Les mouvements artistiques de 1800 à aujourd'hui +Les arts visuels depuis l'Antiquité jusqu'à l'orée du 19ème siècle.LesTechniques, manifestations, artistes, biographies, répertoires , carnets de liens + et bien d'autres choses
L’aquarelle initiale a été exécutée sur un papier Montval 300 gr – grain fin, au format Raisin 50 cm x 65 cm. J’ai réalisé cette aquarelle suivant la technique du Monotype. Certaines parties de l’œuvre ne me satisfaisaient pas entièrement. Je l’ai donc recadrée à l’aide d’un passe-partout. Puis armé d’une paire de ciseaux je l’ai réduite au format de 30 cm x 40.
Je l’ai peinte après une randonnée en forêt. J’ai alors voulu restituer ces « couleurs d’Automne » si riches
Près de 200 œuvres du siècle d’or danois (1814-1848) sont présentées. Elles ont été réunies par un collectionneur français anonyme. L’exposition partira ensuite au Musée Malraux du Havre.
Le royaume du Danemark est marqué par la proclamation par la Norvège de son indépendance en 1814. Puis en 1864, la Guerre des Duchés entraîne la perte de la région des duchés de Schleswig, Holstein et Lauenbourg. Le pays se replie sur lui-même et un fort sentiment nationaliste se développe. Les activités artistiques n’échappent pas à cette tendance. Les peintres délaissent les courants étrangers et se développe un art national brillant et sans précédent, c’est ce que l’on appelle « l’âge d’or de la peinture danoise ».
Les thèmes favoris, traités avec une apparente simplicité et dans une lumière marine sont lesintérieurs, les portraits. Les paysages danois mais aussi des pays du Sud.
On trouve une relation détaillée de l’exposition sur le site de la tribune de l’art
L’exposition présente en fait des œuvres de presque tout le 19ème siècle.
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font-family: »Times New Roman »;} Frida Kahlo par Lola Alvarez-Bravo – 1944
Magdalena Carmen Frida Kahlo y Calderon (1907-1954), peintre, est avec son mari Diego Rivera, l’une des artistes mexicaines marquante du XXème siècle. Son père était d’origine allemande et sa mère indienne.
Son art est indissociable du sort qui l’a frappée dans sa chair. Enfant, elle est atteinte de poliomyélite. A 18 ans, de retour de l’école d’art qu’elle fréquente, son bus percute un tram. Perforée de part en part,ses jambes et ses vertèbres brisées, elle quasiment invalide. Elle subira de multiples opérations chirurgicales, qui la retiendront souvent, corsetée, sur un lit d’hôpital. Mais paradoxalement, c’est cet évènement tragique qui déterminera son parcours artistique. Couchée, avec un dispositif de miroir, elle déclinera tout au long de sa vie, de nombreux autoportraits.
Son adhésion au parti communiste mexicain, son féminisme, sa relation de couple chaotique, tumultueuse avec le volage Diego Rivera, son divorce et son remariage, sa liaison avec Léon Trotsky et d’autres amants. Tout cela est bien connu, notamment depuis qu’un film lui a été consacré par Julie Taymor en 2002.
Son œuvre, inclassable,est avant tout le récit de sa vie tragique et tumultueuse.
En 1938 elle expose pour la première fois, avec un grand succès, ses œuvres à la galerie de Julien_Levy, familier des surréalistes. L’année suivante, elle se rend à Paris. Elle rencontre les peintres surréalistes. Elle présente une quinzaine d’œuvres à l’exposition Mexique organisée à la galerieRenou et Colle, par André Breton. Elle y rencontre des artistes et des intellectuels comme Antonin Artaud, Claude Cahun, Marcel Duchamp, Max Ernst, Dora Maar, Pablo Picasso, Jean-Paul Sartre.
Frida Kahlo – Autoportrait – la colonne brisée (son œuvre la plus célèbre)Frida Kahlo, Henry Ford Hospital, 1932Frida Kahlo – Racines – 1943Frida Kahlo – Autoportrait dédicacé à Léon TrostkyFrida Kahlo – Autoportrait au singeFrida Kahlo The Earth, Me and Senor Xolotl – 1949
Frida Kahlo, Self-Portrait as a Tehuana
Frida Kahlo,On the Border Line Between Mexico and the United States, 1932
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Le lâcher de ballons est une pratique consistant à laisser s’élever dans les airs un grand nombre de ballons de baudruche, préalablement gonflés à l’hydrogène ou à l’hélium, puis à contempler leur éloignement au gré des vents.
C’est le côté spectaculaire ou symbolique que les organisateurs recherchent dans des évènements comme les mariagesou des célébrations diverses.
Mais cette pratique n’ est pas très écologique en effet il en résulte une pollution et un risque avéré pour les animaux qui peuvent les ingérer. Bien qu’aucun texte ne les interdisent, les lâchers de ballons sont généralement soumis à une autorisation préalable à la mairieet aux services de l’aviation civile dont dépend le lieu où il doit être effectué.
