart du temps ces artistes peignaient à l’huile et à l’aquarelle. Les musées possèdent les tableaux mais peu d’oeuvres sur papier. Leurs aquarelles sont de façon régulière présentent dans les catalogues de ventes aux enchères. Mais malheuresement les images sont rarement disponibles.
John Lewis Brown 1829-1890
Peintre français d’origine irlandaise. Il a été élève de Jean-Hilaire Bellocpuis de Camille Roqueplan . Il se consacra très vite aux scènes sportives et militaires, les chiens et les chevaux ainsi que les portraits. Sa peinture est proche des impressionnistes. Le musée de Bordeaux possède un ensemble de ses œuvres. Ses œuvres dans les musées sur Artcyclopedia
John Lewis Brown – Le départ – Aquarelle
Jean-Charles Cazin 1841-1901
Peintre français né dans la région de Boulogne. Il commence sa formation artistique à l’école des arts décoratifs puis à l’école d’architecture. Dès 1867, il est directeur des écoles d’art et du musée deTours. Il voyage en Belgique, Hollande, Angleterre, en Italie. Il peint des paysages de sa région et aussi du Var dans une manière réaliste et des sujets historiques traités comme des sujets contemporains. Il peint à l’huile, mais aussi à la cire et à l’aquarelle. Ses œuvres dans les musées sur Artcyclopedia
Jean-Charles Cazin – La carrière de M. Pascal
Théodore Chassériau 1819-1856
Peintre français né à Saint-Domingue. Il entre à l’âge de 11 ans dans l’atelier de Jean-Auguste Ingres, qui dit qu’il sera « le Napoléon de la peinture » Il sera aussi l’’élève de Delacroix. Les œuvres romantiques de l’artiste, tels que les portraits et les scènes historiques ainsi que ses dessins et aquarelles lui ont values une grande renommée.En 1846, Théodore Chassériau se rend en Algérie pour deux mois, à l’invitation d’Ali ben Ahmed, le calife de Constantine. Il ramènera de ce séjour de nombreux dessins et aquarelles, qui inspireront ses tableaux futurs. Ses œuvres dans les musées sur Artcyclopedia , à voir aussi « les amis de Chassériau »
Théodore Chasseriau – Intérieur d’école arabe à Constantine
Jean-Joseph dit Benjamin Constant 1845-1902
Peintre orientaliste et graveur français a été l’élève d’Alexandre Cabanel et a été influencé par Eugène Delacroix. Il voyage en Espagne et au Maroc en 1872 lors d’une mission officielle. Il exécute de nombreuses aquarelles. Il excelle dans les clairs-obscurs Il fut l’un des portraitistes favoris de la haute société britannique à la fin du 19ème siècle. Il a enseigné aux Beaux-arts et l’Académie Julian et a été membre de l’Académie des Beaux Arts.Ses œuvres dans les musées sur Artcyclopedia.
Jean-Joseph dit Benjamin Constant – L’échoppe du tailleur
Charles Delort 1841-1895
Peintre français né àNîmes.C’étaitun aquarelliste de renom, dessinateur, illustrateur, orientaliste. Il est l’élève de Charles Gleyre aux Beaux Arts, En 1862 il visite l’Égypte,puis en Afrique du Nord, en compagnie de Gérôme Les grandes compositions orientalistes qu’il en ramène ont un grand succès. Il devient paralysé de la main gauche puis entièrement à la fin de sa vie.Ses œuvres dans les musées sur Artcyclopedia.
Charles Delort – Facheuse aventure
Jean-BaptisteEdouard Detaille 1848-1912
Peintre français, issu d’une famille de militaires il fut l’élève de Messonier. Il a participé à la guerre de 1870. Cette expérience des combats a inspiré un certain nombre de toiles qui l’on rendu célèbre. Dans les années 1880 il voyage en Tunisie, en Angleterre. Il réalise aussi près de 300 dessins et aquarelles pour illustre les « Types et uniformes de l’Armée française » de Jules Richard . A la fin du siècle il revisite l’épopée napoléonienne avec une exactitude dans les uniformes et les accessoires. Il a été membre de l’académie des Beaux-Arts et à présidé le Société des artistes français Il a contribué à la création du Musée des Armées. Ses œuvres dans les musées sur Artcyclopedia.
