Salvador Dali, peintre, provocateur, manipulateur, mais aussi … aquarelliste

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Salvador Dali

Salvador Dali (1904-1989)  est un peintre espagnol, né à Figueras en Catalogne. C’est bien entendu d’abord du dandy exhibitionniste, excentrique, provocateur, mégalomane, manipulateur des médias, que l’on se souvient. Mais c’était aussi un peintre  sérieux dont le travail était soutenu par un système de pensée élaboré. Cette figure emblématique du surréalisme est l’un des peintres les plus fascinants du 20èmesiècle.

Il découvre la peinture, en 1914,  avec le peintre Ramon Pitxot Girones (1871-1925) grand ami de Picasso. Dès cette époque, il lit des livres d’art, des monographies de grands maîtres, des siècles passés. Quelques années plus tard il étudie le dessin à l’école municipale d’art de sa ville natale. En 1921 il intègre la Real Academia de Bellas Artes de San Fernando à Madrid où il reçoit une solide formation académique. Il en sera expulsé en 1926 par suite de sa rébellion contre le corps  professoral. Il réside la Residencia de Estudiantes où il côtoie ceux qui vont devenir l’avant-garde artistique espagnole, comme Federico Garcia Lorca, Luis Buñuel. Il s’intéresse au cubisme, au « Valori Plastici » italien, au travail de Le Corbusier. Et aussi la peinture métaphysique de Giorgio de Chirico et Carlo Carra. Il lit « l’interprétation des rêves de Freud ». Il est aussi influencé par  l’Uruguayen Rafael Barradas. Il peint alors beaucoup de portraits. Il est  un moment perçu comme un peintre classique. Mais il devient très vite un des principaux représentant de l’avant-garde artistique espagnole. Il voyage, rencontre Picasso, visite le Louvre, découvre Vermeer à Delf.

En 1928, l’une des ses œuvres « Le panier de pain », le fait connaître lors de l’exposition annuelle internationale du Carnegie Institute de  Pittsburgh. Il réalise en Espagne des décors et des costumes de théâtre. Il s’installe à Paris et entre dans le mouvement surréaliste. Il donne des conférences qui choquent le public, notamment à Barcelone. Le marchand de tableaux Goesmans l’expose puis se sera la galerie Pierre Colle. Il rencontre Gala la femme d’Eluard qu’il épouse et qui sera sa muse jusqu’à la fin de sa vie. Dans les années 1930 il est à l’apogée. Le Cercle du Zodiaque, un groupe de collectionneurs de peinture d’avant-garde emmené par le vicomte de Noailles s’engage à  lui acheter un tableau par mois. Il expose à New-York, donne une conférence au Moma  et visite les Etats-Unis.

Il fuit la guerre d’Espagne et s’installe en Italie où il étudie des peintres de la renaissance. Ensuite, jusqu’en 1948,il s’installera aux Etats-Unis. Il a une activité débordante, de plus en plus publique. Il donne des conférences, participe à des films. A son retour en Europe, son œuvre est imprégnée de mysticisme.

En 1954 il réalise une série de lithographies de la « Divine comédie » d’après ses aquarelles. A cette époque, il fraie avec le Caudillo dont il défend le régime. Dans les années 1960 une rétrospective de ses œuvres est présentée à New-York et à Tokyo. En 1965, il décrète avec mise en scène, force provocation que la gare de Perpignan est le Centre du monde. Enfin, il s’intéressera à la troisième dimension et aux hologrammes.

A la fin de sa vie il est très honoré. Des musées à Cleveland, Figueras lui sont consacrés, Il est reçu comme membre associé à l’Académie française des Beaux-arts. En 1979, le Centre Pompidou, après la Tate Gallery de Londres et le Musée d’Art contemporain de Madrid, lui consacre une importante rétrospective.

On trouvera des éléments biographiques complémentaires sur Wikipedia

http://fr.wikipedia.org/wiki/Salvador_Dal%C3%AD

Ainsi qu’un certain nombre de sites qui sont consacrés au personnage et à son oeuvre

http://www.universdali.com/salvador_dali.html

http://www.salvador-dali.org/fr_index.html

http://www.virtualdali.com/

http://www.daliparis.com/

http://www.daliphoto.com/

http://www.salvadordalimuseum.org/home.html

http://www.galerie-furstenberg.fr/fran%E7ais_editionsgraphiqus_dali.htm

Et bien entendu des liens vers les sites des musées qui dans le monde possède des œuvres de Salvador Dali sur « artcyclopedia »

http://www.artcyclopedia.com/artists/dali_salvador.html

Voici enfin quelques exemples de son œuvre sur papier, en l’espèce des aquarelles. La collecte est malaisée. En effet, sa production est sévèrement protégée, notamment sur les sites des fondations et musées qui lui sont consacrés.

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Salvador Dali – La divine comédie -Aquarelle

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Salvador Dali – La robe rouge – aquarelle

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Salvador Dali – Les trois anges – Aquarelle

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Salvador Dali – Le printemps – Aquarelle

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Salvador Dali – Les éléphants spaciaux – Aquarelle

« Terrasse de café, la nuit », c’est le titre que je voulais donner à ma nouvelle aquarelle

C’était un titre qui me plaisait bien, mais je me suis aperçu qu’il avait  déjà été utilisé, il y a de cela longtemps, en 1888, par Vincent Van Gogh  

http://www.abcgallery.com/V/vangogh/vangogh30.html

Je pensais donc faire, comme beaucoup de tableaux contemporains, et l’intituler « sans titre » ou en anglais « untitled ».

Mais à dire vrai, la scène ne représente pas une terrasse de café. Il s’agit plutôt de la terrasse d’un hôtel-restaurant. La soirée est bien avancée. Quatre personnes sont debout, en train de prendre congé, après cette bonne soirée passée ensemble. Dans l’ombre à droite des clients s’attardent.

