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Au Grand Palais jusqu’au 6 janvier 2014
Le Grand Palais présente, pour le cinquantenaire de sa disparition, une grande rétrospective de l’œuvre de Georges Braque. Cette exposition est organisée par la Réunion des Musée nationaux et le Centre Pompidou. Aucune exposition d’envergure n’avait été montrée depuis l’ Orangerie en 1973-1973, soit il y a 40 ans, si l’on excepte celles du Moma « Picasso and Braque Pionnering cubism » en 1989 et de la Fondation Maeght en 1994.
L’exposition réuni environ 200 tableaux qui couvre toute la carrière de l’artiste, initiateur du cubisme avec Picasso et inventeur des papiers collés. Elle sera ensuite présentée en 2014 au Museum of fine arts de Houston
Des vidéos autour de cette rétrospective
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Des éléments de la biographie de Georges Braque
Georges Braque (1882-1963) peintre et sculpteur français est né à Argenteuil. Il est l’héritier d’une famille de peintres en bâtiments du Havre. Il apprend dans l’entreprise les ficelles du métier, les lettres et le faux-bois. Parallèlement il suit à l’Académie de la ville les cours du soir de Charles Lhullier où il rencontre Othon Friesz
Il s’installe à Paris en 1900 pour parfaire sa formation de peintre décorateur. Il fréquente aussi l’académie de Ferdinand_Humbert où il rencontre Marie Laurencin et
Francis Picabia. Il découvre les œuvres de Paul Cézanne et celles des Fauves Matisse et Derain. Il se rend à Anvers en compagnie d’Othon Friesz
Guillaume Apollinaire lui fait rencontrer Picasso. Les deux artistes, Braque le discret, le perfectionniste et Picasso l’extraverti, l’impulsif, vont « s’encorder », pendant 5 années, jusqu’à la guerre, dans l’aventure des « petits cubes » comme dit Louis Vauxcelles. En 1912, Braque utilise du papier faux-bois et des lettres. Il vient d’inventer les papiers collés.
Puis Braque mobilisé revient grièvement blessé. A son retour il peint des séries de guéridons et de cheminées, dans des tonalités de verts, de bruns et de noirs. A partir de 1930, la couleur revient. Il peint des baigneuses, des plages, des falaises puis un peu plus tard des natures mortes décoratives
Pendant les années d’occupation il s’installe à Varangéville-sur-Mer. Il peint des vanités et des poissons puis sa série des « ateliers ». A la fin de sa vie il peint des panoramas, des oiseaux et décore le plafond de la salle des Etrusques au Louvre. A son décès en 1963, André Malraux prononce son éloge funèbre au cours de funérailles nationales.
Contrairement à son « compagnon de cordée, il n’y a pas de grand musée dédié à Braque. Seul existe un petit musée à Saint-Dié dans les Vosges.
On trouve des éléments de biographie dans l’encyclopédei Larousse, dans un article du journal suisse Le Temps et le site Eternels éclairs montre les œuvres de l’artiste
Des images d’œuvres de Georges Braque
Georges Braque – La baie d’Anvers – 1907
Georges Braque – Maisons de l’Estaque – 1907
Georges Braque- Femme nue assise – 1907
Georges Braque – Port de la Ciotat – 1907
Georges Braque – Grand nu – 1907-1908
Georges Braque – Le viaduc de l’Estaque – 1908
Georges Braque – Le port – 1909
Georges Braque – Le parc de Carrières-Saint-Denis – 1909-1910
Georges Braque – Compotier et verre – 1912
Georges Braque – Compotier et verre – 1917
Georges Braque – La musicienne – 1917-1918
Georges Braque – La cheminée – 1928
Georges Braque – Femme à la palette – 1936
Georges Braque – Grand intérieur – 1942
Georges Braque – Les poissons noirs – 1943
Georges Braque – Atelier – 1949