Rassemblement de personnes, dans un lieu public ou sur la voie publique, dans le but de faire connaître, de défendre une opinion. Manifestation pour, contre qqn, qqc.3 septembre, jour désigné pour une manifestation anticléricale gigantesque (Bloy,Journal,1905, p. 274). Jaurès se rappelle que ses amis durent recourir à des manifestations révolutionnaires (Sorel,Réflex. violence,1908, p. 30):
.À Paris, la Confédération générale du Travail projetait une manifestation massive, pour un jour prochain, dans les salles de l’avenue de Wagram. Son organe officieux, la Bataille syndicaliste, venait de rappeler, en gros caractères, les décisions formellement prises par les congrès confédéraux… Martin du G., Thib., Été 14, 1936, p. 328.
SYNT. Organiser, réprimer, interdire une manifestation; participer à une manifestation; manifestation pacifique, populaire, violente; manifestation de masse, de rue » (Définition du CNRTL )
A Paris, des manifestations de toutes sortes, sont organisées. Le site de la Ratp les recense et aussi celui nommé Demosphere . Et voici deux vidéos, une manifestation d’étudiants et une autre plus rétrospective
Je suis en avance d’un bon mois sur le calendrier (cf. la mobilisation syndicale du 23 mars prochain). Mais toutes les « manif » se resssemblent, qu’elles soient syndicales, étudiantes, politiques, catégorielles.
J’ai voulu traduire dans cette aquarelle, la foule nombreuse, les bruits, la fumée, le feu. L’impression de flou est voulue : des manifestants ont lancé des fumigènes, un autre à une torche allumée la main, il y a de la fumée. C’est ma vision de la chose. Il ne faut pas chercher des détails précis. C’est l’atmosphère, l’ambiance survoltée qui m’intéresse dans cette scène de rue, voilà !.
Elle est réalisée sur papier Montval tendu sur châssis – 300 grammes – grain fin – Format « raisin » 50 x 65
Cette aquarelle n’a aucune visée militante. Elle cherche simplement à traduire un acte , une situation de la vie. J’essaie de varier mes thèmes de peinture. Il est certain que j’aime bien les ambiances de foule. Mes croquis aquarellés de « scènes de vie » , que j’ai un peu abandonné , pour le moment , en sont peuplés. Je pense que l’aquarelle, à l’instar d’autres médiums, permet elle aussi de tout exprimer. Dans l’art pictural, comme dans les autres arts visuels, je ne pense pas qu’il faille toujours chercher à faire joli. C’est l’idée que je « manifeste » dans cette représentation.
Dans mon précédent article j’ai parlé du modèle vivant. Malheureusement tout le monde ne peut pas participer à un atelier.
On peut essayer de demander à un proche, son conjoint par exemple de prendre la pose. Mais la pudeur légitime, le manque de temps, l’obligation de rester immobile, le manque de connaissances, auront tôt fait de décourager même les plus hardi(e)s
Il reste encore les statues dans les jardins publics ou les musées. Elles sont dociles et toujours disponibles. Sinon il y a le mannequin articulé en bois et puis aussi un certain nombre de sites sur le Web.
Mais tout d’abord j’ai recensé des sites où trouver des conseils pour dessiner le corps humain.
Un ouvrage, en anglais, de l’illustrateur américain Andrew Loomis « Figure drawing for all it’s worth » Ce manuel est épuisé mais il peut être téléchargé ainsi que d’autres ouvrages de cet auteur surSave Loomis
La chevauchée sauvage , c’était le titre d’un film de Richard Brooks sorti en 1975. J’ai voulu dans cette aquarelle traduire le « mouvement ». Celui d’un troupeau, d’une horde de chevaux, sinon sauvages, pour le moins en liberté, telle que je l’imagine, dans une manade , en Camargue.