En définitive , je vais titrer l’aquaelle :  » C’était une bonne soirée »

Ce qui est certain c’est que je ne me suis pas inspiré de l’œuvre de notre cher hollandais pour réaliser cette aquarelle. Je voulais simplement travailler sur l’ombre et la lumière. Je suis parti d’une photographie, trouvée je ne sais où. Elle a servi de point de départ. Mais je me suis éloigné à grandes enjambées de mon modèle. Je me suis lâché, comme l’on dit. Et puis, je n’ai pas été très orthodoxe, tant pis pour les puristes, les gardiens du temple. Je le confesse, je me suis servi, avec parcimonie certes, mais tout de même de la couleur noire. Qu’elle horreur !!

J’ai travaillé dans l’humide, avec du papier Montval 300 grammes – grain fin, tendu sur châssis – Format « raisin » 50 cm x 65 cm.

Voici mon « œuvre »

 

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C’était une bonne soirée – aquarelle   ©masmoulin 2009

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Embarras de circulation – Dessin aquarellé

En ces périodes de départs et surtout de retours de vacances, qui n’a pas été retenu dans un embouteillage « bouchon de 8 kilomètres sur l’A7 ,ralentissements sur le périphérique. intérieur. Voici quelques sites pour tenter de ne pas se trouver englué, ou pour le moins d’atténuer l’enlisement .

Infotrafic

http://www.infotrafic.com/home.php

Bison fûté

http://www.bison-fute.equipement.gouv.fr/diri/Accueil.do

et d’autres

http://www.v-trafic.com/

http://www.motoservices.com/debutant/bouchon.htm

http://fr.wikipedia.org/wiki/Boulevard_p%C3%A9riph%C3%A9rique_de_Paris

http://www.sytadin.fr/

Et durant ces épisodes de « circulation zéro », il y a des « hordes » de motards qui se faufilent. Ils doublent comme ils peuvent à gauche ou à droite. Leurs organisations savent bien que cette façon de circuler n’est pas très orthodoxe. C’est certain que les risques d’accidents sont moindres lorsque la circulation est bloquée. Mais lorsque tout redémarre, les motards continuent leur pratique tolérée

http://www.caradisiac.com/php/infos-trafic/index.php?carte=2_paris

J’ai traduit cette ambiance, dans le dessin aquarellé que voici :

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Bouchon – Dessin aquarellé – masmoulin 2009

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La voie de l’eau par Jean-Claude CHAILLOU

 

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http://aquarelle.chaillou.free.fr/

Dans mon dernier article consacré à la gouache, j’ai évoqué le nom de Jean-Claude CHAILLOU.  Il vient de m’envoyer hier soir, comme sans doute à d’autres personnes un courriel qui commence ainsi « Vous intéressant à la peinture, j’ai supposé que vous seriez intéressé par la parution de mon livre » Ce matin, à la FNAC, je l’ai eu entre les mains. Je ne suis pas encore passé à l’acte d’achat. Cependant c’est  tout à fait volontiers que j’y fais allusion ici.  Il ne s’agit pas  pour moi de promotion mais simplement d’information, comme je l’ai déjà fait pour d’autres ouvrages ou magazines. Il s’agit d’un livre accompagné d’un DVD d’une durée de 80 minutes qui montre trois pas à pas et un diaporama de certaines de ces aquarelles. Cet ouvrage est édité par Fleurus et est sorti en mai 2009. Il s’agit d’une édition qui comprend un livre et un DVD qui comporte trois pas à pas, d’une durée 80 minutes, et un diaporama avec quelques unes des ces aquarelles. Je sais qu’un certain nombre de personnes qui avaient antérieurement acheté le livre seul sont déçues de ne pas pouvoir se le procurer séparément. Bien entendu, je n’entrerai pas dans cette polémique.L’ensemble vaut 29 euros. On trouve l’ouvrage dans toutes les librairies,  en France, Belgique, Suisse, Canada et les autres pays francophones.

http://livre.fnac.com/a2650968/Jean-Claude-Chaillou-Aquarelle-la-voie-de-l-eau?PID=738

Voici un extrait de ce DVD.

La gouache, c’est de la peinture à l’eau

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La gouache, dont le nom vient de l’italien Guazzo,  est une peinture à la gomme arabique diluée dans de l’eau. Elle contient bien entendu des pigments et d’autres composants. Elle est opaque et couvrante. Elle permet de peindre des teintes claires sur des couleurs sombres. On utilise notamment la couleur blanche. Au séchage elle a une finition mate.

Il est recommandé d’utiliser des gouaches extra-fines. On les trouve sous les marques Talens, Horodam, Linel, Lefranc-Bourgeois ou Lascaux. La gouache, avec des composants différents de ceux d’aujourd’hui est utilisée depuis l’antiquité et ensuite pour les enluminures au moyen âge, sous le nom de tempera.

Les gouaches extra-fines, bien qu’elles soient opaques,  peuvent se diluer jusqu’à retrouver des transparences très proches de l »aquarelle. C’est comme cela que travaille l’aquarelliste Jean-Claude Chailloux.

La gouache peut être combinée avec l’aquarelle, le pastel tendre, les encres de couleur, le fusain, le crayon, l’acrylique.

Les papiers à dessin, à pastel ou à aquarelle, de préférence assez épais sont indiqués. Ils peuvent être colorés. On utilise les mêmes pinceaux qu’avec l’aquarelle. En illustration, elle peut être appliquée avec un aérographe  ou encore à la plume.

Ce médium a été  utilisé par des grands artistes comme  Turner, Braque, et Picasso Matisse, Dufy, Chagall , Van Gogh ou encore Rouault.

