Les belles voyageuses de Colette Angeletti, aquarelliste botaniste

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Le musée « Arts et Histoire » de Bormes-les-Mimosas, présente actuellement, et jusqu’au 15 juin 2010, une très belle exposition consacrée à Colette Angeletti.

Colette Angeletti qui était gravement malade et qui n’a pas pu assister au vernissage vient malheureusement de décéder il y a quelques jours.

L’artiste aquarelliste botaniste ou comme elle se désignait « aquarelliste de la Flore » raconte, avec « Les belles voyageuses » raconte, en aquarelle, ces fleurs et plantes qui ont traversé les océans et les siècles pour soigner, nourrir ou embellir par leur éphémère et fragile existence
C’est en visitant la collection royale du Muséum  de Paris et les œuvres de Pierre-Joseph_Redouté  le « Raphaël des fleurs » que l’artiste a découvert l’illustration botanique. Elle a mis alors ses pinceaux et pigments au service de cette magnifique passion.
Son graphisme affirmé, la délicatesse et la précision de son travail délicat a été très souvent récompensé.
On peut trouver des exemples de son travail sur Flore d’aquarelle et le site des peintres botanistes Pommiers

Voici quelques illustrations des oeuvres de Colette Angeletti

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Colette Angeletti – Alpinia Zérumbet – Aquarelle

 

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Colette Angeletti -Hibiscus Moschentos – Aquarelle

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Colette Angeletti – Néflier de Chine – Aquarelle

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Colette Angeletti – Orchidée Sabot de Vénus – Aquarelle

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Colete Angeletti – Olivette rose – Aquarelle

Et une visite de cette très belle exposition en vidéo ici

 

4 commentaires sur “Les belles voyageuses de Colette Angeletti, aquarelliste botaniste

  1. Bonjour à vous !
    Je suis un des petits fils de Colette, si vous désirez plus d’informations vous pouvez m’envoyer un mail que je transferts à mon grand père et qui pourra vous répondre facilement. Je suis actuellement en train de réfléchir à mettre en place un nouveau site internet que permettrait d’exprimer tout le talent qu’une possédait.
    À une prochaine 🙂

  2. Je suis navrée d’avoir appris par internet la disparition de Colette.
    La vie est ainsi, lorsque l’on est jeune on se fréquente en famille et partageons parfois joies et peines ; et puis, un jour, chacun fait sa vie se son côté. J’ai bien reconnu notre petit-cousin Daniel.
    Nos vifs regrets pour Colette, De Profondis …
    Jannine Iuso Ricci

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