Travail réalisé dans le « grand humide » Papier Montval 300 grammes – grain fin – tendu surchâssis. Format « Raisin » 50 x 65
Benjamin Vautier, connu sous le nom de Benest un artiste plasticien et performeur français d’origine suisse, né en 1935 à Naples . Il a passé une partie de son enfance ,avec sa mère irlandaise, en Egypte puis à Paris et arrive en 1949 à Nice qu’il ne quittera plus. Il y vit et y travaille toujours sur la colline de Saint-Pancrasse , dans une villa très « art brut ». Il n’a jamais suivi aucun cursus académique, c’est un pur autodidacte.
Dans les années 1960, il ouvre une petite boutique où il vend des disques d’occasion. Il décore la façade d’objets hétéroclites souvent récupérés. Une reconstitutionde cette façade est exposée au Centre Pompidou c’est le « Bizard Bazar »
Là s’y retrouvent César, Arman, Martial Rayssse, Sosqno, etc. C’est ce qu’on appellera l’Ecole de Nice. Ben est séduit par le lettrisme d’Isidore Isou, que l’on retrouvera plus tard dans ses « écritures peintes » .A cette époque il rejoint le groupe Fluxus
Dans les années 1980 après un séjour à Berlin il nomme le mouvement créé parRobert Combas, Di Rosa , François Boisrond , Rémi Blanchard « Figuration Libre » qui rejette les règles de la figuration classique. Il utilise de matériaux hétéroclites et de couleurs discordantes.
Il remet en question de sa place le l’artiste dans la société. Il écritet réfléchit sur ce qu’il est vraiment et sur ce qu’est l’art et ce qui en vivent. Il écrit aussi de la poésie, sur l’actualité politique, sur les problèmes de notre temps.
Il en résultera des phrases, des citations, des mots rédigés,souvent ironiques, décalés, faussement naïfs mais surement provocateurs. Cette pratique qu’il décline non seulement sur la toile, mais sur des objets utilitaires, agendas, stylos, sacs, le font connaître dans d’un large public.
« Fountain » de Marcel Duchamp et le concept que cela traduit l’a, semble-t-il fortement impressionné. Il Ben n’a jamais cessé de répéter « Si j’ai réussi, c’est parce que j’ai copié les autres ». Ben définit lui-même son art comme un « un art d’appropriation », déclarant : « Je cherche systématiquement à signer tout ce qui ne l’a pas été. Je crois que l’art est dans l’intention et qu’il suffit de signer. Je signe donc : les trous, les boîtes mystères, les coups de pied, Dieu, les poules, etc. «
En Allemagne, il n’existe pas, à ma connaissance, comme dans d’autres pays, d’institution qui regrouperait les aquarellistes. Ce « carnet de liens » est donc uniquement le fruit de ma navigation sur les sites d’outre Rhin. L’administratrice du forum allemand « Das aquarellforum » que j’avais contacté me l’a confirmé. J’y ai tout de même fait quelques découvertes.
Mais je n’ai pas la prétention d’avoir fait le tour de la question. Les artistes présentés ont des talents divers. J’espère que les visiteurs qui ont une connaissance plus affinée que moi des milieux artistiques allemands pourront apporter d’utiles compléments ou rectifications.
Néanmoins, je crois que ce tour d’horizon devrait intéresser les visiteurs de ce blog. En effet à part le couple Prischedko, bien connu des salons de Belgique et de France, beaucoup, à commencer par votre serviteur, seraient en peine dans citer quelques uns.