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Marc Chagall- Der Papierdrachen – Gouache sur papier –  1936 – Albertina Vienne

Pierre Soulages – Rétrospective de son œuvre – Centre Pompidou en Octobre 2009

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Pierre Soulages

A l’occasion de ses quatre-vingt dix ans, le Centre Pompidou, va lui rendre hommage, en organisant une rétrospective du 14 octobre 2009 au 8 mars 2010. Une centaine d’œuvres,  abstraites à ses débuts en 1946 jusqu’à ses toutes récentes. L’exposition se présente en deux parties. L’année 1979 est la ligne de partage. En effet, c’est en effet à cette époque que l’artiste commence l’autre versant de son œuvre qu’il a appelé l’outre-noir. Il a un jour déclaré que pour lui « Peindre avec le noir c’est le moyen le plus véhément de faire naître une lumière, une lumière mais picturale, c’est à dire émanant de la toile, modulée par la nature et la qualité des contrastes qui l’ont fait naître. Le noir est une couleur de lumière » Un peu plus d’un tiers des œuvres présentées sont postérieures à 1996. Certaines n’ont jamais été montrées au grand public. Pierre Soulages, un artiste mondialement reconnu, dont on présente une grande rétrospective. C’est certainement l’un des événements artistiques majeurs de la rentrée.

Pierre Soulages est né à Rodez en 1919. Très  jeune, il est impressionné par l’abbaye romane de Conques et par les peintures rupestres des grottes de l’Aveyron et d’Espagne. Il veut devenir professeur de dessin. A dix huit ans en 1938, il entre à l’école nationale des Beaux Arts de Paris. Il en ressort très vite, déçu par l’enseignement qu’il y reçoit. Pendant la guerre, il fréquente l’école des beaux-arts de Montpellier et aussi le musée Fabre. En 1943 il rencontre Sonia Delaunay et s’oriente vers l’art abstrait.

Il s’installe à Courbevoie en 1946 et expose au Salon des indépendants dès l’année suivante. Peintes parfois au brou de noix, les toiles noir et blanc de Soulages marquent le paysage artistique d’après-guerre par leur originalité. Elles rencontrent rapidement un succès international. A partir de cette époque, d’années en années, il participera à de nombreuses expositions collectives ou en individuel.

Au départ, il utilise l’abstraction et privilégie déjà  la couleur noire. Il cherche à saisir des « instants poétiques » Il poursuit  une suite de variations qui s’articulent autour des jeux infinis de la lumière. Il la prend au piège ou la crée par les larges coups de brosse. Il crée ainsi des tensions entre les vides, parfois teintés de jaune, et les pleins.  À partir de 1979, l’artiste n’utilise plus que la couleur noire et travaille sculpte littéralement son support à d’outils qu’il emprunte souvent aux peintres en bâtiment. Couteaux, racloirs, truelles, gros pinceaux, etc…lui servent à réaliser ces œuvres. Elles n’ont pas de titres. Il  indique la technique, la date de réalisation et le format.

La cotation de ses œuvres est l’une des plus élevée obtenue par un artiste français.

A noter qu’un musée Soulages ouvrira ses portes en 2012 à Rodez la ville natale du peintre. Il a fait la donation d’une partie importante de son œuvre. On trouvera des liens vers les musées du monde entier où ses œuvres sont exposées sur artcyclopedia

Pour illustrer le propos voici quelques unes des œuvres de l’artiste. Elles ne sont pas nécessairement présentées lors de la rétrospective.

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Soulages – Brou de noix sur papier – 1947

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Pierre Soulages – Peinture – 1954

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Pierre Soulages – Peinture – 1958

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Pierre Soulage 29-06-1979

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Pierre Soulages – Peinture -Acrylique – 2008

Futsal ou football en salle – dessin aquarellé

https://dailymotion.com/video/x1316_futsal-top-gestes-techniques_sport%20%20%20

Il y a un moment que je voyais un groupe de jeunes, pas très loin de chez moi, jouer sur un terrain de petite dimension, aménagé par la ville, à une sorte de football.
En fait, il s’agit d’un sport dérivé du football. Ce nouveau sport a créé Amérique latine dans les années 30. Les règles ont été codifiées à la fin des années 60. .Le nom  « futsal » vient du portugais « futebol salão » qui signifie « football en salle »

Au départ il se jouait uniquement en salle. Il est maintenant également pratiqué à l’extérieur. Mais il n’y a pas de nom spécifique pour cette pratique à l’air libre. Avec deux mots antinomiques l’on a forgé le terme « futsal outdor »

Ce nouveau sport se pratique par équipes de quatre joueurs et d’un gardien.. Il a des règles propres dérivées de son grand frère.

Des informations sur ce sport qui ne me semble pas encore beaucoup du public en France.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Football_en_salle

http://www.urbanfootball.fr/

http://www.futsal.asso.fr/

http://www.france-futsal.com/

http://www.pleinelucarne.com/futsal/

Voici mon dessin aquarellé.

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Futsal « outdoor » – dessin aquarellé – masmoulin 2009

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Les musées d’art de Londres – London art museums

Mon « pensum » progresse.Voici cette semaine les liens vers les musées de Londres

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Londres – London

British Museum

http://www.britishmuseum.org/

Hayward Gallery

http://www.hayward.org.uk

The National Gallery

http://www.nationalgallery.org.uk

The National Portrait Gallery

http://www.npg.org.uk

Tate Britain

http://www.tate.org.uk

Tate Modern Gallery

http://www.tate.org.uk

Victoria and Albert Museum

http://www.vam.ac.uk

http://www.stedmunds.co.uk

Royal Academy of Arts

http://www.royalacademy.org.uk

British Library

http://www.bl.uk/

The Royal Collection

http://www.royalcollection.org.uk/

Wallace Collection

http://www.wallacecollection.org/

Artangel

http://www.artangel.org.uk/

Barbican Centre

http://www.barbican.org.uk/

Ben Uri Gallery / London Jewish Museum of Art

http://www.benuri.org.uk/

Cabaret Mechanical Theatre

http://www.cabaret.co.uk/

Courtauld Institute of Art at the University of London

http://www.courtauld.ac.uk/index.html

Design Museum

http://www.designmuseum.org/

Dulwich Picture Gallery

http://www.dulwichpicturegallery.org.uk/

Estorick Collection of Modern Italian Art

http://www.estorickcollection.com/home.php

Fleming Collection of Scottish Art

http://www.flemingcollection.co.uk/index.php

Guildhall Art Gallery

http://www.cityoflondon.gov.uk/Corporation/LGNL_Services/Leisure_and_culture/Museums_and_galleries/Guildhall_Art_Gallery/

