Voici une aquarelle sans prétention, si ce n’est pour sortir un peu des sujets plus austères abordés récemment. On ne dira pas que je ne peux pas être moi aussi « romantique ». Je sais faire, comme tout aquarelliste qui se respecte, ce que j’appelle souvent, « des petites fleurs ». Encore qu’ici, il n’y en a qu’une mais elle est grande.
C’est donc une unique fleur qui envahie la totalité de la page. Elle a été réalisée dans l’humide. Ici, j’ai trempé ma feuille dans l’évier pendant quelques minutes. Je l’ai alors tout simplement posée sur un journal ouvert. J’ai ensuite procédé comme d’habitude. J’ai d’abord dispersé un certain nombre de pigments que j’ai fait « voyager » sur toute la surface. Je suis ensuite passé à la phase du graphisme, pour dessiner le contours des pétales de la fleur. En fin de réalisation, j’ai tiré des blancs.
J’ai utilisé du Montval 300 grammes, grain fin, Format A3
Voici ma réalisation. La partie en haut à droit laisse apparaître une ombre. C’est la photographie qui est responsable. Cela n’existe pas dans l’original.
A la recherche d’information sur l’aquarelliste Blanche Odin, je découvre votre blog. Et votre fleur rouge a séduit mon regard !
Bonjour !
J’ai découvert votre blog il y a quelques jours par le biais de celui de N.Paradis…je m’en régale depuis ! La liberté de vos aquarelles me surprend et me fait envie !! Cette fleur est somptueuse … et aussi étrange.
Et merci de m’avoir fait découvrir ce Monsieur Castagnet….
Corinne
Je suis un ami de Jean Yves Roblès, et j’ai découvert votre site dans ses liens. J’aime beaucoup votre blog et vos aquarelles, je suis également peintre.Bravo pour votre travail
Très joli et qu’elle fougue. Il faut oser. Bravo !