C’est un coin de la « verte campagne » ici ou là. Je ne sais pas s’il a plu ou s’il va pleuvoir. Le ciel est assez sombre mais il y a une belle clarté. C’est donc plutôt après la pluie . J’ai voulu traduire une atmosphère. J’avais en tête certaines toiles de Maurice de Vlaminck avec ses ciels chargés
Cette aquarelle » made home » a été réalisée dans le « grand humide » sur papier Montval – 300 grammes – grain fin tendu sur châssis. Format « Raisin » 50 x 65.
Pour la petite histoire, j’ai utilisé comme fond, une ancienne aquarelle sur les Souks, qui ne me plaisait pas et que j’avais passée à l’éponge et au jet de la douche. C’est sans doute ce qui m’a incité à partir dans des teintes viriles. fortes
L’Office de Tourisme et la Ville de Marcq-en-Barœul organisent le 27e salon des artistes. Il se tiendra 27 février au 7 mars 2010 dans les salons d’Honneur de l’Hôtel de Ville. Le thème retenu est « l’expression libre ». Plus d’une centaine d’artistes, souvent professionnels, de la ville, de la métropole lilloise, et de le région du Nord, participent chaque fois à ce salon qui se tient tous les deux ans.Ce salon est ouvert à toutes les techniques de peinture.
Le jury de sélection a retenu mon aquarelle « Terrasse la nuit » que j’ai montrée sur le blog il y a quelques temps. C’est pour moi le « baptême du feu » puisque c’est la première fois que je participe ainsi à une exposition collective avec sélection par un jury d’experts
La tête de cheval du logo est une évocation de l’implantation, près du Crosé Laroche, sur la territoire de la commune de ‘l’hipodromme des Flandres » et aussi d’un centre équestre propriété de la Ville de Marcq-en-Baroeul
Je compte bien, dès les beaux jours y venir avec mes fusains, feutres et aquarelles, pour croquer la plus belle conquête de l’homme, dans les boxes ou sur le manège. Et puis m’imprégnier de l’ambiance des « réunions nocturnes » du lundi.
Je ne me suis pas inspiré du livre du critique d’art Jean Seltz, paru dans les années soixante. Mais j’ai pensé que sa couverture constituait une bonne acroche pour cette série d’articles consacrée aux aquarellistes français du 19ème siècle. Contrairement à leurs homologues anglais, ces peintres français pratiquaient souvent conjointement la peinture à l’huile et à l’eau. Leurs aquarelles ne sont pas toutes des chef-d’oeuvres, elles sont parfois un peu « pompier ». Mais je pense que ce petit voyage dans le temps nous permettra de faire des rencontres intéressantes. C’est la partie n°1, je pars à l’aventure je ne sais pas encore le nombre de billets que je leur consacrerai. Certains artistes notables ne serons pas inclus dans cette série et feront l’objet d’un article spécial. Je pense par exemple à Jean-Baptiste Debret (1768-1848) cousin de David essentiellement connu au Brésil.
Louis Emile Adan 1839-1937
Peintre et aquarelliste français a étudié sous Cabanel et Picot à l’Ecole des Beaux Arts. Il expose chaque année, tant au Salons de Paris et avec la Société des Aquarellistes Français de 1863 à 1937. Voir ses œuvres dans les musées sur artcyclopedia
Louis Adan – Femme au berceau
Edouard de Beaumont 1821-1888
Peintre et aquarelliste français né à Lannion en 1821. Fils d’un sculpteur, il étudia chez Boissellier et débuta en exposant au Salon en 1838. Après un voyage en Italie, il se consacra à la peinture de genre. Il fonda la Société des Aquarellistes et écrivit pour de nombreux journaux dont Le Moniteur et La Gazette des Arts. Voir ses œuvres sur War
Edouard de Beaumont - Femme et enfant
Jean Béraud (1849-1935)
Jean Béraudest le plus célèbre peintre de la vie parisienne durant la Belle époque. Ami de
Marcel Proust, il fut le contemporain de Manet et Caillebotte. Ses toiles les plus populaires
mettent en scène des élégantes, des salonnards, des petits métiers des rues.