Hayward Gallery

http://www.southbankcentre.co.uk/visual-arts/

Imperial War Museum

http://www.iwm.org.uk/

Institute of Contemporary Arts

http://www.ica.org.uk/

Institute of International Visual Arts (inIVA)

http://www.iniva.org/

Leighton House Museum

http://www.rbkc.gov.uk/LeightonHouseMuseum/General/default.asp

Maritime Art Greenwich

http://www.nmm.ac.uk/mag/

Museum of London

http://www.museumoflondon.org.uk/English/

National Art Library

http://www.vam.ac.uk/nal/index.html

Royal Academy of Arts

http://www.royalacademy.org.uk/

Saatchi Gallery

http://www.saatchi-gallery.co.uk/

Serpentine Gallery

http://www.serpentinegallery.org/

Sir John Soane’s Museum

http://www.soane.org/

South London Gallery

http://www.southlondongallery.org/

The Hermitage Rooms at Somerset House

http://www.hermitagerooms.com/

Whitechapel Art Gallery

http://www.whitechapelgallery.org/

William Morris Gallery

http://www.walthamforest.gov.uk/william-morris

Paul Cézanne et l’aquarelle

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Paul Cézanne

Paul Cézanne (1839-1906) est un peintre français qui est né et qui a vécu presque toute sa vie à Aix-en-Provence. Il était l’ami et le condisciple d’Emile Zola. Après des études de droit il monte à Paris. Il effectue de nombreux aller-retour entre 1862 et 1869.Il fréquente « l’académie Suisse ». Il s’intéresse aux œuvres de Courbet, Manet, Delacroix et aux anciens comme Vélasquez et le Caravage. Pissarro, dont il s’éloignera plus tard,  lui enseigne en 1872, à Auvers-sur-Oise, la peinture en plein air. Sous son influence sa palette s’éclaircit. Il participa un moment aux salons d’impressionnistes, mais ensuite s’en éloigna. Il peint aussi bien à l’huile qu’à l’aquarelle. Il réalisera plus de 600 œuvres avec ce médium. Il les datait rarement.

Dans les années 1880-1890 il s’installe de façon permanente à Aix. Il hérite de la fortune de son père. Son aisance financière lui permet de se consacrer totalement à son œuvre. Il s’intéresse aux formes, aux volumes, sans oublier la couleur et la touche directionnelle. A la fin de sa vie, il simplifie les formes, notamment dans des séries sur la ontagne sainte-Victoire. Il fait aussi des portraits. Il a influencé non seulement le cubisme mais tout l’art moderne. Cézanne vivait éloigné des milieux artistiques de la capitale. Pendant presque toute sa vie son travail ne fut connu que des ses amis impressionnistes et aussi de Vincent Van Gogh et Paul Gauguin. Cependant, Ambroise Vollard, le marchand d’art parisien organise une exposition des ses œuvres en 1895. Il continue les années suivantes à le promouvoir. En 1904, il participe cependant quelques années au Salon d’automne.. A sa mort, c’est un peintre reconnu. Cette notoriété ira en grandissant tout au long du 20ème siècle jusqu’à nos jours. Une de ses aquarelles, “Nature morte au melon vert“, a été adjugée 25,5 millions de dollars, en mai 2009, lors d’une vente chez Sotheby’s.

On trouvera des éléments biographiques sur l’artiste sur ces quelques sites

http://fr.wikipedia.org/wiki/Paul_C%C3%A9zanne

http://agora.qc.ca/mot.nsf/Dossiers/Cezanne

http://www.artliste.com/paul-cezanne/

http://www.impressionniste.net/cezanne.htm

Et bien entendu ses œuvres dans les musées sur Artcyclopedia

http://www.artcyclopedia.com/artists/cezanne_paul.html

Voici une vidéo, en anglais, sur le peintre

http://www.youtube.com/embed/D25zQsfNPYY

Et voici une sélection de quelques unes de ses aquarelles

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Paul Cézanne -Le ferrage des centaures – 1861 ? -Aquarelle

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Paul Cézanne – Nature morte au melon vert – 1902 – Aquarelle

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Paul Cézanne – Nature morte au pot bleu – entre 1890 et 1906 – Aquarelle

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Paul Cézanne -Pécheur de la vallée de l’arc – 1906 – Aquarelle

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Paul Cézanne – Pont de la rivière aux trois sources – 1906 – Aquarelle

La sanguine

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La sanguine est un pigment constitué d’oxyde de fer et de craie.  Elle a une teinte rouille profond, qui évoque la couleur de la peau.

Elle était déjà utilisée par les Egyptiens pour les hiéroglyphes et pour la peinture des tombes. Les artistes classiques comme Léonard de Vinci, Michel-Ange l’on largement utilisé.

On dessine généralement sur un papier blanc ou crème. Elle actuellement utilisée pour les nus, les portraits et les personnages. La sanguine se présente sous forme de bâtonnets, en barre, et  en crayon. Elle peut être dure ou tendre. Ses teintes vont du rouge anglais à la sépia en passant par le carmin. La technique est comparable a celle du fusain. Mais elle est moins salissante. On peut bien entendu estomper pour les modelés. On peut aussi la diluer dans l’eau et obtenir des lavis comme en aquarelle. On peut également l’utiliser avec la pierre noire.

On trouvera d’autres informations sur Wikipedia

http://fr.wikipedia.org/wiki/Sanguine

Et voici les sites de deux artistes un français Alain Barat, et un italien Antonello Villella qui présentent des réalisations très abouties.

http://alainbarat.livegalerie.com/

http://www.lameziastorica.it/index-ing.htm

Saut en hauteur à franchissement dorsal dit fosbury – Sanguine

Cette technique de franchissement de la barre est actuellement la plus utilisée par les athlètes. Elle a été popularisée par Dick FOSBURY athlète américain aux J.O. de 1968. Il y a trois phases distinctes dans cette façon de pratiquer le saut en hauteur

La course d’élan >L’appel>Le franchissement

http://crdp.ac-bordeaux.fr/decatalogue/page.asp?lang=fr&idmenu=2&id=sauts/hauteur/technique&tm=1&ti=1

C’est le cubain  Javier Sotomayor qui détient depuis 1993, le record du monde avec un saut à 2,45 mètres.

