Une aquarelle d’ambiance, avec des silhouettes, dans la lumière. Je l’aime bien.
Réalisée sur papier Arches 300 grammes Format A3 _ mouillé sur mouillé
Une aquarelle d’ambiance, avec des silhouettes, dans la lumière. Je l’aime bien.
Réalisée sur papier Arches 300 grammes Format A3 _ mouillé sur mouillé
Voici une aquarelle réalisée pendant les vacances de la Toussaint. Mon petit fils Thibaut 12 ans le jour de l’été, était à mes côtés. Il me donnait son avis sur les couleurs.
C’est un grand connaisseur de Magritte et de l’art moderne. Et aussi, un « manieur de formes » avec Print. Je montrerai cela dans un autre billet.
Ici du papier Langton 300 grammes A3. Papier trempé au préalable et donc bien entendu mouillé sur mouillé.
J’ai essayé de rendre une ambiance de brume. Je n’ai utilisé aucun adjuvent, comme à masquer ou encore sel de cuisine.
Quand Thibaut est rentré chez lui il a emporté cette aquarelle, que j’ai encadré rapidement avec un cadre acheté à Carrefour. (rubrique libre de toute publicité)
C’est la première fois que je me sépare d’une réalisation
Voilà cette aquarelle :
Dimanche 9 novembre, je me suis promené près de chez moi, dans le parc du couvent des dominicains. Il est ouvert au public les mercredi, samedi et dimanche, toute l’année. Il y a de magnifiques arbres centenaires, notamment de très grands hêtres.
Le lendemain, à l’aide de mes souvenirs, d’un croquis et de quelques photos, j’ai réalisée cette aquarelle.
Ici sur du papier Arches Grain fin, 300 grammes Format A3
J’ai comme à mon habitude travaillé mouillé sur mouillé. Mais, ici encore, je n’ai pas tempé la feuille dans la baignoire.
Voilà ma réalisation, dans cette période d’automne, où les jours sont parfois ensoleillés comme c’était le cas ce dimanche là.
Voilà, je mets en ligne ma toute dernière réalisation. Elle date de jeudi soir, avant que je me lance dans la réalisation de ce blog.
C’est une nature morte qui, on le voit, représente des poissons, surtout des rougets.
J’aime assez et mon entourage aussi, ce qui est inhabituel.
Elle est réalisée sur papier Montval 300 grammes grain fin en 32 cm x 41 cm.
J’ai travaillé en mouillé sur mouillé, mais ici en ne mouillant qu’au fur et à mesure et non pas comme antérieurement, carément dans le papier trempé. J’en reparlerai.
Les couleurs réelles sont plus jolies que ce qui est affiché ci-dessous. C’est la faute au temps de novembre, ici en métropole lilloise. Mais ailleurs ce serait pareil.
Mon blog commence à prendre tournure.
Il y a encore sans doute des fautes d’orthographe. A l’avenir, je vais sans doute saisir mon texte sur Word ou Writer.
Il y a surtout les Portfolios qui ne s’affichent pas tout à fait bien. J’ai posé des questions aux services de lemonde.fr Je pourrais ensuite solutionner cela.
J’ai voulu me situer. Faire en sorte de ne pas débuter ce blog par du vide, et donc le remplir.
Maintenant, je vais pouvoir penser à montrer ce que je réaliserai.
Pour le moment, comme j’aurais dit dans une autre vie, « j’ai géré les stocks »
Voilà.
Parmi mes expériences d’apprentissage, je dois parler d’un stage d’aquarelle « sur le motif » que j’ai efffectué en septembre 2007, à Bormes les Mimosas (Var), où je possède un point de chute (d’où l’origine de mon pseudonime)
Ce stage était organisé par une aquarelliste, originaire de la région parisienne, qui vit à Bormes les Mimosas toute l’année. Elle tient une galerie dans une des venelles du vieux village et fait des stages en été.
Depuis, c’est devenu une amie et je ne manque pas de venir la voir, à chaque fois que je descend dans le Sud. Elle s’appelle Monique Raiser. Pour l’instant elle n’a pas encore de site internet.Le stage avait duré pendant une semaine du lundi au vendredi et nous étions cinq ou six participants.Pour une fois, nous étions deux hommes et trois ou quatre femmes, suivant les jours. Voici une photo où l’on voit Monique Raiser donner,dans les venelles du vieux village, des conseils à masmoulin :
Voici maintenant l’oeuvre réalisée par masmoulin :
Je vais demain suivre mon deuxième cours d’aquarelle de l’année 2008-2009, à Comines-Belgique, à # ~20 kilomètres de Lille (Nord).
A l’eau vive chez Dominique Coppe, une aquarelliste belge réputée
Elle a baigné dès l’enfance, près de son père, Roger Coppe, maître-verrier et peintre expressionniste de renom,dans un milieu artistique ouvert à toutes les influences.
Elle a fait les arts décoratifs, réalisé des vitraux d’arts, puis le tourbillon de la vie l’a un temps éloignée du geste pictural.