On peut voir ses oeuvres dans les musées sur artcyclopedia
Jean Béreau – Buveurs d’absinthe
Albert Besnard 1849-1934
Peintre et graveur il a été reçu à l’Académie Française en 1925 .Il a connut le succès
et et les honneurs. Albert Besnard aborde tous les genres en exploitant de nombreuses
techniques : peintures à l’huile, détrempe, fusain, aquarelle, pastel. Ses oeuvres sont
celles d’un artiste en pleine maîtrise de son art entre classicisme, impressionnisme
symbolisme.à la recherche d’éclairages audacieux, d’effets de lumière et de jeux de reflets.
Gaston Béthune est un peintre paysagiste de l’école française, né à Paris.
Béthune a commencé ses études avec paysagiste Achille Jules Noël (1815-1881).
Il continuera avec les études historiques est peintre Léon Bonnat (1833-1922)
et l’aquarelliste Pierre François-Eugène Giraud, aux Beaux-Arts.
Il a fait ses débuts au Salon de Paris de 1876 et est rapidement devenu un personnage
important et contribue régulièrement à des salons.
Il a été reconnu pour ses paysages lumineux à l’huile et l’aquarelle.
Gston Béthune - Femme a fichu
Emile Boilvin 1845-1899
Peintre, Graveur, Aquafortiste, Emile Boilvin est né le 7 mai 1845 à Metz. Elève d’Isidore Pils à l’école des Beaux-arts où il entre le 5 avril 1864, il débute au Salon en 1865 avec un portrait dessiné. La revue l’Artiste publie, en février 1869, une gravure d’après l’un de ses tableaux.
Boisvin – Le graveur
Maurice Boutet de Monvel 1851-1913
Peintre françaiset illustrateur de livres d’enfants est né à Orléans. Il est issu d’une famille d’artistes. Il étudie à l’Ecole des Beaux-Arts de Paris, où il est l’élève d’Alexandre Cabanel, Jules Lefebvre, Gustave Boulanger et Carolus-Duran. Lui-même se montre ouvert au japonisme et au préraphaélisme. À partir de 1874, il expose avec succès dans les salons. Il obtient une médaille d’or à l’Exposition universelle de 1900. Il collabore à différentes revues Il travaille pour le journal pour enfants Le Saint-Nicolas. Ses dessins lui confèrent une certaine renommée internationale, notamment en Angleterre et aux États-Unis, où plusieurs expositions lui ont été consacrées.
Jean-Louis Hyppolite Bellangé 1800-1866 fut élève de Gros et ami du lithographe Charlet. Il s’est fait un nom dans la peinture des batailles et scènes militaires. Il participa à presque tous les salons qui se tinrent à Paris de 1822. Son œuvre lithographique est également très importante.
Peintre français est né à Verceil, dans le Piémont, Elève de Dévéria, il fréquente l’école des Beaux-Arts et commence à exposer. Ami de Victor Hugo, qui lui dédia des vers, il prit part au mouvement romantique. En 1860, il est nommé directeur des Beaux-Arts de Dijon. On lui doit de nombreuses lithographies.Voir ses oeuvres dans les musées sur artcyclopedia
Louis BOulanger – Mazepa
Paul Hyppolite Delaroche –1797-1856
Peintre français né à Paris dans une famille fortunée, il fut élève de Watelet, puis de Gros. Il débuta au Salon dès 1822 et vu complimenté par Géricault. Il fut un peintre reconnu de son temps. Ces tableaux de batailles ou religieux sont de facture académique. Il est également portraitiste.
Depuis l’antiquité, la connaissance du corps humain a représenté la base de l’apprentissage du métier d’artiste. Longtemps, cette connaissance a été réservée à un public masculin. Les femmes n’ont pu faire que leur apparition officielle sur les bancs des ateliers des Beaux-arts qu’à partir de 1897, tandis qu’elles étaient déjà reçues dans les écoles libres telles que l’Académie Julian.