Mais bien sur ce qui m’a séduit pour peindre cette aquarelle c’est l’aspect coloré du thème et puis la foule . . . parfois nombreuse, comme ici, qui participe à l’évènement
Aquarelle sur dessin à l’encre indélébile sur papier Montval, grain fin, 300 gr. Au format raisin 50 cm x 65 cm.
Si le tarif est un peu cher pour vous, il y a aussi Paris Art shopping. A vous de voir
Si j’évoque ces propositions c’est que j’ai reçu un courriel de cette organisation mercantile. Ma première idée était de tout simplement détruire le message. Ce n’est pas le premier que je reçois d’officines qui toutes vous promettent sinon la gloire, tout au moins le renommée. A une époque où le marché de l’art atteint des sommets indécents, faut-il s’étonner de ce genre de propositions. Elles jouent sur le désir légitime de tout artiste d’être reconnu.
Qu’en pensez-vous ? Le dispositif des commentaires est là pour vous exprimer.
Inutile de dire que cet article ne constitue pas une publicité pour Mecenavie mais une simple information
Le salon du dessin et de la peinture à l’eau n’a pas cru utile d’éditer une affiche spécifique. Mais sur son site l’on trouve une vidéo qui montre l’ambiance du vernissage 2013
Allegro Barbaro est une œuvre pour piano de Béla Bartók, inspirée des musiques folkloriques hongroises et roumaines.
Béla Bartók comme ses amis les peintres hongrois de son temps se veulent en rupture avec l’académisme. Ils quittent Budapest pour Paris où ils fréquentent les académies Julian, Calarossi ou de la Grande chaumière. . Ils rencontrent Paul Cézanne et le mouvement éphémère du fauvisme. Chacun à sa manière ils s’approprieront cette approche. L’on a ainsi pu parler des fauves hongrois.Certains d’entre eux font partie de la première école de Paris.
Ce sont les œuvres de quelques uns d’entre eux que l’exposition montre, outre des documents, de photographies, un film du célèbre compositeur, et puis des concerts, des conférences.
Bela-Czobel -Sur une placeBela Czobel – Nature morte aux fruitsDezso Czigany – ProvenceDezso Czigany- AutoportraitDezső Orbán – Port de Dieppe Dezső Orbán – Nu couché Odon Marffy – paysage rustiqueOdon Marffy – Cueillette de fruitsKaroly Kernstok – ParcKaroly Kernstok – Le dernier souperLajos Tihanyi – PaysageLajos Tihanyi – AutoportraitRobert Bereny – Femme dans un fauteuil
Robert Bereny – Nu couchéBertalan Por – Jeune garçonBertalan Por – PasteurSandor Ziffer – Paysage d’hiver à la barrièreSandor Ziffer – La porte rouge
L’association Aquarev’Plus regroupe des aquarellistes et des pastellistes. Elle organise chaque année le Salon Françoise d’Aubigné. Pour les quinze ans de sa création elle organise une exposition à Saint-Gelais les 14 et 15 décembre 2013. Pour l’occasion elle a invité l’aquarelliste Reine-Marie Pinchon et le pastelliste Paul Billard
Si, comme moi, vous ne pourrez vous rendre au Grand Palais, allez faire un petit tour sur le site de Paris Photo, vous ferez des découvertes intéressantes, sur l’état du 8ème art.
Aujourd’hui je souffle cinq bougies, avec vous je l’espère.
Eh oui, cela fait cinq ans révolus que je tiens le blog « Aquarelle, couleurs, papier, pinceaux. Masmoulin s’est jeté à l’eau. Presque tout sur l’aquarelle et les évènements artistiques »
J’y ai publié 1919 articles et 2.300.578 pages ont été vues, au moment où je mets l’article en ligne, par mes amis visiteurs de France, de Belgique et aussi de beaucoup plus loin, qui le consultent régulièrement.
Je pense avoir encore des choses à dire et à montrer sur l’aquarelle et les arts plastiques. Aussi, dès demain, je poursuivrai mes recherches et vous les ferai partager. Encore longtemps, je l’espère, si je ne vous lasse pas.
Une petite précision de phonétique. Mon pseudonyme se prononce, de mon point de vue, comme un mat de cocagne et non pas comme une masse de fonte. Le « s » ne s’entend pas.
Elle a été réalisée en collaboration avec le Museo Dolores Olmedo de Mexico. Elle met en parallèle les œuvres de ce couple incandescent, volcanique, au talent artistique si différents. Diego Rivera 1886-1957 et ses immenses fresques murales aux thèmes engagés politiquement et Frida Kahlo 1907-1954 et ses multiples autoportraits
Je vais dans les prochains jours proposer des éléments biographiques de ces deux artistes mexicains.
C’est donc sans exagération que j’ai peuplé mon aquarelle de nombreux personnages. Aquarelle sur papier Montval – 300 grammes – grain fin – Format 50 cm x 65 cm
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Ce numéro 166 s’ouvre sur un dossier consacré à la peinture à l’huile : la matière avecAgnès Correet les glacis par Didier Fonteniaud. Puis une rencontre avec Duong Le Thai, peintre et chirurgien.