 

Mon dessin montre un athlète au cours de la troisième phase du franchissement. C’est une sanguine réalisée sur papier Montval 180 grammes au format A3 et le fonds en aquarelle. La chevelure est faite avec la pierre noire.

Voici cette sanguine

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Saut en hauteur – Sanguine et aquarelle – masmoulin

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Art postal – mail art

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source :  Art postal maniaque

L’art postal ou l’art posté et le mail art chez les anglo-saxons,  consiste à décorer des enveloppes, par tous moyens, notamment le dessin et l’aquarelle. Une fois la décoration réalisée, on rédige l’adresse, on timbre l’enveloppe et on l’envoie par la poste. Ce service public va oblitérer le timbre et acheminer l’enveloppe à son destinataire Lorsqu’elle arriver à son destinataire, l’oeuvre est née. C’est une façon artistique de renouer avec la pratique de la correspondance, un peu négligée de nos jours. On situe la naissance de l’art postal dans les années 1960. Mais, dès le milieu du 19ème siècle, avec la mise en circulation du timbre, certains décorent déjà leurs enveloppes. Plus tard, des artistes  comme Guillaume Apollinaire, Marcel Duchamps et Stéphane Malharmé, utilisent ce moyen d’expression.

Voici des liens vers des sites qui expliquent très largement ce qu’est l’art postal – Wikipedia Art postal.comMhb7 IntellegoMontralier. On trouvera ensuite quelques sites de passionné de cet art à par entière. Et tout d’abord celui dont est issue l’illustration du présent billet « art-postal-maniaque  » Reine ShadDenis CharmotDe très “belles enveloppes” sur Mailart


La pierre noire, un outil pour le dessin

 

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La pierre noire, outil de dessin, donne un noir sombre et mat. Elle est constitué ede carbone et d’argile. Il est donc inexact de dire qu’elle est fabriquée avecl’ampélite, un schiste bitumeux. On la trouve généralement sous forme de crayon en bois ou de craie rectangulaire. Elle a été utilisée par les peintres de la Renaissance pour les esquisses. Certains artistes s’en servent , de nos jours, pour des œuvres à part entière. Elles sont souvent réalisées sur papier brun, ce qui permet des rehauts blancs. On la trouve dans les magasins de fournitures pour les Beaux-arts. La marque Conté la propose en graduation H, HB, B, 2B et 3B. On nuance avec des « estompes », mais les mouchoirs Kleenex ou simplement un doigt peuvent faire l’affaire. La matière  est tendre, d’un noir intense, profond, mat et indélébile et un peu grasse. Elle permet d’obtenir des résultats comparables au fusain tout en étant plus précise et surtout moins salissante. Elle semble aussi  mieux adhérer au papier. On peut utiliser toutes sortes de supports : le papier à croquis, le papier Kraft, le carton et même la toile de lin. Elle convient pour la réalisation des nus, des paysages, des croquis rapides. Le crayon de pierre noire se taille de préférence au cutter. L’usage de la gomme ordinaire ou de la gomme mie de pain permet d’apporter lumière et contraste. Il ne reste plus qu’à l’essayer. Pour illustrer ce billet, je propose une oeuvre de Paul-Césr Helleu (1859-1927)

http://www.helleu.org/

qui était présentée au « salon du dessin » qui s ‘est tenu à Paris en mars 2009

http://www.salondudessin.com/

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Un coup de projecteur sur Debi Watson, aquarelliste américaine

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http://www.debiwatson.com/

Debi Watson est une aquarelliste américaine qui réside à Lancaster en Pennsylvanie Elle a été élevée dans la communauté Amish. Elle dessinait déjà mais ces parents souhaitaient qu’elle s’oriente vers des  choses plus productives. Elle a pendant de nombreuses années été infirmière de blog. Elle pratiquait depuis 1983 l’aquarelle dans pendant ses loisirs. En 1999 elle a commencé une carrière d’aquarelliste professionnelle. Par ailleurs, elle donne des cours au sein de la York association

http://www.yorkartassociation.org/

 Elle a reçu depuis 2004 plusieurs récompenses prestigieuses. Elle est membre de la Pennsylvania watercolor society

http://www.pwswc.com/index.html

Comme un certain nombre d’artistes outre atlantique, ses œuvres sont très réalistes. En voici quelques exemples

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Debi Watson – Fry Guy -aquarelle

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Debi Watson – Canoes – aquarelle

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Debi Watson – Bus scolaire – aquarelle

Enfin, j’ai découvert sur son blog plusieurs démonstrations en vidéo. J’en mets une en ligne dans un second billet dsitinct

Une démonstration de Debi Watson

Je mets ici en ligne, une vidéo que Debi Watson vient de produire et mettre sur son blog en juillet « Lifting clouds »

On peut encore trouver directement sur Youtube « Paintig Sunsets »

http://www.youtube.com/watch?v=cUAHvjCJmLw

Ici dans ces démonstrations, l’artiste nous montre son savoir faire dans des oeuvres plus spontanées. J’avoue que je les préfère à sa production réaliste.