De nos jours, dans les écoles d’arts plastiques, le cours ou l’atelier « modèle vivant » est toujours pratiqué. Au cours de la séance où une femme ou un homme ou les deux posent nus, face aux élèves. Le croquis de nu est un dessin d’observation. La nudité du modèle permet une étude du squelette, les proportions du corps humain, la perspective, les notions de graphisme, ombres, lignes, tâches, gestes, mouvement. Les médiums utilisés sont le fusain, la sanguine, la pierre noire, la sépia, le crayon graphite et aussi l’aquarelle.
Cette pratique peut être comparée aux gammes du pianiste. C’est un exercice nécessaire pour apprendre à observer et à regarder le « sujet. » . En effet, dessiner un corps nu, c’est être confronté au modèle qui n’est plus dissimulé derrière les plis d’un tissus. Il est livré à l’oeil du dessinateur . . . dans toute sa nudité. Mais il faut commencer par oublier qu’il s’agit d’un corps et ne voir que des lignes et des courbes, qui forment des pleins et de vides. Grace à ce détachement, on sera surpris, partant de la ligne d’une épaule, d’un mollet, de voir surgur un corps sur la feuille blanche.
Voir un corps humain de près à la lumière offre une perspective qui ne peut pas être obtenue à partir d’un modèle en bois ou d’une photographie. Il faut d’abord prendre le temps de regarder le modèle, sans pruderie, avant de prendre son crayon. Le visualiser, par grandes masses, la poitrine, les bras, le torse, le bassin. Faire d’abord une esquisse des grandes lignes du corps,puis ajuster le dessin au modèle, avec les ombres et les lumières
Mais qui sont les modèles vivants ? Des étudiants, souvent des disciplines artistiques, mais aussi des personnes qui veulent arrondir leur revenu. Il y a un collectif CoMBA Certains modèles notamment lorsqu’ils posent pour des photographes,travaillent en direct comme Nat . ou ont une également une pratique artistique comme Angélique Bègue
Et à quoi pense le nu pendant la pose. Le point de vue de Naïma sur Aracanthe et aussi celui d’un ancien modèle sur le statut professionnel sur Eco89. En effet, leurs conditions de travail et de rémunérations ne sont pas toujours idéales. Ils sont parfois payés au tarif des « gens de maison ». La Direction des affaires culturelles de la mairie de Paris, en décembre 2008 a été confrontée à un mouvement de protestation des ses vacataires. Voir un article de Eco89 et une vidéo sur leur manifestation dans la rue, dans le plus simple appareil.
Pour le moment, je ne parle pas d’expérience, mais en juillet je vais suivre pendant toute une semaine un stage de modèle vivant. J’en parlerai alors, d’expérience.
Mises à jour : Un Bd-reportage sur Christelle Jacquaz, jeune comédienne suisse, qui prend la pose publié par Télérama Vidéos 1-2 et -2-2
La séance d’aquarelle de la semaine précédente était consacrée aux fusions de couleurs. Nous avons travaillé sur des petits formats, sur papier humide, en faisant voyager les couleurs primaires, en commençant pas la plus claire, en dessinant au pinceau un cercle. Le but était de « réviser » le comportement des couleurs au cours du « cycle de l’eau »
Voici donc les trois études réalisée et ensuite un travail de création sur le ciel d’orage et la montagne.