Dans le cadre de l’exposition « masculin–masculin »au musée d’Orsay, une analyse du « Jeune homme nu assis au bord de la mer » d’ Hippolyte Flandrin et aussiune un article sur la rétrospective au Grand Palais consacrée à Georges Braque.
Les secrets d’artiste autour des collages en papier de Nicholas Wood.Des approches, étape par étape du Modèle vivant par Jean-Luc Celce à l’acrylique, Catherine Roch à l’huile et Shane Wolf aux crayons graphites.
Et les rubriques habituelles, expositions par régions, bloc notes, paroles et question d’artistes
Vendredi soir avait lieu le vernissage de l’exposition » La vie tout simplement » qui se tient à Comines jusqu’au 29 novembre 2013. Voici . . . »en toute simplicité », une relation de cet évènement.
Le maire, Alain Detournay et plusieurs membres du conseil municipal assistaient à la manifestation. Malgré les pluies diluviennes qui se sont abattues sur la région, beaucoup d’amis, artistes ou d’autres horizons sont venus, parfois d’assez loin. Je les remercie toutes et tous. Madame Brigitte Traisnel, l’adjointe à la culture a pris la parole et bien entendu je lui ai répondu. Ensuite ce fut les échanges détendus autour du pot de l’amitié.
Monsieur Michel Sence, qui tient, dans une initiative personnelle, le Blog culturel de Comines a fait la relation de l’avènement. On y trouve des photos du vernissage, dont j’extrais quelques unes et des œuvres que j’expose ici
Pierre Debroucker alias Masmoulin, pendant son allocutionDes vues de l’assistance
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Johannes Itten (1888-1967) est un peintre suisse qui enseigna au Bauhaus. Une fondation a été initiée par sa veuve. On lui doit un cercle chromatique et un certain nombre d’ouvrages, notamment L’art de la couleur » publié en 1967 . Une édition abrégée a été proposée en 2004 par Dessain et Tolra. Les deux éditions sont malheureusement épuisées .Les médiathèques ou bibliothèques peuvent peut-être en détenir une exemplaire. On peut en trouver des exemplaires sur des sites comme e-bay ou Priceminister, mais à des prix prohibitifs.
Mahjoub Ben Bella est né en 1946 en Algérie, à Maghnia. Après des études à l’école des Beaux-arts d’ Oran, il s’installe en 1965 à Tourcoing. Il reçoit l’enseignement de l’école de Beaux-arts de cette ville puis de Paris. De1978 à 1980, il enseigne à l’école des Beaux-arts de Cambrai.
L’artiste est présent, sans discontinuer, depuis 1970, partout dans le monde, notamment dans la plupart des grandes villes de France et d’Europe, au Canada, à New York, en Grande Bretagne, au Koweit, en Russie, en Egypte, en Jordanie, en Tunisie et au Maroc. Une grande exposition lui a été consacrée en 2012, à Alger auMusée d’art moderne et contemporain.
C’est la première fois qu’une exposition qui lui est consacré se tient à Lille, à l’hospice Comtesse, où une soixantaine d’œuvres sont présentées. Il est connu du grand public pour avoir peint « l’envers du Nord », 12 kilomètres de pavés du trajet du Paris-Roubaix et aussi des fresques monumentales, sur des façades lilloises.
A lvoir cette biographie et ce reportage sur l’exposition
Et les images de quelques unes des œuvres présentées
Mahjoub Ben Bella – Mort de Sardanapale – 2012-2013Mahjoub Ben Bella – Sans titre – Aquarelle – 2011Mahjoub Ben Bella – Le crocodile vert – 2012Mahjoub Ben Bella – Femmes d’Alger – 2012Mahjoub Ben Bella – Thaï V – 2003Mahjoub Ben Bella – Grand totem rouge et vert – 2011
Mahjoub Ben Bella – Guernica – 2013Mahjoub Ben Bella – Jazz – 2009Mahjoub Ben Bella – Traces – 2006Mahjoub Ben Bella – Traces noires – 2011
Cette exposition a déjà été présentée au Musée de la Poste cet été. Tout opposait Gaston Chaissac (1910-64) et Jean Dubuffet (1901-1985), le milieu dont ils sont issus, leur formation artistique, leur mode de vie, mais tous les deux peignaient. Pourtant ils ont eu à partir de 1946, pendant près de 20 ans, une relation épistolaire suivie. D’où le titre de l’exposition, entre plume et pinceau.
Jean Dubuffet a inventé le vocable d’art brut et a mis en lumière l’œuvre de ces artistes non conventionnels. Il y classait volontiers Gaston Chaissac,son ami de correspondance.
Vidéo de l’inauguration de l’exposition aux Sables d’Olonne
Vidéo de l’exposition du musée de la Poste
Des œuvres des deux artistesGaston Chaissac – A Lili, deux personnages et un animal, 1950.Gaston Chaissac – Le visage au hachoirGaston Chaissac – Sans titre – 1947