Le 100 mètres – Epreuve reine de l’athlétisme – Essai sur le mouvement – la vitesse – à l’aquarelle

Le 100 mètres est une épreuve d’athlétisme consistant à parcourir, en ligne droite, sans obstacles, un sprint en moins de 10 secondes pour les hommes et 11 secondes pour les femmes.

http://fr.wikipedia.org/wiki/100_m%C3%A8tres_%28athl%C3%A9tisme%29

J’ai voulu à ma manière évoquer, par une aquerelle,  la performance du jamaïcain Usain Bolt. J’ai utilisé du papier Arches – 300grammes –Format A 3- J’ai essayé en travaillant dans le flou de traduire le mouvement, la vitesse. La piste à Berlin était bleue, mais on ne va pas chipoter pour un couleur. Généralement les pistes d’athlétisme ont cette couleur orangée que j’ai appliquée. De toutes façons, je n’ai pas essayé de traduire la réalité, mais seulement une ambiance. La réalité c’est la vidéo et le sprint « rêvé » c’est cette aquarelle :

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Le 100 mètres – essai sur le mouvement et la vitesse -aquarelle – masmoulin 2009

Cliquez sur l’image pour l’agrandir

L’aquarelle – ils l’ont pratiquée…ces grands artistes

L’aquarelle n’est pas un art mineur. N’en déplaise à certains critiques, esthètes, peintres, qui diffusent encore trop souvent des propos condescendants à l’égard de ce médium. Il est aussi souvent répétés que les grands peintres se sont souvent servi de l’aquarelle uniquement pour réaliser des esquisses, mais certainement pas des oeuvres à part entière. C’est pour m’inscrire contre ces propos que j’ai commencé des recherches. Je voulais vérifier si cela était vrai ou si certains artistes avaient utilisé aussi bien l’huile que l’aquarelle, sans arrière pensée.

Les billets que je publie réguièrement sur ce sujet, montrent que de nombreux peintres réputés l’ont pratiquée avec beaucoup de brio.

Delacroix, Klee, Kandinsky ont le savait déjà. Mais il y a : Dufy, Signac, Picasso, Van Gogh, Cézanne, dont je vais parler la prochaine fois et d’autres encore

Pour parler de Paul Cézanne, j’indique dans l’article prêt à mette en ligne que lors d’une enchère chez Sotheby en mai 2009, une aquarelle « nature morte au melon vert » a été adjugée à 25,5 millions de dollars. Sans commentaire.

Nos dénigreurs sont renvoyés à leurs chères études : « peux mieux faire »

J’ai pour mieux identifié ces articles créé cette nouvelle rubrique sous le nom qui figure dans le titre du présent billet.

Je vais poursuivre mes recherches et je suis tout à fait certain que l’oeuvre sur papier d’autres artistes viendra conforter ma démonstration. J’ai déjà à l’esprit Salavdor Dali.

Vincent Van Gogh et l’aquarelle

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Vincent Van Gogh – Autoportrait

Vincent Van Gogh (1853 – 1890) est un peintre et dessinateur hollandais. Il a entretenu une relation épistolaire suivie, avec son frère Théo. Celui-ci l’a soutenu moralement et financièrement. C’est ce qui lui a permis de réaliser son œuvre. Toute sa vie il a été un homme profondément seul, un tourmenté, un mystique, un désespéré. En 1869,  dans le cadre des activités de son oncle, marchand de tableau de la « Goupil Cie » le forme et l’envoi dans les succursales à Londres et à Paris. Il y rencontre alors  unc ertain nombre d’artistes. Mais il faut attendre 1880 pour le voir se consacrer à la peinture et au dessin.  Il reçoit ses premiers cours de peinture de son cousin par alliance, Anton Rudolf Mauve, peintre de l’école de La Haye.

http://www.rijksmuseum.nl/aria/aria_artists/00017202?lang=en

Pour le reste, il mène sa formation en autodidacte, en exécutant des copies de tableaux. Il visite aussi beaucoup de musées. Il rejoint son frère Théo qui gère l’agence Goupil de Paris. Il y rencontre Pissarro et Gauguin avec lequel il se lie d’amitié. Il est largement influencé par les mouvements picturaux de l’époque. On sait qu’il met fin à ses jours à Auvers sur Oise en 1890. Quelques amateurs d’art, comme le Docteur Gachet, qui accueillait les impressionnistes, se sont intéressés à lui. Mais, il ne connaîtra que la reconnaissance posthume. On trouvera des éléments biographiques, bien résumés, en français sur plusieurs sites

http://www.blue.fr/vangogh/

http://www.impressionniste.net/vangogh.htm

http://www.3dsrc.com/vangogh/

Au cours de sa vie, Vincent Van Gogh a réalisé de nombreuses aquarelles. Il l’utilise souvent avec le crayon graphite, l’encre de chine ou la gouache.  On trouvera de nombreuses reproductions sur ces sites

http://www.vangoghgallery.com/catalog/watercolor/

http://www.vggallery.com/watercolours/main.htm

On oubliera pas le Musée qui lui est conscré

http://www3.vangoghmuseum.nl/vgm/index.jsp?page=paginas.talen.fr

ainsi que des liens vers tous les musées qui détiennent ces oeuvres

http://www.artcyclopedia.com/artists/van_gogh_vincent.html

J’en ai sélection ici quelques exemples.

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Vincent Van Gogh – Trois hommes coupant du bois -1882 – aquarelle

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Vincent Van Gogh – Cabane avec des tournesols – 1887 -Aquarelle

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Vincent Van Gogh – Le pont Langlois à Arles – 1882 -Aquarelle et encre

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Vincant Van Gogh – Pêchers roses -1888 – aquarelle

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Vincent Van Gogh – Gens flanant  sur la plage -1882-  aquarelle

 

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Vincent Van Gogh – Moulin de Daudet à Fontvieille -1888-  Aquarelle

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Vincent Van Gogh – Café le soir à Arles – 1888- Aquarelle

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Vincent Van Gogh – Atelier à Sant-Remy de Provence – 1889 -Aquarelle

Un terrain de Camping – Dessin aquarellé

Qui n’a pas,  un jour dans sa vie,  passé une nuit sous la tente, dans un camping. Chaque année 6 millions de français et 2 millions d’étrangers campent sur le sol de France.  Et puis, l’on est en période de vacances. Au moment je rédige ce billet de nombreux campeurs passent leurs vacances en utilisant ce mode d’hébergement. Cela m’a inspiré le dessin aquarellé que l’on trouvera ci-dessous. Mais d’abord quelques sites qui délivrent des  informations pratiques qui peuvent toujours être utiles