Le musée d’art contemporain de Lyon – » Le mac » va présenter à partir du 3 mars et jusqu’au 11 juillet 2010 une rétrospective compléte de l’œuvre de Benjamin Vautier dit Ben. Cet artiste contemporain, né en 1935, est connu pour ses performances, appropriations, installations, vidéos et peintures. Cinquante années de production, en plus de mille œuvres, dont certaines inédites, seront présentées dans l’intégralité des espaces du musée, soit sur plus de 3000 m2. Toutes ses séries thématiques : Bananes, Ego, Gestes, Ethnisme, Sexe, Vérité, etc. ou encore l’œuvre monumentale « Bizart Baz’art » seront présentées. C’est sans doute une façon de mieux appréhender cet artiste provocateur surtout connu par les « coups médiatiques » Je consacrerai prochainement un article à cet artiste qui s’est lui même demandé « est-ce bien de l’art » . Mais tout cela « c’est la faute à Voltaire », non je me trompe, à Marcel Duchamp, alias R Mutt . A découvrir donc . . .
Léonard de Vinci, au milieu du XVème siècle, a repris les théories des anciens selon lesquelles le corps est soumis aux lois de la mathématique. Il a illustre un ouvrage du 1er siècle de notre ère, réédité à la renaissance, avec son dessin célèbre dessin « Etude des proportions du corps humain selon Vitruve » vitruve-iii_1-a.1265004846.pdf
Pour lui, le corps humain peut être perfection, puisqu’il s’inscrit dans des formes géométriques parfaites, le carré et le cercle.
Le corps est proportionné. Ses proportions correspondent à une moyenne générale. Ce sont ces proportions qui seront appliquées pour un dessin réaliste, quel que soit le domaine artistique d’application, peinture, BD, mode, etc.
On utilise généralement un canon à 7 têtes. La hauteur de la tête sert de mesure pour placer les autres parties du corps.
Mais pour des hommes de grande taille les proportions du corps vont jusqu’à 8 têtes et pour la femme, seulement de 6 à 6 ½ têtes.
Elles varient en fonction de l’âge et du sexe. Les enfants ont une grosse tête par rapport au reste du corps. Au fil du temps, leur tête grandira peu, alors que le corps triplera entre la naissance et l’âge adulte.
Voici un nouveau « carnet de liens » consacré aux aquarellistes hollandais. Bien entendu, comme pour les autres pays, les aquarellistes même réputés qui ne disposent pas d’un site internet ou d’un blog, ne figurent pas ici. De même les notices qui ne présente qu’une oeuvre et pas d’éléments biographiques n’ont pas été retenues. Mon fil rouge a été le site de l’organisation « Hollandse Aquarellisten Kring » mais aussi les liens des sites d’Adrie Hello et de Joke Klootwijk. Et puis il y a bien entendu mon long travail de navigation et de recherche de sites d’aquarellistes hollandais que j’ai trouvé intéressants, pour une raison ou un autre.
Voici donc le fruit de ma collecte, classée par ordre alphabétique, sans distinctions particulières de nototiété ou de qualité des artistes présents
Bien entendu cette liste est certainement perfectible. Elle a le mérite de maintenant exister et de permettre aux uns et aux autres de mieux de rendre compte du réel talent de nos amis hollandais. On y trouvera, géographie oblige, de magnifiques aquarelles « autour de la mer »Et a bientôt pour un autre carnet de liens. A noter que certains liens peuvent devenir invalides entre le moment de mes recherches et celui de ma publication. @masmoulin 2010
J’ai essayé dans cette aquarelle ou plutôt cette étude, de rendre la vitesse des chevaux de course au galop.
C’est évident que ce travail n’est pas aussi « aquarellement correct » que ma précédente aquarelle consacrée au mouvement provoqué par le vent. Maisà mon avis, pour essayer de progresser, ne faut pas toujours faire se qui plait, qui est à la mode, dans l’air du temps. J’ai à l’idée les et la pratique d’une certain nombre d’aquerellistes qui, par commodité, système, produise, toujours la même chose. Je ne donnerai pas d’exemple. Mais tout le monde sait bien de quoi je veux parler. J’aurai pu peindre par exemple, un homme en bleu, un « Touareg, mais j’en retrouve partout. J’ai préféré peindre mes chevaux.
J’ai travaillé sur un format A3 – Papier Montval 300 grammes – grain fin – en technique humide