Plus près de nous, elle a effectué de nombreux stages aurpès de que Marie-Line Montecaut, Jean-Louis Morelle, Ewa Karpinska et Jean-François. Contremoulin.
Pour illustrer le propos, voici l’une de ces oeuvres affichée sur son site internet :
Nous sommes un groupe de six personnes, comme chaque fois, je suis le seul homme de la bande. Les cours sont d’une durée de trois heures. Dominique Coppe ne souhaite travailler qu’avec des groupes restreints pour être en mesure de suivre efficacement chacun des participants, en fonction de son niveau.
Lors du premier cours elle m’a fait mieux comprendre le « cycle de l’eau », notamment en me faisant réaliser une feuille imaginaire, tout à fait dans la ligne d’Ewa Karpinska:
J’ai aussi réalisé une petite nature morte « deux fruits » qui se trouve dans mon portfolio.
Je vais de ce pas préparer des chassis pour le cours de demain.
En effet, Dominique fait travailler sur du papier aquarelle Montval 300 grammes grain fin, préaliblement trempé dans une baignoire et agrafé sur un chassis nu, dimension 12P, pour recevoir du papier format raisin 50cm x 60 cm.
J’ai récemment téléchargé la nouvelle version 0.9.6 pour Winows du lecteur vlc media player.
Lorsque j’ai voulu visionnner un fichier vidéo avec l’extension .flv, le logiciel se bloquait et proposait l’envoi d’un rapport.
Une autre personne qui allait aussi sous le pseudo vernier sur le forum
Pendant toute l’année 2007-2008 j’ai suivi les cours de Brigitte Flahaut à l’école d’art de Douai
http://www.ecole-art-douai.com/
Brigitte Flahaut est une aquarelliste reconnue :
Elle a été en 2002 premier grand prix de la ville de Douai. Elle s’est ensuite vu descerner le Prix du public au « Salon de l’Aquarelle de Belgique » à Namur en 2005.Elle a aussi exposé au « Salon International de l’Aquarelle » de Saint-Yrieix en 2007.
Voici, une de ces récentes oeuvres que l’on trouve sur le site de l’association d’artistes aquarellistes dont elle est membre :
Dans le cours nous étions 13 ou 14 personnes, toutes des femmes, sauf moi. J’étais le seul novice, la plupart des dames suivaient le cours depuis plusieurs années. La plus ancienne ,qui était très douée (sans mauvais jeu de mot) venait depuis huit ans
L’ambiance était très chaleureuse mais aussi très concentrée. Il y a eu au cours de la période, plusieurs thèmes d’année imposés :
Des pinceaux dans un pot _Un atelier de peintre_Le potier_les troncs de bouleaux, les jardins de Gustav Klimt
Nous avons abordé par ce biais : le rendu de la transparence du verre, l’usage du monotype, le dessin préalable avec la notation des valeurs, l’utilisation de la bougie, de la craie, les auréoles volontaires sur papier sec, puis celles sur papier noyé.
L’accent était toujours mis sur la créativité
Par contre, il n’y avait pas d’exécution de thèmes personnels.
Mais petits regrets : Brigitte Flahaut n’a jamais fait de démonstration, elle donnait des conseils, ce qui est très important. La durée du cours, de 2 heures était à mon avis trop courte. Une durée de trois heures m’aurait plue. D’autant que je venais de Lille par le TER. J’avais donc une amplitude de temps d’environ cinq heures pour seulement deux de productive. C’est la raison principale pour laquelle je n’ai pas continué de suivre, cette année, des cours à l’école d’Art de Douai
J’ai commencé à tremper mes pinceaux dans la couleur en octobre 2006.
Pendant une année je suis allé près de chez moi au Centre culturel de La Madeleine
http://www.cca-lamadeleine.fr/ateliers%20d%27expressions%20visuelles.htm
avec Catherine Gaillot, aquarelliste, qui a fait ses études à l’école des Beaux-Arts de Tourcoing.
C’était pas mal pour débuter. Le seul regret c’est que l’on faisait essentiellement des aquarelles inspirées d’oeuvres d’aquarellistes connus. Le grand dommage c’est que la plupart des personnes se contentaient de « copier au plus près » ce qui était proposé en exemple.
A cette époque j’ai notamment réalisée une aquarelle inspirée d’Ewa Karpenska:
Je reçois dans ma messagerie, comme périodiquement,de Barbara Simmons , sa lettre de diffusion qui m’averti de son nouveau « tip.Elle est canadienne anglophone, membre de la Canadian Society of Painters in Water Colour, et de l’Institut des arts figuratifs.
Ce qu’elle offre chaque mois est très intéressant. On peut la retrouver à l’adresse suivante :
http://www.artistbarbarasimmons.com/art/bio.html
L’on peut aussi s’abonner à sa newletter. Voici, un exemple de ce qu’elle fait, ici à l’aquarelle:
Je me suis servi d’une partie de Scarlet Sunset de Turner