Analyse du phénomène du camping

http://fr.wikipedia.org/wiki/Camping

Le camping sous la tente

http://www.abm.fr/pratique/heberg5.html

La fédération

http://www.ffcc.fr/

Trois guides du camping en France

http://www.camping.fr/

http://www.campingfrance.com/

http://www.campingdefrance.com/

Un guide du camping en Europe

http://www.francecamping.com/

Et maintenant voici mon « œuvre »

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Au camping – dessin aquarellé – masmoulin

Cliquer sur l’image pour l’agrandir

Homme assis sur le sol, dessin au fusain et à l’aquarelle

J’ai réalisé un premier dessin au fusain et j’ai aquarellé le fonds. C’est un premier essai, peut-être que je poursuivrai. Je l’ai fait à main levée d’après une photo que j’ai mise sur mon ordinateur. Ici, j’ai commencé par le dessin. Un autre fois, j’essaierai de faire l’inverse. Mais il est certain que s’il s’agissait de « rehauts »et non d’un simple fonds, il serait préférable de commercer par le fusain. De toutes façons, je renouvellerai l’expérience

Voici ce que cela donne. Soyez indulgents !!!

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Homme assis – Fusain et aquarelle – masmoulin 2009

Cliquer sur l’image pour l’agrandir

Les peintres célébres et les recherches des internautes sur Google

Lorsque l’on fait une recherche avec le moteur de recherche « google » le nombre de requête semblables à la votre s’afficche. Je me suis « amusé » à faire des requêtes sur les peintres célébres, reconnus, qui viennent à l’esprit. Il s’agit à deux exceptions prés de peintres nés à partir de la seconde moitié du 19ème siècle.

Voici les informations que j’ai recueillies :

Nom du peintre

Dates

Requêtes

Turner William

(1775-1831)

67.000.000

Dali Salvador

(1904-1989)

39.800.000

Picasso Pablo

(1881-1973)

29.000.000

Degas Edgar

(1834-1917)

11.700.000

Warhol Andy

(1928-1987)

11.400.000

Van Gogh Vincent

(1853-1890)

12.300.000

Pollock Jackson

(1912-1956)

9.090.000

Renoir Auguste

(1841-1919)

8.640.000

Matisse Henri

(1859-1954)

6.720.000

Klee Paul

(1879-1940)

6.070.000

Cézanne Paul

(1838-1906)

5.430.000

Sisley Alfred

(1839-1899)

5.210.000

Klimt Gustav

(1862-1918)

4.530.000

Gauguin Paul

(1848-1903)

4.350.000

Chagall Marc

(1889-1985)

3.460.000

Manet Edouard

(1832-1883)

3.040.000

Delacroix Eugène

(1798-1863)

2.840.000

Kandinsky Vassili

(1866-1944)

2.570.000

Modigliani Amedeo

(1884-1920)

2.510.000

Magritte René

(1898-1967)

2.330.000

Dufy Raoul

(1877-1953)

2.040.000

Mondrian Piet

(1872-1944)

1.970.000

Courbet Gustave

(1819-1877)

1.900.000

Frida Khalo

(1907-1954)

1.840.000

Miro Joan

(1873-1983)

1.700.000

Schiele Egon

(1880-1918)

1.700.000

Rothko Mark

(1903-1970)

1.470.000

Seurat Georges

(1859-1891)

1.580.000

Toulouse Lautrec

(1964-1901)

1.530.000

Ernst Max

(1891-1976)

1.470.000

Bacon Francis

(1902-1992)

1.330.000

Klein Yves

(1928-1962)

1.100.000

Monet Claude

(1840-1926)

971.000

 On voit que de tableau nous révèle certaines surprises. L’ami Turner est le gagnant inconsté alors que ce pauvre Monet est lanterne rouge. Dali et Warhol doivent beaucoup aux médias. PIcasso le chou-chou du grand public n’arrive qu’en troisième position. Mais tout ceci est bien entendu souvent lié à l’actualité, à une exposition, à un film. Au nom de Séraphine de Senlis, qui recuille des chiffres plus modestes, c’est le film qui intéresse des internautes. La chanteuse galoise Aimee Ann Duffy suscite 19.800.000 requêtes tandis que Raoul Dufy (avec un seul f) n’en recueille que 2.040.000.

Les musées d’art de New-York

La mise au point de mon inventaire des musées du Monde entier se poursuit. Je propose aujourd’hui, la liste des liens vers les sites des musées de New-York

 NEW YORK:

The Metropolitan Museum of Art

http://www.metmuseum.org

The Museum of Modern Art

http://www.moma.org

Frick Collection

http://www.frick.org

Jewish Museum

http://www.thejewishmuseum.org

Cooper-Hewitt – National Design Museum

http://www.si.edu/ndm

Guggenheim Museum

http://www.guggenheim.org

Whitney Museum of American Art

http://www.whitney.org

Museum of the City of New York

http://www.mcny.org/

Alternative Museum

http://www.alternativemuseum.org/

American Folk Art Museum

http://www.folkartmuseum.org/

American Museum of Natural History

http://www.amnh.org/

Asia Society Museum

http://www.asiasocietymuseum.com/

Bronx Museum of the Arts

http://www.bronxmuseum.org/

Brooklyn Museum of Art

http://www.brooklynmuseum.org/

Chelsea Art Museum  

http://chelseaartmuseum.org/index.php

Dahesh Museum

http://www.daheshmuseum.org/index.php

Dia Center for the Arts

http://www.diacenter.org/

Dia: at the Hispanic Society of America  

http://www.diaart.org/hindex.html

Drawing Center

http://www.drawingcenter.org/

El Museo del Barrio

http://www.elmuseo.org/

Grey Art Gallery at New York University

http://www.nyu.edu/greyart/

Hispanic Society of America

http://hispanicsociety.org/

International Center of Photography

http://www.icp.org/

International Print Center

http://www.ipcny.org/

Japan Society Gallery

http://www.japansociety.org/gallery

Lehman College Art Gallery

http://www.lehman.cuny.edu/vpadvance/artgallery/gallery/

Morgan Library

http://www.themorgan.org/

Museum at the Fashion Institute of Technology (FIT)  

http://www.fitnyc.edu/aspx/Content.aspx?menu=FutureGlobal:Museum

Museum for African Art  

http://www.africanart.org/

Museum of Arts and Design  

http://www.madmuseum.org/

Museum of Comic and Cartoon Art

http://www.moccany.org/

Museum of Contemporary African Diasporan Arts

http://www.mocada.org/

Museum of the National Academy of Design

http://www.nationalacademy.org/

National Museum of the American Indian   

http://www.nmai.si.edu/

Neue Galerie Museum for German and Austrian Art

http://www.neuegalerie.org/main.html?langkey=english

New Museum of Contemporary Art  

http://www.newmuseum.org/

New-York Historical Society

https://www.nyhistory.org/web/

Nicholas Roerich Museum

http://www.roerich.org/

Queens Museum of Art   

http://www.queensmuseum.org/

Rotunda Gallery   

http://www.bricartsmedia.org/contemporary-art/exhibitions

Rubin Museum of Art: Art of the Himalayas  

http://www.rmanyc.org/

Society of Illustrators Museum of American Illustration

http://www.societyillustrators.org/museum/index.cms

Staten Island Institute of Arts and Sciences   

http://www.siiasmuseum.org/

Staten Island Museum  

http://www.statenislandmuseum.org/

Studio Museum in Harlem   

http://www.studiomuseum.org/

UBS Art Collection  

http://www.ubs.com/4/artcollection/index.html

Ukrainian Museum  

http://www.ukrainianmuseum.org/

Wallach Art Gallery at Columbia University  

http://www.columbia.edu/cu/wallach/

En attendant d’aller sur place, je vous souhaite de bonnes visites virtuelles.

 

Yoju, une aquarelliste japonaise installée au Canada

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Yoju

http://artbyoju.com/index.html

Yoju est une aquarelliste dans l’acception du terme qui prévaut outre atlantique. Elle pratique le « mixed media on paper » ou techniques mixtes en non pas l’aquarelle comme on l’entend en Europe, notamment dans les Salons et Biennales.

Yoju Kondo  est née en 1947 à Hokkaido, au Japon, et a grandi à Tokyo. Elle a suivi des études artistiques très jeune et jusqu’à 25 ans à  la « Maejima Academy of Art ». Elle s’est initiée à la calligraphie auprès du maître Fujo Minami.. Elle a également étudié à la « Kuwasawa & Ootsuka Academy of Design » et à la « Pacific ocean Academy of Art » de Tokyo.

Elle a d’abord peint à l’huile. Depuis 1980 elle s’est orientée vers les techniques mixtes gouache, aquarelle, crayons aquarelle, pastel, encre de chine, collages

L’artiste utilise comme thème les choses les plus simples, un poisson, une pomme, une cuisine, un couloir. Mais elle aborde également le paysage ou encore des scènes de la vie quotidienne. Elle travaille les lignes, les couleurs. Elle dit être toujours en recherche de nouvelles choses à exprimer. Elle est aussi inspirée par la philosophie bouddhiste. Il y a bien entendu une influence de la culture japonaise. Elle ne veut pas se rattacher à une école, une tendance, se classer dans l’abstraction ou le figuratif. Elle est arrivée en Californie en 1988. Elle vit actuellement à Saratoga au Canada. Elle expose ses œuvres dans de nombreux pays sans oublier le Japon à l’Université de Keio Shonan Fujisawa au Japon. Elle est représentée de manière permanente dans plusieurs galeries

http://www.aegisgallery.com/

http://www.museumsoflosgatos.org/gallery/LGMGartists.html

http://www.artistshavengallery.com/artists/gallery2/main.php?g2_itemId=4145

J’ai choisi de montrer quelques unes de ses œuvres. Elles sont très colorées. Elles font fi de la sacro-sainte transparence. Pour le moins elles ne laissent pas indifférent. Je n’ai malheureusement pas trouvé d’images qui ne soient pas marquées du sigle de son atelier.

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Yoju – Flowers

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 Yoju -Three Cow sin Rockies Canada

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Yoju – Oregon Sunset

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Yoju – Old castle

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Yoju – Self portrait

 

Le fusain

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Le dessin au fusain est sans doute la plus ancienne technique artistique. Elle était utilisé dans les grottes de la préhistoire. C’est un bâton de charbon de bois. Actuellement on utilise le bois du saule, le tilleul ou les sarments de vigne. Les artistes se sont longtemps servis du fusain pour réaliser des croquis préliminaires, des esquisses. Mais c’est maintenant devenu un moyen d’expression artistique à part entière.

Il est conseillé de travailler sur un support légèrement rugueux  Le fusain est utilisé seul ou avec d’autres médiums, le crayon graphite, la craie blanche, la pierre noire, la sanguine, le pastel et même l’aquarelle On peut voir  à titre d’exemple une œuvre de Pascal Pichon réalisée à l’aquarelle et au fusain

Pour effacer les traits on utilise la gomme mie de pain. On peut aussi estomper ou effacer avec des estompes, un chiffon ou simplement avec le doigt. Il est recommandé de fixer l’œuvre lorsqu’elle achevée. De la laque à cheveux peut faire l’affaire.

Le fusain de qualité se caractérise par sa couleur uniforme, très noire. Il existe un fusain tendre et du fusain dur. On obtient un résultat sombre et marqué si le trait et fort et appuyé. A l’inverse les ombres plus ou moins estompées donnent un dessin en volumes et perspective. A l’aide de la gomme, l’on peut faire ressorti des touches de clarté, de lumière.

Il faut bien entendu tenir le bâton de fusain de telle manière que la main ne traîne pas sur la feuille. On prendra moins de risque avec un bâton court, qui risque moins de casser. Le fusain existe aussi sous forme de crayons. Il est bien entendu moins salissant. Cependant il ne permet pas d’obtenir de larges traits.

Les marques : Faber Castel, Conté, Crétacolor, Sennelier – Koh-i-noor,  Willow charcoal